Furie

blanc souci de notre toile" c'est à dire "le seul souci de voyager". "Rien, cette écume" qui borde le champagne, ce rien qui est l'Art pur (le "vierge vers") et qui ne désigne que la coupe (la forme sans son contenu). L'écume alors évoque une mer en furie dans laquelle évolue une troupe de sirènes, mainte, déjà morte ("à l'envers") donc la queue en l'air, le buste étant plus lourd. Dans "A la nue accablante tu..." reparaîtra l'image de la sirène noyée dans "l'abîme vain éployé". Nous naviguons sur le

anaphore avec « la » et « qui » (v.6,7,8) qui donne l’impression d’un tempête, d’un cyclone. Puis celle d'un monde apocalyptique. Vision de l’enfer dans le texte : « énorme flambée »(v.4), « Dans les déchirures du ciel, les locomotives en furie »(v.20), « Les démons sont déchaînés »(v.25). Il décrit un tableau apocalyptique du monde qui les entourent. L'évocation de la guerre russo-japonaise de 1905 : « Toutes les gares lézardées »(v.16, gares détruites), destructions matérielles et massacres

Zeus, Hadès, Démeter, Héra et Hestia. Lors du partage du monde qui suit la victoire des Olympiens, il reçoit la souveraineté sur les mers, tandis que Zeus règne sur le Ciel et Hadès sur les Enfers. Poseidon sera donc dieu des mers et des océans en furie, et sera pour les grecs un dieu très important et très puissant. La mer est principalement le domaine de Poséidon. C’est lui qui, fermant à Ulysse le chemin du retour, en fait un "prisonnier" de la mer. Seule une décision des dieux unanimes pourra

répandre le sang. D'autre part, Camille exprime à Horace un discours de reproche et de colère. Camille utilise une comparaison explicite « qui comme une furie attachée à tes pas, te veut incessamment reprocher son trépas »(v.19), dressant de Horace un portrait de monstre grâce à la comparaison. Elle fait une analogie entre elle et une « furie », personnage de la mythologie grecque chargé de chasser les criminels afin qu'il y est une justice. On peut voir qu'en utilisant cette comparaison, elle reproche

son étreinte mortelle jusqu’à occuper le lieu d’où venez les invitations au voyage. B. L’éclatement de la crise Strophe 4 importance du lexique de violence et des sons désagréables « furie, affreux », « hurlement » « sauter », « lancer »  verbes forts et énergiques témoignent de violence « furie »  « geindre » = une plainte, « opiniâtrement » adverbe montre lourdeur et plainte longue et continue Cette crise est la dernière tentative de révolte contre la souffrance, dernier combat.

relevé ensuite différents adjectifs, adverbes et noms communs montrant l’urgence : « violement »l1, « à l’article de la mort »l6, « en toute hâte »l7, « partit comme la flèche »l11, « le galop »l11, « la sueur »l21, « pressée »l22, « la course »l23, « furie »l23. Le champ lexical du feu nous amène dans un monde luciférien ou un monde maléfique. On peut relever par exemple « fumée »l9, « étincelles »l16, « trainée de feux »l17, « feux follets »l18, « torche »l27. L’image des « feux follets » personnifiés

a ", que Rimbaud voit noir.  Les assonances en " i " imitent le bruit strident des cloches.  Les allitérations en " k, l, s, r " à la 4ème strophe sont imitatives du bruit des cloches, bruit strident des " cloches qui sautent ", et avec le mot " furie ", caractérisent les sorcières, harpies de la mythologie grecque, d'où le mal, un apocalypse bondissant uqi envahit allègrement le texte.  - le temps visuel : on remarquera une cessation de musique, avec l'arrivée d'une laideur visuelle.  Le

la folie l'atteint est bien de la peur, même inconsciente. Il est facile de discerner la peur d'Oreste lorsqu'il voit Pyrrhus et Hermione enlacés, cela semble être ce qu'il redoute le plus, malgré leur mort à tous les deux. La métaphore filée de la Furie pousse Oreste à craindre Hermione, qu'il aime pourtant («Quels démons, quels serpents traîne-t-elle après soi?»). Cela montre qu'au fond de lui il sait quelle est la vraie Hermione. De plus l'harmonie imitative bien connue «pour qui sont ces serpents

silencieuses et d’autres bruyantes qui se succèdent et font ainsi référence aux différents moments de la crise comme le prouvent les termes « gémissant », « muet », « cloches », « furie »,  « hurlement », « geindre », « tambours » et « musique ». Tout comme ce champ lexical, la métaphore « des cloches tout-à-coup sautent avec furie // et lancent vers le ciel un affreux hurlement » montre que la folie l’emporte sur la raison durant cette crise de Spleen. De plus l’utilisation de la tournure au passif comme

aux marins qui emprisonnent l’Albatros - Eclatement de la crise Quatrain IV Champ lexical de la violence et de la souffrance -> "tout à coup"+ "sautent avec furie" + "lancent" + "affreux hurlements" " + "geindre" -> souffrance brutale et aiguë du poète Métaphore -> " des cloches tout à coup sautent avec furie" -> hallucination sonore -> souffrance du Poète / paroxysme de la crise de folie Césure -> " Et lancent vers le ciel un affreux hurlement" -> 2 hémistiches