Gazprom

énergétique. Les européens attendent après l’entrée de la Russie dans l OMC de voir faciliter les investissements des entreprises occidentales en Russie. Sur le plan énergétique, LUE a mis en place des régulations destinées a empêcher le géant russe Gazprom de contrôler les gazoducs, ce que le gouvernement russe condamne violement, traitant ces pratiques de discriminatoires. Lors du récent 30ème sommet UE-Russie a Bruxelles, le commissaire européen en charge du commerce Mr De Gucht a reproché a Moscou

considérées sous-évaluées par les boursiers sont les plus susceptibles d'être « opéables « ; le flottant de Total est important, plus de 80%, mais son cours n’est quant à lui pas sous évalué. De plus sur la courte liste des compagnies (Le géant Russe Gazprom, Exxon Mobil ou encore Petro China) ayant un intérêt stratégiques ainsi que les fonds nécessaires pour lancer une OPA sur Total, serait inévitablement confrontée à l’importance de sa capitalisation ainsi que la résistance de la France et de certains

L’État russe a mis au pas certains hommes d'affaires nommés oligarques qui se sont fortement enrichis au moment des privatisations et qui ont regagné le contrôle des principales entreprises énergétiques du pays comme le principal producteur de gaz, Gazprom. Il possède aussi la principale banque du pays, la Sberbank. L'économie de la Russie a été très privatisée dans les années 1990. L’Etat est entré dans une économie de marché et, il a dû demander la privatisation de ces sociétés. De 1992 à 1994

principe de compromis ou de négociations. 2 effets positifs : - satisfait le besoin de puissance et de reconnaissance de la société russe - la politique éco d’état est parvenu à créer une élite économique branché sue l’éco mondiale : Gazprom. => MAIS la russie vit de sa rente énergétique + ventes d’armes, mais ne parvient pas à diversifier sa production ni à faire émerger une classe moyenne qui serait une assise démocratique pour le pays. Point de vue international : Russie = partenaire

à dire l'élite du parti communiste au temps de l’URSS), et qui sont aujourd’hui appelés des « oligarques ». La privatisation des industries n’est réalisée qu’à 70% car l ’Etat garde la propriété des secteurs clés : les hydrocarbures avec Gazprom, les complexes militaro - industriel, les transports, …  L’économie russe reste dans des structures duales (c’est à dire avec une propriété privée qui domine, malgré une propriété d ’Etat qui existe toujours). * *2- En agriculture

apparaissant comme l’un des moins rentables. En effet, la production gazière a augmenté d’environ 1,5% par an ces cinq dernières années contre une moyenne de plus de 6,7% pour l’ensemble de l’industrie. Cependant, la position dominante d’OAO Gazprom (monopole d’Etat) freine son développement. La stimulation de l’investissement dans des secteurs autres que les ressources naturelles passe par une meilleure fiscalité qui aurait pour rôle d’éviter l’intervention de l’Etat tendant à fausser le marché

d’approvisionnement et de ne pas dépendre d’un nombre restreint de fournisseurs. Les deux grands marchés potentiels pour le gaz israélien sont l’Europe et l’Asie. Du côté européen, l’arrivée du gaz israélien empiètera sur le terrain de la Russie. La société Gazprom, premier exploitant et exportateur du monde, craint que l’arrivée d’un nouveau fournisseur sur le marché ne fasse baisser les prix. Au niveau des pays asiatiques, la demande connaît une forte croissance, notamment sous l’impulsion de la Chine.

extractive, mais à coté de cela il faut ajouter le fait que la Russie est un grand producteur dans l’agriculture. Mais l’accord le plus important concerne celui avec Gazprom, le célèbre fournisseur de gaz russe, qui est un gros fournisseur de gaz en France notamment. Les compagnies de gaz étrangères négocient constamment avec Gazprom afin de définir les prix du gaz. • L’Inde L’inde est devenu une grande puissance au cours de ces dernières années et la France a comprit que ce partenaire

bien pourvue : 6% des réserves mondiales de pétrole, 31% de celles de gaz, 10% de la production mondiale de pétrole et 22% de celle de gaz. La stratégie de puissance russe utilise la commercialisation des hydrocarbures par l’entreprise d’État Gazprom et la « géopolitique des tubes » comme moyens de pression sur des États en situation de dépendance énergétique -doc.1 p.130. La Russie et l’arme du gaz. Les liens d’interdépendance avec ses partenaires s’en trouvent renforcés, comme la puissance

l’autorité du pouvoir central. Des forces centrifuges du pouvoir central s’affirment autrement en Russie. Apparaissent des contre-pouvoirs nombreux, des potentats locaux ( le général Lebed à Krasnoiarsk, par exemple ), mafias, groupes capitalistes ( Gazprom par exemple ). Vladimir Poutine cherche à réduire ces contre-pouvoirs. Par exemple, est jugé actuellement Mikhaïl Khodorkovski , PDG de la société pétrolière Youkos pour fraude fiscale. Certains considèrent ce procès comme un procès politique car