Frankenstein

ambivalente Cette ambivalence de la technique, à la fois bonne pour l’homme et agressive à l’égard de la nature, s’aggrave dans la littérature du XIXe siècle : le confort acquis par l’homme s’accompagne d’un danger éventuel, thématisé dans le Frankenstein de Mary Shelley aussi bien que par les ingénieurs ou savants fous de Jules Verne. Aucune technique n’est « neutre » : sa valeur vient de l’usage qui en est décidé. Pour peu qu’elle soit au service d’une science elle-même mal orientée, c’est la

le temps, elle permet une vision plus réaliste des choses, la monsturosité parait donc plus vivante, plus réelle que sur une peinture. Cette photographie prise par Rick Baker, spécialiste des effets spéciaux américain, représentant le célèbre Frankenstein, montre la monstruosité physique, la propre invension de l’homme, l’homme qui crée le monstre. photographie, tirée du film de James whale. Mais la photographie n’est pas seulement l’image de personnes ou de paysages. Comme on peut voir

pionnière de la littérature de science-fiction avec son célèbre et terrifiant Frankenstein ou le Prométhée moderne. Mary Shelley a rédigé son roman d’une traite à la suite d’un effroyable cauchemar. Or, l’histoire du docteur Frankenstein contient en germe les deux thèmes de science-fiction les plus porteurs aujourd’hui : la révolte des robots et la création artificielle de la vie. En effet, le « monstre » de Frankenstein tient à la fois un peu du robot qui se retourne contre son créateur mais annonce

inertes, et de leurs rapports (mécanique), il n’en est pas de même des corps vivants : finalité interne, auto-réparation, capacité à faire des choix, à prendre des initiatives. Comment alors apprendre une vie qui reste un mystère ? ► M. Shelley, Frankenstein (échec de la création du vivant par l’homme, apprendre la vie au sens de la réduire à une composition d’organes mécaniquement liés les uns aux autres est une prétention insoutenable) - D’autre part, apprendre à vivre imposerait des normes, une

aurores ou se renouvelle la vie. La Fortune des Rougon Theophile Gautier : le Roman de la momie Guy de Maupassant : Bel - Ami, Le Horla ? Victor Hugo : Notre Dame de Paris, les Misérables Jules Renard : Poil de Carotte Mary Shelley : Frankenstein Bram Stoker : Dracula Robert Louis Stevenson : Dr Jekyll & Mr Hyde Marguerite Yourcenar : Mémoires d'Hadrien Louis Ferdinand Céline : Voyage au bout de la nuit Vladimir Nabokov : Lolita Alberto Moravia : Le mépris Pierre Choderlos de Laclos

2.Que signifie eros et logos? 2.1passion et raison 2.2 la haine et la raison 2.3 la passion et l’amour 3.Quel es la racine des mots eros et logos? 3.1 grec 3.2 arabe 3.3 latine 4 la quel de ses oeuvres est de molière? 4.1 dom juan 4.2 frankenstein 4.3 le grand cahier 5 Quant debute la renaissance ? 5.1 16ème 5.2 17ème 5.315ème 6 La quel parmis ces proposition font parti de l époque classique? 6.1 la relation avec la nature 6.2 la faiblesse de l etre 6.3 la tolerance et la raison

vit grâce au narrateur, ce n’est pas tant son univers familier qui le fait s’attacher au lecteur mais lui-même, son caractère, sa psychologie retranscrite dans le roman par des mots pour lui faire « prendre vie » à la manière en quelque sorte de Frankenstein. Dans le cas du roman d’Albert Camus, L’étranger, monsieur Meursault le personnage principal parait détaché, éloigné de tout ce qui fait la société, une vie, une personne réelle. Seul l’emploi du « je » permet une identification du lecteur

I. Disséquer Sheldon CooperOn ne peut nier que j'ai des sentiments pour vous qui ne peuvent pas être expliqués autrement.J'ai brièvement considéré que j'avais un parasite cérébral, mais cela semble encore plus tiré par les cheveux.La seule conclusion était l'amour  . Sheldon Cooper, La théorie du Big Bang. Si vous avez vu même un seul épisode de la sitcom à succès, The Big Bang Theory, alors vous connaissez le Dr Sheldon Cooper. Joué à la perfection par Jim Parsons

le K * I. Calvino, Le Vicomte pourfendu *, Le Baron perché, Les Villes invisibles S. Zweig, Marie Stuart *, Marie-Antoinette *, Fouché P. Buck, La Mère * A. Patton, Pleure ô Pays bien-aimé * O. Sembene, Les Bouts de bois de Dieu * M. Shelley, Frankenstein J. Steinbeck, Des Souris et des hommes *, Les Raisins de la colère J. London, L'Appel de la forêt *, Le Vagabond des étoiles H. Melville, Moby Dick E. Hemingway, Le Vieil Homme et la mer * H. Lee, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur * A. Koestler

divergeante. Une différence fondamentale est tout de même à préciser : si l’extraterrestre est l’étranger suprême (il n’est pas humain par sa nature même), le monstre lui peut l’être régulièrement (exemple Freaks, Elephant Man = déformation physique, Frankenstein, Zombies et Morts vivants…) 1- Dans le registre horreur C’est le registre habituel du film d’extraterrestres ou de monstres. Etrangers, ils nous veulent du mal. Ils représentent notre peur fondamentale de ce qui est différent. L’humanité fait