Gaius

De ce fait, c’est une idée qui sera reprise dans le code civil. Les fiançailles ne conduisent pas forcement à un mariage. Différentes alliances (car diffèrent mariage) : Connubium : désigne le droit de contracter un mariage (Dans les Institutes, Gaius donne définition du CG : « capacité de former avec une personne donnée de sexe opposé une union conjugale avec valeur juridique »). Le droit de mariage est réservé au citoyen romain puis il va s’élargir en fonction de l’extension de l’empire et de

beaucoup de monde. La citoyenneté tolérait donc une grande autonomie au peuple qui pouvait ainsi conserver leurs propres administrations et cultes. Sous la république, l’accès à la citoyenneté se fait par la naissance ou l’octroie de citoyenneté. Selon Gaius, est d’abord citoyen l’enfant qui est né en juste noce d’un père qui était citoyen au moment de la conception. Il pouvait y avoir concession de citoyenneté, qui pouvait être collective, ou individuelle. Elles étaient assez rares au début de la république

alors celui des autres. 2 écoles rivales émergent : les sabiniens et les proculiens. Leur rivalité les pousse à perfectionner les raisonnements toujours plus savants. Elle est ainsi source de doctrines. Parmi les juristes célèbres, on trouve Julien, Gaius ou Papinien. Il s’agit de grands juristes mais aussi d’auxiliaires de l’empereur. Composent des consultations, recueillent des conseils qu’ils donnent aux particuliers et prennent part à des disputationes (recueils de débats sur des points controversés

valeur supérieure aux simples consultations. Les consultations sont réunies dans des recueils qui ont donné naissance à la science du droit. Progressivement, les jurisconsultes privés disparaissent. L'empereur s'entoure des plus célèbres jurisprudents (Gaïus, Paul, Ulpien, Modestin, Papinien...). Les lois de l'empereur ou constitution impériale (valeur impériale): ● ● Edit: disposition d'ordre général, ex: edit de Caracalla Rescrit: réponse écrite donnée par l'empereur à un particulier, magistrat

droit romain. Il y a Gaius. C’est grâce à lui que nous connaissons le droit romain. C’est la première fois qu’on va diviser la matière juridique en 3 catégories : choses, matières et action. Le palimpseste définit un premier texte qui est recouvert par un deuxième texte par-dessus. Il y avait aussi Papinien. Il est né en Syrie et il s’est spécialisé dans les solutions de cas difficiles. Il y a aussi Paul et Ulpien. Ils ont fait des compilations et ils ont résumé l’œuvre de Gaius. Ils ont aussi fait

« Suum cuique tribuere » = « Il faut rendre à chacun ce qu’il lui est du ». Ces juristes de l’époque classique envisagent également des classifications, des catégories juridiques : la plus célèbre et importante de ces classification est dégagée par Gaius, juriste du 2ème siècle, qui rédige le premier grand manuel de droit, « Les Institutes ». Ce manuel est divisé en 4 livres, selon 3 axes : le premier sur les personnes, le deuxième sur les choses, le troisième et le quatrième sur les actions (= la

performant qui va marquer considérablement nos institutions, notre culture juridique. Ça va être une base pour reconstruire, réinventer un certain nombre de notions qui avaient disparus au moyen-âge. Jurisprudents, autorités sur lesquels on se réfère (Gaius, Ulpien). Ils seront de manière permanente ré-exploités, cités... on leur doit aussi la notion de république. Comme le disait Cicéron, la république c'est le rassemblement d'une multitude d'individus qui sont associés en vertu d'un accord sur le droit

va se tarir à partir au début de l’Empire. De plus, la loi est concurrencée par d’autres sources du droit : _la juris prudentia qui signifie la doctrine. Elle prend différentes formes comme l’enseignement, la rédaction comme les Institutes de Gaïus. Cet ouvrage est un manuel organisé selon un plan tripartite qui va inspirer les juristes. La première partie concerne les personnes, la deuxième les choses et la troisième les actions. C’est un plan qui manifeste la philosophie sous jacente du droit

va se tarir à partir au début de l’Empire. De plus, la loi est concurrencée par d’autres sources du droit : _la juris prudentia qui signifie la doctrine. Elle prend différentes formes comme l’enseignement, la rédaction comme les Institutes de Gaïus. Cet ouvrage est un manuel organisé selon un plan tripartite qui va inspirer les juristes. La première partie concerne les personnes, la deuxième les choses et la troisième les actions. C’est un plan qui manifeste la philosophie sous jacente du droit

aussi leur préteur dans sa démarche de création d'action nouvelle et par reconnaissance de nouveaux droits. Ils continuent également à rédiger de grands traités. Malheureusement, aucun d'entre eux n'ont jamais été retrouvé sauf un : Les Institutes de GAIUS au IIeme siècle après JC. Les jurisconsultes vont élaborer les premières clés de ce qu'est le droit. Ce sont des clés qui sont teintées de morale liées à cet idéal moral qu'est la justice. Le jurisconsulte Celse "JUS EST ARS BONI ET AEQUI"  (Le droit