Gazprom

sièges), et le LDPR (37 sièges). La majorité des trois quarts est nécessaire à la destitution du chef de l’État. Le nouveau président de la Russie est Dmitri Medvedev (élu le 2 mars 2008). C’était l’ancien PDG de l’entreprise pétrolière et gazière Gazprom. Économie La Russie fait partie des pays économiquement développés PIB de 1 286 milliards de $ en 2007 (nominatif), 2 097 milliards de $ (en parité de pouvoir d'achat, 7e rang en 2007). Son économie est marquée par le poids des industries extractives

(dépendant de l'OCDE), "les ressources sont suffisamment abondantes pour soutenir la croissance" de cette énergie. Mais peu de "majors" s'y intéressent, publiquement du moins. ExxonMobil a une division en sommeil depuis des années. C'est le géant russe Gazprom qui semble le plus entreprenant. Le Kremlin est en train de constituer un holding public capable de vendre la technologie et le savoir- faire russes à tous les pays qui ont un programme nucléaire civil ambitieux, notamment la Chine et l'Inde. 1) Présenter

Chapitre 4 : Les espaces de production dans le monde : une diversité croissanteIntroduction :· A l’échelle mondiale, les espaces de production sont particulièrement diversifiés.· Un espace productif désigne une ensemble de lieu dont les avantages sn=ont mis en valeur pour développer des activités productives, il peut être défini par sa localisation ou par son secteur ou par son entreprise.· Ces espaces de production quelques soit leur secteur d’activité ou quelques soit leur localisation sont de

russo-ukrainien du gaz mais à quel prix ? Pour y parvenir, de nouvelles routes sont explorées avec des projets comme « South Stream » et « Nabucco ». Ces projets titanesques nécessitent des financements important. Le projet «South Stream » lancé par Gazprom et ENI n’a pas les faveurs de l’Europe qui souhaite un gazoduc européen indépendant de la Russie. Le projet « Nabucco » qui contourne la Russie est soutenu par l’Europe et les Etats unis mais traverse des régions politiquement instables sans parler

national. En effet, si les recettes issues du pétrole peuvent aider à asseoir l’autorité de l’Etat central, il y a toujours le risque que celui-ci soit concurrencé sur les plans économiques et politiques par le pouvoir des compagnies pétrolières Ex: Gazprom dispose d’un corps de gardes équipés d’armement lourd, et dont les effectifs sont comparables à l’armée danoise. Mais la major russe possède aussi des satellites optiques à haute résolution, et une flotte de drones, des moyens dont presque aucune

continentale entre leur direction et leur main-d’œuvre. En outre, les FTN utilisant le pétrole comme source de revenu sont nombreuses, et ces dernières son listées ci-dessous : Shell Exxon mobile Sinopec China national petroleum BP Total Chevron Gazprom Petrobras Le pétrole, une fois extrait, est alors raffiné. Sur ce point, pas de mondialisation remarquable, car chaque pays, ou presque à sa raffinerie. En effet, celle-ci se fait au niveau national. Néanmoins, chez les produits dérivés du pétrole

de servir les intérêts russes, en particulier dans le domaine de l’énergie. C’est dans cette perspective que s’inscrivent les accords signés fin janvier entre les compagnies Serbiagaz et Gazprom sur la construction d'un tronçon du gazoduc South Stream (Russie-Bulgarie), et entre le gouvernement serbe et Gazprom Neft pour la privatisation de la principale compagnie pétrolière du pays, Naftna Industrija Srbije. Dès lors, le discours de politique étrangère sur le Kosovo semble déconnecté des intérêts

L’impact de change sur les prises de commandes s’élève à +119 M€, dont 67 M€ liés à la variation du cours du dollar australien. Ces prises de commandes incluent trois commandes d’un montant supérieur à 100 M€ : deux satellites pour une filiale de Gazprom en Russie, un contrat de support logistique pour le programme de drones Watchkeeper au Royaume-Uni et une commande de multimédia de bord. Les commandes d’un montant inférieur à 100 M€, qui avaient été les plus affectées par l’environnement économique

puissance d’un pays. En important plus d’énergie ont créé une vulnérabilité géopolitique, en étant dépendant des pays producteurs. C’est ce qu’on peut observer en ce moment avec la crise Ukrainienne, les pays dépendant du gaz de l’entreprise russe Gazprom ont du mal à prendre place dans ce débat. C’est aussi ce que démontre les américains en assurant la défense de certains pays du Golfe Persique qui sont principalement sous leur responsabilité et en isolent d’autre pays du Moyen-Orient pour les empêcher

l’entreprise Gazprom (part de l’Etat : 51%), possédant le monopole de l’industrie gazière russe, de l’extraction à la distribution. Cette privatisation a permis non seulement d’acquérir des fonds pour son développement, mais aussi d’acquérir une certaine crédibilité auprès des investisseurs. Bien que privatisé, le géant Gazprom a sans conteste conservé un énorme soutien du gouvernement russe comme peut en témoigner la loi de 2006 (Russian Federal Law No. 147-FZ), accordant à Gazprom le droit exclusif