Gazprom

économique de Poutine: - une lutte contre les « Oligarques » qui s’étaient enrichis en s’appropriant les entreprises privatisées. - reprise en main par l’état du secteur des hydrocarbures par la constitution de sociétés d’Etat dont les plus grandes sont Gazprom et Rosneft - « réorganisation » du secteur des médias dont certains disparaissent ou sont repris en main par le pouvoir… Le démantèlement de l’entreprise Youkos et l’arrestation de son ancien propriétaire Mikhaïl Borissovitch Khodorkovski sont présentés

l’armement et le nucléaire. Retour en force de l’Etat dans la vie économique à partir des années 2000. Groupes rachetés par l’Etat. Rosneft rachète Ioukos. L’Etat profite des prix du pétrole à la hausse. Gazprom qui est un géant de l’exportation de gaz. Le président du conseil de direction de Gazprom est également premier ministre, Medvedev. 90% de la production de gaz est détenue par l’Etat. Les années 2000 sont celles où l’Etat revient en force dans les médias. En volume, les hydrocarbures représentent

l'Union européenne qui pourrait prolonger le BTE jusqu'aux réseaux d'énergie syrienne et irakienne et ainsi réduire la dépendance énergétique de certains pays européens par rapport à Moscou et d'autre part le projet South Stream, développé par le russe Gazprom, qui prévoit de passer sous la mer Noire en reliant la Russie à la Bulgarie. b) Une force économique, militaire, démographique La notion de puissance implique également une idée de production, qui invite à s'intéresser à des réalisations

aussi largement exploitées. Le prix du m3 est pratiquement indexé sur celui du baril : c’est à la fois un or noir et une pompe à finances, comme viennent de le constater à leurs dépens l’Ukraine, et la Roumanie, (230 $ les 1 000 m3, au lieu de 50 $). Gazprom projette de vendre 180 milliards de m3 en 2010. Les sables bitumineux. Dans le cas des sables bitumineux, il faut dépenser l’équivalent en énergie de deux barils pour en obtenir trois. La dépense d’énergie est donc importante et polluante

entrainé un double appauvrissement de la population : immédiat découlant de la chute de la production, et indirect, avec l’effondrement de l’investissement entre 90 et 98. * Rôle de plus en plus important de l’État dans le secteur énergétique (Gazprom, Transneft, Rosneft) depuis 2005. * Émergence d’une politique industrielle : restructurations dans l’aéronautique (entreprise AOK), industrie nucléaire (binôme Rosatom et Tvel’) et construction navale * Démarche volontariste de V. Poutine

terme : l'Europe à plusieurs vitesses ou l'Europe à géométrie variable (groupe de solidarité) Positionnement OTAN (1949) Problématiques géopolitique • militaire Otan 1949 - Absence de vision commune (chaque compagnie pétrolière négocie avec Gazprom ou Statoil de son coté) • économique - L’Europe commerce avec elle-même • élargissement - Divergence politique parmi les pays (fortes disparités) - Peu de moyens financiers. • role mondial - Échec pour contrebalancer le poids américain dans

d’ENI. A savoir qu’ENI est le premier producteur de gaz en Europe, qu’il est capable de fournir à lui seul la totalité du gaz consommé en France, ENI a donc était choisi par l’état français pour fournir le pays en cas de problème (Comme par exemple GAZPROM qui décide de cesser de fournir GDF en Gaz). Ces différents arguments de négociations ont pour but de valider des éléments de la méthode « SONCASE » à savoir : sécurité, orgueil, nouveauté, confort, argent, sympathie, écologie. Les commerciaux insistent

"techniques" de privatisation surprenantes 66 a- Privatisation et mafia 66 b- L'intervention des banques 68 B . Quelques exemples de privatisation 69 a- L'exemple de Rostelekom 69 b- L'exemple de Gazprom 70 III - LA DESILLUSION DES CITOYENS 70 A . Une privatisation fictive et barbare 71 B . L'injustice des privatisations 71 CONCLUSION 73 BIBLIOGRAPHIE 75 REMERCIEMENTS Je remercie

majorité, sont toujours sous la coupole de l'État et même si la privatisation tant voulu par le reste de l'Occident n'a pas eu lieue, il y eu de nombreux changements. Seuls les pipelines dont le monopole est conservé par les deux entreprises publiques: Gazprom et Transneft, ne subiront pas réellement ces modifications. Tous les autres doivent être repensés de façon à s'adapter au mélange privé/public: les États gardent la mains sur les infrastructures, la concurrence privée s'en arrachent la gestion.

européenne et du régulateur national et d’autre part au respect par l’Etat tiers de l’ensemble des droits et obligations consacrés par la législation de l’Etat membre. Clause pour partie justifié par les craintes suscitées par la compagnie russe Gazprom. Il est à noter que la Russie est hostile au troisième paquet énergie. Vladimir Poutine, premier ministre Russe, à déclaré le 26 novembre 2010 lors d’une conférence de presse conjointe avec la chancelière Angela Merkel : « Nous comprenons que les