Gaius

édifiée en l'honneur de la famille royale en 8, le nom de Claude (devenu Tiberius Claudius Nero Germanicus après sa promotion au rang de paterfamilias lors de son adoption par son frère) ne fut gravé que sur le rebord et après ceux des princes décédés Gaius et Lucius, et ceux des enfants de Germanicus. Il y a controverse sur la question de savoir si l'inscription fut ajoutée des décennies plus tard par Claude lui-même, n'y figurant pas à la base[16]. À la mort d'Auguste en 14, Claude — alors âgé de

faire confiance, de cette définition de base, découle des conséquences quand aux choses, aux personnes et à la durée de ces droits. Chapitre 1 : Les obligations en droit romain : Introduction : Célèbre jurisconsulte Gaius qui expliquait et écrivait : « toute obligation naît soit d'un contrat, soit d'un délit. » Il faut savoir que la distinction entre une obligation conventionnelle et une obligation délictueuse s'est imposée pendant toute la période du droit romain classique

l’utilisation de la logique a conduit les juristes à opérer un certain nombre de classification : La première grande classification (la plus connue, 2ème siècle) : GAIUS : « LES INSTITUTES » : c’est la base d’un autre manuel pour étudiants, qui sont les institutes de Justinien : l’un des fondement du droit occidental. Dans le manuel de Gaius : plan donné à l’exposé de la matière juridique : 1ere partie : les personnes ; 2ème partie : les choses : 3ème partie : les actions. Dans les œuvres de doctrine

personnelle dirigée contre lui le débiteur mais pas contre une chose de son patrimoine. A partir de cette définition générique de l'obligation, les Prudents vont distinguer entre différentes espèces d'obligations. III Les espèces d'obligations Gaïus met à jour un suma divisio entre les statuts de droit « toute obligation naît ou bien d'un contrat ou bien d'un délit », cependant il doit admettre que certains liens d'obligation n'entrent pas dans ces catégories et qu'ils naissent de différents cas

ensemble de Constitutions impériales. Il reprend toute la législation impériale depuis Constantin. - Le droit de répondre publiquement Loi des citations qui dit que ds un procès on ne pourra se baser que sur les opinions de Paul, Ulpien, Papinien, Gaïus… système assez bancal car ces gens sont morts, leur opinion pr bcp de questions pointues c’était peut ê ds une tout autre situation (leur manière était casuistique). Justinien a voulu avoir le monopole de l’interprétation du droit : il a promulgué

classifications, la plus importante est dégagé par un juriste de l’empereur Adrien au 2e siècle qui s’appelle Gaius il écrit le premier manuel de droit qui s’appelle : les institutes , et ce manuel a l’usage des étudiants Gaius le divise en 4 livres selon 3 axes : Le premier livre sur les personnes, le 2eme livre sur les choses et le 3e et 4e sur les actions (procédure). Ce plan de Gaius reste aujourd'hui encore le plan sur lequel on aujourd'hui le droit. Ce plan c'est aussi encore le plan qui a

date du 6eme siècle. Particularité de ces personnes, se sont de grands juristes très proche de l' empereur. Papinien et upien ont été préfet du prétoire sou l'empire. Le préfet est le fonctionnaire plus important après l' empereur. Gaius n'en est pas moins important pour ces fameuses institutes, qui avaient une vocation à faire manuel d' enseignement. Les juristes sont deja ua début du 3eme siecle au service de l' empereur, c' est une pratique de plus en plus courante.

rédiger des actes de la pratique, des contrats, et conseiller pendant le procès : le prêteur et peuvent conseiller aussi les partis.   Ce sont des auteurs , composent des œuvres doctrinales, nous ne connaissons pas ces œuvre sauf une c'est l’œuvre de Gaius intitulé Les institutes, seul traité original dans le texte que nous ayons conserver, ils vont élaborer les premières définitions du droit :   –                    Juristes consultes : Celseécrit au 2 ème siècle :jus est ars buni et aequi :le droit

dieux de chacune des parties1. Les cités grecques fixent des règles relatives au traitement des prisonniers de guerre et s'associent pour gérer en commun des fonctions particulières telles que la gestion du sanctuaire de Delphes. Les Romains, avec Gaius, conçoivent le jus gentium comme un droit qui s'applique à l'ensemble de l'humanité. Il ne s'agit pas toutefois du droit international public tel qu'on le conçoit aujourd'hui, car il concerne le traitement et la protection des étrangers sur le sol

faites par l'empereur ou son conseil à des questions posées par un particulier ou par un fonctionnaire. La réponse est inscrite au bas de la demande. Dès le milieu du II eme siècle les constitutions impériales se voient conférer, notamment par Gaius un célèbre jurisconsulte, une autorité comparable à celle de l'ancienne loi républicaine votée par le peuple dans les comices. Si le prince peut faire la loi explique Ulpien, autre grand juriste du III eme siècle, c'est parce qu'en vertu de