Frankenstein

engendrer le chaos. Imaginons que Midas puisse continuer. N’aurait il pas, dans sa folie de pouvoir, transformé tout en or (plantes, animaux, mer,…) et ainsi détruire le monde. Luc Ferry, dans son livre « la sages des Mythes », l’associe au mythe de Frankenstein, qui lui aussi, défit le pouvoir divin en redonnant la vie à des cadavres, mais voit sa réalisation se transformer en monstre, et donc créer le chaos. Enfin, je ne voudrai terminer sans vous parler peux d’Eros, fils de Poros [l'Abondance] et

que dans la mesure où la vie nous intrigue et nous intéresse, les manipulations scientifiques sur le vivant sont celles qui frappent sans doute le plus l’imagination, alimentant les espoirs et les craintes les plus grandes (Cf les fictions, de Frankenstein aux récits modernes de « science-fiction »). ----------------------- [1] La théorie d’Aristote est l’hylémorphisme : le corps est composé d’une matière et d’une forme, principe immatériel d’action et d’unité. L’âme peut être végétative (plantes)

l’éducateur, et qu’elle n’est pas un processus de fabrication par lequel un être, l’éducateur, en fabrique un autre, l’éduqué. [..], cette représentation de la relation éducative trouve sa résonance conceptuelle et sa validation théorique dans le « Frankenstein pédagogue » de Philippe MEIRIEU. Ce dernier illustre parfaitement le cheminement par lequel l’éducateur renonce à la position d’un créateur tout-puissant, modelant une créature selon son désir et sans préoccupation de l’objet à venir, pour adopter

éprouvettes. L’idée que l’on peut (choix raisonné) donné naissance de la même façon que l’on peut le détruire. On maitrise le vivant de bout en bout, du vivant à la mort. Question posée après, le risque que tout cela nous échappe. Mythe de Frankenstein. Les mythes donnent une vision très exagéré de choses qui existent quand même. Question des limites, question de sagesse puisque l’on se projette dans les risques alors que le scientifique ne se pose pas les questions sur les conséquences

ou d’évasion. Ici c’est la sexualité de Wallace qui fait peur. Nick Park en appelle ainsi logiquement au fantastique pour transfigurer son sujet. Ce sont d’abord les trois figures majeures du genre qui sont convoquées : -Frankenstein pour la création du lapin-garou avec la trappe ouverte sous le ciel lunaire ; ----Docteur Jekyll pour la transformation de

On retrouve dans le monde certaines enseignes comme Mac Donald, c’est un lieu où se mélangent toutes les classes sociales sans aucune distinction. Pouvoir manger devient aussi un droit que revendiquent les hommes (Les Restos du Cœur). La “Frankenstein food” illustre les firmes multinationales dont l’unique but est le profit qui prend le dessus sur la qualité voir la sécurité des aliments. Cependant, à l’heure d’aujourd’hui, de nouveaux concept voit le jour ; comme manger bio par exemple,

dramatització? Tesina de 12 créditos del Doctorado “Innovación y Sistema educativo”. Documento Policopiado. Universitat Autònoma de Barcelona MATURANA, H.R.. (1995) La realidad: ¿Objetiva o construida? Barcelona: Anthropos. MEIRIEU, Ph. (1998) Frankenstein educador. Barcelona: Laertes. MIRZA, R. (2003) “Acciones y reacciones en escena. La palabra encarnada” en Assaig de Teatre . Revista de l’Associació d’Investigació i Experimentació Teatral. 36 (59-69) MOORTHY, R. (1996) Rehearsal for reality:

vivant (biotechnologies) par l’identification des gênes avec ses multiples applications : pour nourrir les 9 milliards d’hommes que nous seront en 2050 avec les OGM ; pour guérir les maladies génétiques ; mais aussi pour réaliser le vieux rêve de Frankenstein : faire un homme nouveau issu de manipulations génétiques : la fiction ou le cauchemar peuvent devenir vite une réalité ! (Dolly, gentille petite brebis née en 1996 morte en 2003 est le premier mammifère né sans qu’il y ait eu formation d’un embryon

« foi faustienne », de l'« État faustien », en attendant l'« univers faustien » du physicien Stannard ? Frankenstein : C'est le propre des mythes d'être sans cesse réinterprétés. Celui de Frankenstein, qui trouve son origine dans le récit de Mary Shelley (Frankenstein, or the Modern Prometheus, 1818), s'y prête tout particulièrement en ce qu'il joue sur le thème du double. Le savant Frankenstein tente de créer un homme, mais cette créature lui fait bien vite horreur et le monstre sans nom est condamné

normale ». Elle représente un prolongement naturel de leur personne et comporte une dimension sociale, culturelle et affective. Elle ne porte plus la connotation potentiellement menaçante que les générations précédentes lui attribuaient (syndrome de Frankenstein : la création technologique peut se retourner contre son créateur, comme dans les films (Wargame, 2001 l’odyssée de l’espace, etc.). Créer et développer une image de marque auprès des Y Il est aujourd’hui difficile pour les marques de communiquer