Gaze

l'orchestre sonore, Une fée allumer dans un ciel infernal Une miraculeuse aurore ; J'ai vu parfois au fond d'un théâtre banal Un être, qui n'était que lumière, or et gaze, Terrasser l'énorme Satan ; Mais mon coeur, que jamais ne visite l'extase, Est un théâtre où l'on attend Toujours, toujours en vain, l'Être aux ailes de gaze !

denses que ka poix, sans matin et sans soir, Sans astres, sans éclairs funèbres ? Peut-on illuminer un ciel bourbeux et noir ? Un être, qui n’était que lumière, or et gaze, Terrasser l’énorme Satan ; Mais mon cœur, que jamais ne visite l’extase, Est un théâtre où l’on attend Toujours, toujours en vain, l’Etre aux ailes de gaze ! Baudelaire : L’irreparable Mon cœur est un palais fletri par la cohue ; On s’y soul, on s’y tue, on s’y prend aux cheveux -Un parfum nage autour de votre gorge nue 

travers l'ombre chaude. Vers la gaze de feu que trament les rayons Vole le frêle essaim des riches papillons Qu'enivrent la lumière et le parfum des sèves ; Alors mes doigts tremblants saisissent chaque fil, Et dans les mailles d'or de ce filet subtil, Chasseur harmonieux, j'emprisonne mes rêves. 1- en maraude : en quête de butin 2- tamiser : laisser passer en adoucissant 3- émeraude : pierre précieuse de couleur verte 4- vermeil : rouge foncé 5- gaze : étoffe légère et transparente

Marius, Boris, Ripoll, Rénier, Barboni ou M'Bossolo. Dans les tranchées où ils se terrent, dans les boyaux d'où ils s'élancent selon le flux et le reflux des assauts, ils partagent l'insoutenable fraternité de la guerre de 1914. Loin devant eux, un gazé agonise. Plus loin encore, retentit l'horrible cri de ce soldat fou qu'ils imaginent perdu entre les deux lignes du front, « l'homme-cochon ». A l'arrière, Jules, le permissionnaire, s'éloigne vers la vie normale, mais les voix de ses compagnons d'armes

Se laver les mains Pour les sols : * Remplir le seau bleu avec la solution détergente/désinfectante * Positionner le filet récupérateur de franges dans le seau rouge * Balayer avec la gaze pré-imprégnée en commençant derrière la porte en faisant le pourtour de la pièce * Eliminer la gaze et les salissures dans le sac de recueil des déchets * Prendre une frange rasante * La fixer sur le balai * La tremper dans le seau bleu * L’essorer à l’aide de la presse * Effectuer

vient comparer la Seine à une femme avec les termes : « belles robes », « robes changeantes », « soie », « rubans ». Cette comparaison se confirme avec le champ lexical du vêtement et du tissu : « ruches de satin », « velours noirs », « étoffe », « gaze », « tuniques » et celui de la couleur : « bleu », « vert », « or », « couleur du soleil ». Ces termes habituellement associés à la beauté féminine renforcent l’assimilation du fleuve à un être humain. De plus, l’auteur fait de la contemplation

Je me lave les mains; Je vaporise le produit sur la lavette bleue; J'applique le produit sur le contour des tables puis je reviens à la godille; L'essuyage humide des tables terminées, je mets les chaises sur les tables; Je fixe la gaze humide à l'aide des points d'ancrage du balai trapèze; J'utilise la technique du détourage qui consiste à placer le côté du balai (le moins large vers soi) le long de la plinthe et de pousser le balai; Ensuite, je recommence ce procédé le long

de quatre clients, il passe la nuit avec elle mais reste insatisfait. Le lendemain Olympia est tuée. Arrive alors la vraie Olympia, couverte de gaze, qui révèle à Don Juan que la morte n'était qu'un mannequin. Elle l'incite à l'épouser moyennant de l'argent. Après la déclaration d'amour de Don Juan, elle s'effondre, morte, et on découvre, derrière la gaze, une vielle femme. Tous les comparses n'étaient en réalité que des figures de carnaval. La pièce se conclut par l'arrivée d'un homme vert, ancien

concrets tels que les primevères, le vent, les plates-bandes, les jardins, la tonnelle, la rivière, la prairie et l'herbe. Puis, cette description devient plus mystérieuse. "La vapeur du soir [...] estompait les contours des peupliers." Le vocabulaire "gaze", "pâle", "transparent", "subtile", "au loin" traduit le flou du paysage. Ce paysage flou, sentimental et propice à la douceur, fait rêver Madame Bovary. Elle se plonge dans ses souvenirs si profondément qu'elle "s'achemina vers l'église sans en avoir

le poème : v 5 : « Midi splendide »   2. L’omniprésence du soleil et de sa chaleur: v:2 « accablés de soleil » ;   v8 : « l’ombre chaude » ; « les rayons » ; v11 : « la lumière » ; utilisation de métaphores pour évoquer l’astre solaire : v9 : «  la gaze de feu » ; v13 « les mailles d’or de ce filet subtil»   3. Création d’un tableau estival par la présence d’insectes : v1 : « insectes ; abeilles » ; v 10: « frêle essaim des riches papillons » ; de la végétation abondante : v3 : « feuillage épais » ;