Gallicanisme

de Beaumanoir. 1303 : Attentat d’Agnani. 1337 : Début de la Guerre de Cent ans. 1348-1350 : Grande Peste. 1378-1418 : Grand Schisme d’Occident. 1415 : Défaite d’Azincourt. 1420 : Traité de Troyes. 1438 : Pragmatique Sanction de Bourges (gallicanisme). 1439 : Etats généraux d’Orléans, grandes ordonnances. 1453 : Prise de Constantinople par les Turcs, fin de l’Empire romain d’Orient. Fin de la guerre de Cent ans. 1454 : Ordonnance de Montils-les-Tours. 1492 : Découverte de l’Amérique.

est marquée par de nombreuses tensions. Tout d’abord entre le tiers état et la noblesse au sujet de la diminution des pensions. De plus, le clergé s’oppose au tiers état à propos d’un article de leur cahier de doléances. Celui-ci est emprunt de gallicanisme[11] et il y est dit que ni le pape ni l’Empereur ne peuvent délier les sujets de l’obéissance qu’ils doivent au roi. Ces divisions laissent à Richelieu, évêque de Luçon et député du clergé, le sentiment de gâchis. II, 1789 et la disparition

Une conséquence des guerres de religion b – Une grande école doctrinale française 2 – Une application pratique : la législation royale a – Une fin : le mos gallicus b – Un moyen : les grandes ordonnances B – Le renforcement du gallicanisme 1 – Le concordat de Bologne (1516) a – Le contexte du concordat : François Ier victorieux à Marignan b – L’apport majeur du concordat : la nomination des évêques par le roi 2 – La Déclaration des quatre articles (1682) a – Un

entérine la réorganisation de l’Eglise de France selon un ordre semblable à l’organisation politique du pays. Les changements sont profonds. L’Eglise française est détachée de la soumission à Rome par l’article 5 du titre I, elle suit donc la voie du gallicanisme, selon l’ambition des rédacteurs de la Constitution civile. Le titre II supprime la nomination des titulaires ecclésiastiques qui sont désormais élus par les citoyens, croyants ou non. Evêques et curés deviennent salariés de l’Etat, et la carte

Louis XIV, la France et détentrice d’une multitude de colonies et mène des guerres permanentes, les colonies étant une grande source de combattants et soldats. Contexte économique : Contexte religieux : Louis XIV, fût partisan du gallicanisme -étant l’église Catholique indépendante du Pape-il décide d'éradiquer le jansénisme et aussi de combattre le protestantisme jusqu'à la date de la disparition de la liberté de Culte. Il supprime l'Édit de Nantes en octobre 1685. Le règne de Louis

premier temps ULTRA « Essais sur l’indifférence de la révolution ». Idée que tout les chrétiens doivent se soumettre à l’autorité du pape, l’ultramontanisme = se soumettre de l’autre coté des montagnes, en opposition à la tradition française du gallicanisme 1830 avant il se rend compte que la restauration d’un pouvoir religieux est impossible il prend la force du mouvement libéral, il va jusqu’au bout de son idée : il accepte le principe d’une société complètement libérale, et une séparation de l’Eglise

par les princes, notamment Philippe le bel, mais aussi par certains ordres religieux, dominicains et franciscains. 2/ Le gallicanisme Le gallicanisme est une doctrine qui suppose 2 idées : le gallicanisme politique qui présume l’indépendance politique du royaume de France et qui permet de s’affirmer contre toutes les puissances étrangères ou encore le pape ; le gallicanisme religieux qui affirme l’indépendance de l’église de France par rapport à la papauté. Cette doctrine a pris naissance entre

faire parti du décor politique avec Mazarin et Richelieu. Dès le début du XVII, Shakespeare fait dire à ses personnages "il n'est point de vertu comme la nécessité". III. Gallicanisme et conscience nationale Avec l'affirmation de l'absolutisme, il y a d'autres aspects à prendre en compte et ce sont ceux du gallicanisme et de la conscience nationale. 1) Idée de nation et mythologie royale L'idée de nation est une réalité floue à l'époque moderne. Colette Beaune est la première historienne

affirmé qu’il fallait protéger le roi et son pouvoir en empêchant la révolte contre Dieu qui est associé au roi. Mais quand Dieu est remis en cause, e roi l’est aussi. B. Le gallicanisme 1. Les gallicanismes Vient de Gallia, la Gaule. Cette doctrine vise à soumettre le clergé français au pouvoir royal. 2 types de gallicanisme : Religieux : les Conciles sont supérieurs au Pape. Les évêques font partie du Concile et donc y participent aussi bien dans le Concile Général que National. Politique : le

présente le roi de France comme le premier défenseur de l’Église de France. Le roi parvient donc, en cette réunion, à couper l’Église de France de la papauté. Naît ainsi une nouvelle idéologie, qui va renforcer l’unité du royaume pour des siècles : le gallicanisme (idée qu’il existe une Église de Gaule). L’Église de Gaule fait partie de l’Église universelle, mais de façon indépendante. Le pape n’est pas content et rappelle que l’Église est une, et que c’est lui qui en est à la tête. Dès novembre 1302, Boniface