Gavroche Un Héros

le goût pour les rencontres risquées, mais le registre langagier des deux romans est totalement opposé. Elle a la verve, le langage de « titi » et l’insolence envers les adultes propres au Gavroche de Hugo, mais Zazie n’est pas du tout une enfant des rues. Enfin, elle évoque aussi Antoine Doinel, le héros des 400 coups, de François Truffaut, sorti en 1959, comme le roman de Queneau. C’est une enfant terrible dotée d’une famille peu aimante, comme Antoine : elle fugue, commet des vols et ment ;

Victor, à travers Gavroche, fait partager le point de vue et les émotions du peuple qui se bat pour sa liberté car il s’agit de renverser la monarchie "Coche révolutionnaire". Alors que dans le texte B nous voyons, a travers Hussonnet et Frédéric, le peuple est présenté de manière plus critique car il est question d'une masse incontrôlable et primitive "masse grouillante"; "Tous les visages étaient rouges ; la sueur en coulait à larges gouttes" Hussonet fait même réflexion "Les héros ne sentent pas

Nathalie Sarraute dans Enfance raconte avec quel bonheur elle lit les aventures de Rocambole : pour une jeune fille de bonne famille, les improbables péripéties du héros sont un moyen de s’inventer une autre vie. ( Le phénomène est à son comble chez Don Quichotte à tel point qu’il décide de vivre « dans la vraie vie » l’existence d’un héros de chevalerie. Même phénomène chez Emma Bovary qui mesure son existence à l’aune des romans qu’elle a lus. 3-Si bien qu’à travers cette double projection

a) Le lecteur veut vivre par procuration et entrer dans le monde de l’auteur = identification Le lecteur veut croire aux personnages et s’identifier à eux = le héros de roman d’aventure ou l’enquêteur du roman policier. Le lecteur veut être ému par les personnages // registre pathétique amène à croire au personnage : ex Mort de Gavroche ou Cosette dans les Misérables de Hugo ou certains passages de Zola. Le lecteur peut croire au personnage sans pour autant être ému ou s’identifier à lui par l’élément

lui gravitent les personnages dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-même ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Eponine et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi Javert. Motivation Les Misérables est à la fois un roman réaliste, un roman épique, un hymne à l'amour et un roman social. Roman réaliste, Les Misérables décrivent tout un univers de gens humbles. C'est

personnage le lecteur délivre également les siennes car il exprime des sentiments allant de la haine à la tendresse en fonction des choix et de l’attitude du personnage. C’est la catharsis. Dans Harry Potter de JK Rowlings, Le lecteur grandit avec le héros à travers son apprentissage de la vie et de ses émotions : l’amour, la haine, la mort ...il apprend la valeur de l’amitié et la difficulté des choix avec un conflit intérieur entre ses propres intérêts et le choix de l’altruisme. 3. Conflits aboutissent

bourgeoise de Monsieur Jourdain, en effet, celui-ci désire marier sa fille à un noble pour prouver sa richesse, Molière réussit à divertir le public en le faisant rire. La prochaine fois, de Marc Levy est un roman fantastique. Dans cet œuvre les héros ont l'impression de déjà se connaître juste après leur première rencontre ; en effet, ils se côtoient depuis près d'un siècle... Marc Levy emmènera ses lecteurs de Boston à Londres, de Saint Pétersbourg à Florence et Paris dans une histoire où amour

manufacturier : béret, pantalon à bretelles, tablier. Bourgeois en redingote, avec cravate, chapeau haut de forme. Etudiant en bicorne de l’Ecole Polytechnique. Journalier en blouse bleue Gamin en gilet et béret. Peut-être celui qui inspira le Gavroche de Victor Hugo ? Or c’est une erreur : la France peinte ici est un royaume gouvernée par Charles X. Il s’agit bien d’une révolution mais c’est celle de 1830. Nous sommes le 29 juillet, lors de l’une de ces « trois glorieuses » journées, vite oubliées

manufacturier : béret, pantalon à bretelles, tablier. Bourgeois en redingote, avec cravate, chapeau haut de forme. Etudiant en bicorne de l’Ecole Polytechnique. Journalier en blouse bleue Gamin en gilet et béret. Peut-être celui qui inspira le Gavroche de Victor Hugo ? Or c’est une erreur : la France peinte ici est un royaume gouvernée par Charles X. Il s’agit bien d’une révolution mais c’est celle de 1830. Nous sommes le 29 juillet, lors de l’une de ces « trois glorieuses » journées, vite oubliées

comme l’antithèse, l’oxymore et l’antiphrase. (ex. : les contes philosophiques de Voltaire). Le registre épique (ou héroïque), également appelé "tonalité épique", repose sur la réaction d'admiration du lecteur devant les exploits de héros surhumains. Utilisant le sublime et les procédés d'amplification (accumulations, images, hyperboles, superlatifs ...) les textes épiques exaltent des figures dépassant l'humanité et les réalités ordinaires comme dans une partie de la poésie hugolienne