Génocide

(tribunal pénal international) a été créé le 25 mai 1993 par les Nations Unies . Il se trouve à La Haye aux Pays Bas. Sa fonction principale est de juger les pays,groupes,et autres qui ont commis des atteintes aux droits de l'homme en temps de guerre ( génocides,crimes de guerre, crimes contre l'humanité).Son président est Patrick Lipton Robinson . I)Création du tribunal Il a été établi en vertu de la résolution 827 du conseil de sécurité des Nations Unies, en réponse à la menace contre la paix et

l'Assemblée générale de l'ONU adopte la Convention sur la prévention et la répression du crime de génocide, dans laquelle les criminels sont appelés à être jugés par des tribunaux pénaux internationaux, et invite la Commission du droit international à étudier la nécessité et la possibilité d'établir un organe judiciaire international afin de poursuivre les personnes responsables de crimes de génocide. Bien que la Commission ait préparé un tel Statut au début des années 50, la Guerre Froide bloque

lequel il a écrit près d’une dizaine d’ouvrages. Il fut en effet l’élève de Raul Hilberg, autre historien de la Shoah, reconnu mondialement pour avoir été le premier à réaliser une dans La Destruction des Juifs d’Europe une synthèse conséquente du génocide juif, auquel il a échappé. Browning lui a dédié le livre que nous allons étudier. Méthode et problématique Des hommes ordinaires, troisième ouvrage de Browning, est paru en 1992 aux Etats-Unis (en 1994 en France) et reste à ce jour son livre

D’HISTOIRE Thèmes Guerres et conflits en Europe au XXème siècle Sujets Le génocide juif : un crime contre l’Humanité Sommaire : Doc 1 : Les premiers camps p1 Doc2 : L’Horreur des camps

Après les batailles de la Marne et de Champagne, identification et inhumation des soldats morts sur le front, juillet 1918 Le 1er génocide du XX° siècle Jeune arménien victime de la barbarie des Turcs Exécution d’Arméniens en place publique (en 1915) Charnier d'Arméniens brûlés dans une grange du village d'Alizernan (Mouch), découvert par l'armée russe Le 1er génocide du XX° siècle 

Shoah Histoire d’un génocide Le terme génocide est un néologisme formé en 1944 par Raphael Lemkin, à partir de la racine grecque genos, « naissance », « genre », « espèce », et du suffixe « cide », qui vient du terme latin caedere, « tuer », « massacrer ». Définissant ce mot hybride comme le crime contre l'humanité perpétré par les nazis contre les peuples juif et tzigane durant la Seconde Guerre mondiale. « Par génocide, nous entendons la destruction d'une nation ou d'un groupe ethnique

historiques 1.1)La période précoloniale 1.2)Le protectorat allemand 1.3)Le mandat belge et l’influence de la Religion Catholique  2) Le massacre rwandais 2.1) Les racines du génocide 2.2) Le massacre des tutsis 2.3) La fin du génocide 3) Le Génocide Rwandais : Les responsabilités extérieures 3.1) La position belge 3.2) Le rôle de la France 3.3) Le rôle de l’ONU 3.4) La position américaine 4) Le Rwanda aujourd'hui

Les violences de guerre A. Les civils deviennent un enjeu B. Génocides et logiques exterminatrices IV. Des espoirs de paix ? * Définitions Propagande : Ensemble de moyens et de techniques qui ont pour but de persuader le plus grand nombre qu’une idée ou qu’une personne sont les meilleures. Censure : Eviter que certaines idées se diffusent. Massacre : Mort de masse sans raison et sans organisation. Génocide : Volonté d’extermination systématique d’un peuple, cette mort de masse

France moderne. Pourtant, l’Histoire de la période 1939-1945 a considérablement évolué – et continue de le faire. Sur la participation des Français à leur propre libération, sur la Résistance, ses objectifs, son organisation et son efficacité, sur le génocide des Juifs ou les souffrances d’autres communautés, les connaissances et les thèses des historiens, donc des professeurs, ne sont plus du tout ce qu’elles étaient il y a soixante-dix ans, sans doute parce que la mémoire est aussi un enjeu idéologique

Reinhard Heydrich, l'adjoint d'Heinrich Himmler (un des plus hauts dignitaires du Troisième Reich). Le sujet principal est l’extermination de tous les juifs d’Europe, grâce à la mise en œuvre de la "Solution finale". Ce discours mets en place le génocide des juifs d’Europe, avec comme stratégie le travail forcé ; « seront amenés […] pour construire des routes ». Ainsi une grande partie d’entre eux sera éliminé « tout naturellement ». Les autres, selon R. Heydrich devront être très éprouvés (mauvaise