Gallicanisme

avant d'être remarqué pour ses talents de rhéteur et d'écrivain. A ce titre il est sollicité pour différents travaux apologétiques et notamment pour défendre la Compagnie de Jésus. Garasse mit toute son énergie à lutter contre l'antijésuitisme, le gallicanisme et le libertinage de l'époque. De violentes controverses lui valent de grandes inimitiés dans l'Eglise et dans la société (Saint-Cyran, Voltaire, Sainte-Beuve), la censure de la Sorbonne et un certain malaise à l'intérieur de la Compagnie. Il meurt

fut connu grâce à l'épopée de Jeanne d'Arc, qui influença positivement son sacre, et surtout la fin de la guerre de Cent ans en 1453. Il repris les parties du royaume laissées à l’abandon par les Anglais, reconstruit l’économie, mit en place le gallicanisme et redora l’image de l'autorité royale. Au XVe siècle, il existe une pluralité de coutumes présentes à travers le territoire et la royauté raffermit son pouvoir législatif par le biais d'ordonnances tel que les textes officiels de la législation

une fois passé son goût des plaisirs de sa jeunesse. Toutefois, dans le domaine religieux comme dans les autres il vise à contrôler l'ensemble de ses sujets au profit de sa politique de grandeur à l'extérieur. C'est pourquoi il est partisan du gallicanisme: il veut une France catholique unifiée sous ses ordres mais indépendante du pape, (en pratique, cela se traduit surtout par une mainmise étroite du souverain français sur les nominations et les décisions des évêques)Il réduit ainsi successivement

naissance à la cour, deuil...). La monarchie est un corps mystique et organique. II) Fondements juridiques 1) Les juristes, les maximes de droit romain, l’affranchissement vis-à-vis du pape et de l’empereur et la naissance de la souveraineté ; le gallicanisme, le concordat de Bologne Les deux autorités d’arbitrage au Moyen Âge : Le pape de l’Église romaine universelle L’empereur du saint Empire romain germanique. Souveraineté du roi de France: le roi est empereur en son royaume; il dispose du monopole

congrégationnistes doublent. Le cléricalisme reprend un nouveau souffle. Toutefois, les articles organiques de 1801 restent en vigueur permettant à Napoléon d’avoir le dernier mot sur l’exécution des décisions de l’Eglise : on peut parler de gallicanisme administratif. L’ordre social et politique {text:list-item} Dès le coup d’Etat, une politique de répression est mise en œuvre à l’encontre de toute opposition. La plupart des chefs républicains et socialistes restent en prison

pouvoir militaire et de diplomatie (seul le roi a le droit de faire la guerre). - Il gère la police religieuse (découle de l’engagement du roi au moment du sacre. Le roi s’engage à défendre l’Église et poursuivre combattre les hérésies. C’est le gallicanisme, intervention du roi dans toutes les matières temporelles religieuses). - Il a le pouvoir d'imposition (il peut seul imposer les personnes (théorie du consentement à l’impôt)). - Et le pouvoir sur la monnaie (seul le roi peut émettre la monnaie

du gallicanisme. C'est une doctrine des rapports du roi de France et du pape. En réponse le pape promulgue un nouveau texte, le 1er novembre 1302 , la bulle unam sanctam. En outre cette bulle rappelle tous les arguments de la théocratie pontificale. Le texte repose sur une confusion totale des domaines spirituels et temporels au profit de la papauté. Le pape affirme que l'église dispose des deux glaives , le spirituel qu'elle conserve et le temporel qu'elle délègue au roi. b- gallicanisme et pragmatique

l’art. 3 : le pape leur demande leur démission. Notons que, par ce moyen, Bonaparte accorde au pape un pouvoir, celui de déposer les évêques français, qui n’était alors pas même reconnu par les théologiens français et qui porte un coup sérieux au gallicanisme. La mise en oeuvre des démissions épiscopales sera donc double. Premièrement, pour les évêques légitimes, et pour faire exécuter l’art. 3 du Concordat qu’il signe personnellement le 15 août 1801. Avant la Révolution, le patronage était conçu

cesse en guerres. La situation économique est catastrophique l’Etat est en déficit budgétaire notamment à cause des dépenses de la Cour ajoutés au prix élevé des guerres. Et la situation religieuse est très tendue, Louis XIV étant un partisan du gallicanisme, décide de supprimer le jansénisme et le protestantisme, jusqu'à disparition de la liberté de culte. Il révoque l'Edit de Nantes en octobre 1685. Il accorde une liberté de culte et des privilèges judiciaires, militaires et politiques à la minorité

l’augustinisme dans sa forme la plus pessimistes : la grâce divine n’est accordé qu’à un petit nbr d’élu prédestiné. L’apparition de courants aussi excessifs provoquent, par réaction, les différentes formes de libertinage (cf III). Aussi renforcement du Gallicanisme (doctrine qui cherche à assurer l’autonomie de l’Eglise de France au sein de l’Eglise catho romaine et à préciser son statut face au pape et au pouvoir royal) avec notamment le concordat de 1516 qui assure au roi la nomination des évêques sous