Gaucherie

beaux, et vivre était sublime. » (l.23-24). Les juxtaposition donne l’effet d’un changement à chaque fois car il passe de « ridicules » à « fiers et beaux ». En effet Solal aime beaucoup la maladresse d’Ariane, on le voit par l’oxymore « adorer sa gaucherie » (l.15-16) Conclusion : Au terme de notre étude, il apparait que l’originalité de ce texte réside dans la manière dont il déjoue les attentes du lecteur. L’extrait va des préparatifs minutieux succédant a un fiasco calamiteux jusqu’à un amour

sourire quand il évoque le regard fixe de Frédéric sur le "panier à ouvrage". Le verbe "considérer" transforme en objet rare un objet banal (sorte de fétichisme). • Ce coup de foudre génère une agitation physique qui se traduit par des gaucheries involontaires. • D'emblée, Frédéric adopte l'attitude du dragueur : "il fit plusieurs tours de droite et de gauche pour dissimuler sa manœuvre". • Ce coup de foudre génère aussi la curiosité, mise en valeur par l'accumulation de

allure comique. Même s'il est parfois naïf, le personnage a lui-même conscience de ses erreurs, comme lorsque son « esprit vif » ne l'empêche pas de faire une « sottise » devant Mme de Rênal au début du chapitre 16 : « Il fut gauche et s'exagéra sa gaucherie. Madame de Rênal la lui pardonna bien vite. Elle y vit l'effet d'une candeur charmante. » Face au marquis de La Mole, ses manières trahissent aussi sa méconnaissance des convenances. Pour autant, l'intelligence et l'exceptionnelle mémoire de Julien

immersion culturelle et d'une socialisation adaptée. • Le capital social désigne les autres ressources qui valorisent le capital économique et le capital culturel. Transmis par la famille, l'habitus, composé des manières d'être (l'aisance ou la gaucherie) et des savoirs sociaux (culture générale, formules de politesse) facilite l'entrée dans certains milieux où l'argent et le diplôme seuls ne sont pas suffisants… Le capital social associe la culture, le « savoir-être » et le « relationnel ».

relève les malaises de beaucoup d'adolescentes. Les exemples qu'elle choisit sont particulièrement archétypaux. A dix-sept ans, la jeune fille a grandi, s'est transformée mais sa mère lui interdit de se maquiller, d'être coquette ce qui accentue sa gaucherie. Passée dix-huit ans, l'atmosphère de la maison lui devient insupportable. Puis en grandissant, ses rapports avec le monde qui l'entoure, avec ses parents s'améliorent. L'indépendance financière approche et la jeune fille reprend espoir. Simone

l'endroit sensible et la blessure est incurable». Elle dévoile aussi son côté vulgaire en traitant Danceny de «sot», Cécile de «machine à plaisir», Mme de Tourvel de dévote qui ne peut offrir que «des demi-jouissances» et Valmont «d'une incroyable gaucherie». Sa cruauté et son cynisme laisse peu à peu place à une femme hypocrite et autoritaire. -----Enfin, Mme de Merteuil est une virtuose de l'hypocrisie. En effet, elle détient une parfaite maîtrise de soi, en contrôlant sa figure : «je ne montrai

Elles présentent plutôt la vision du narrateur actuel qui commente son caractère et ses réactions d'antan. 2- Elles renforcent le pouvoir de séduction de Manon : - par le rejet en fin de phrase de transport - en montrant que tout, candeur et gaucherie, disparaît sous la force du sentiment. Même jeu dans la phrase suivante : Le commentaire souligne la faiblesse, la timidité initiales : "J'avais le défaut d'être excessivement timide et facile à déconcerter" Le récit traduit ensuite la soumission

entre le tragique et la culpabilité. Ainsi Cécile présente-t-elle ces deux aspects d’une jeune fille comique de par sa naïveté excessive, et vouée à la fatalité. Cécile est avant tout un personnage comique de par sa naïveté, sa tendance à la gaucherie. Dès la première lettre, puisque c’est elle qui ouvre le roman, le ton est donné : son écriture est légère et enfantine, sans trop de style ni de formalité. De plus, sa lettre est suivie de celle de Merteuil, qui elle, au contraire, maîtrise tout

arrivée chez Cecile. Elle lui dit qu'elle doivents se dépéchés car elles sont invités chez une amie de Mmme Volanges pour le souper. Seulement, Cecile avait prévue d'ecrire une autre lettre à Sophie afin de lui faire part de toutes ses dernières gaucheries et encore lui raconter sa vie ici. Elle prends un stylo et décide d'ecrire. Elle lui parle de sa dernière soirée. Beaucoup de monde étaient invités. Hommes et Femmes n'ont fait que de la scruter lors du souper. Elle rougissait. Le plus pénible

structure à commenter 2. Relevez les oppositions qui structurent le texte 2. Quelle image du poète se dégage du texte ? NB sur la genèse : ajout de la 3e strophe sur les conseils d’un ami fidèle (Asselineau). Strophe « pour insister sur la gaucherie, la gêne de l’oiseau. Variante importante. Texte absent de l’éd de 1857 (la 1ère). Publié en revue en 59. Place ds le recueil et thème abordé Spleen et idéal : douloureuse condition du poète tiraillé entre le haut (ciel) et le bas (terre), l’idéal