Francoise Choay Patrimoine

profiter de la nature, du contact avec Dieu, et des bas loyers. La théorie de Howard est à la fois citée comme un modèle « anti-urbain »1 ou « à coté de la ville »2 et comme un modèle alternatif de ville plus seine et plus sociale. Pour Françoise Choay, on trouverait dans le modèle de Howard les éléments qui vont servir à la déconstruction de la ville européenne. Le caractère anti-urbain de la théorie howardienne résiderait dans le fait qu’elle serait à l’origine du « développement quasi infini

Cours du champ « Métiers de la culture et de la création » Patrimoine, culture et médiation L’identité individuelle et collective entre arts, mémoire et l’histoire « Alors qu’entendre par identité de la France ? […] En somme un résidu, un amalgame, des additions, des mélanges. Un processus, un combat contre soimême, destiné à se perpétuer. S’il s’interrompait, tout s’écroulerait. » Fernand Braudel1 « Penser, penser qu’il est un Moi, voilà ce qui fait la racine de la nature de l’homme. En tant

acquisitions récentes les plus intéressantes de la recherche concerne les paysages culturels. Ce concept, initialement destiné à faire pièce à celui de paysages naturels dans la mise en oeuvre de la convention de l’UNESCO pour la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel (1972), a été laborieusement élaboré à partir d’une rencontre d’experts internationaux à la Petite-Pierre (1992). Il reste entaché par bien des ambiguïtés inhérentes à la notion de paysage (notamment en ce qui concerne

domestique, elle est aussi un « placement », c'est-à-dire une épargne non financière et un investissement dont on entend qu'il conserve ou augmente sa valeur tout en procurant des satisfactions immédiates. A ce titre, elle est l'élément central d'un patrimoine dont on attend qu'il dure au moins autant que son propriétaire, et même qu'il lui survive, à titre d'héritage. Mais on ne peut comprendre complètement les investissements de tous ordres, en argent, en travail, en temps et en affects, dont elle fait

environnementales définit les orientations du développement privé et public du quartier historique. Ceci se fait entre autres au travers d’opérations de rénovation d’ensembles exemplaires et de leurs espaces collectifs en assurant la pérennité du patrimoine architectural. Places et bâtiments La forme des places est tributaire de la masse construite des bâtiments qui l’entourent. Une interaction intense passe par la membrane, la façade, commune et au bâtiment et à la place. Ce rapport direct est

municipalité va donc lancer un concours d'urbanisme remporté par les architectes de renom Tschumi et Merlini, qui proposent le projet « Ponts-Ville ». Les deux architectes y tiennent compte de la volonté de la population lausannoise de conserver le patrimoine architectural du Flon et de privilégier les logements à l'activité tertiaire, en imaginant un système inédit de ponts traversant la vallée et facilitant le transit piéton dans le quartier. Cependant, une partie des groupes d'associations s'opposent

démonstration spectaculaire de l'adaptation à un terrain en pente dans cette filiation ouverte par les projets Roq et Rob de Le Corbusier. En revanche, parmi les Tessinois, Frampton oublie Livio Vacchini. À moins qu'il ne s'agisse d'un rejet ? 9 Françoise Fromonot n'est-elle pas plus pertinente lorsqu'elle explique, dans Jørn Utzon et l'Opéra de Sydney, Paris, Gallimard, 1998, 236 p., coll. « Documents d'architecture », que l'église de Bagsværd « reprend d'une manière frappante la typologie de ces

définit quelques caractéristiques de la ville durable qui doit être une ville resserrée, avec une circulation douce, des espaces verts au centre, une maitrise des déchets et une meilleure prise en compte des risques ainsi que la préservation du patrimoine. Dans un article intitulé « les contradictions de la ville durable » [2], Jacques Theys et Cyria Emelianoff soulèvent les contradictions et les impasses potentielles de la ville durable comme la tentation néo-rurale, l’écologie de standing qui

l'existant[34]. De fait, celles-ci sont au cœur de la démarche à suivre dans le cadre de l'urbanisation : une cartographie permet en effet d'appréhender la complexité et la dynamique du Système d'Information. Il s'agit de réaliser l'inventaire du patrimoine de l'entreprise après avoir identifié les processus métier et analysé leur couverture fonctionnelle et applicative. Comme pour la cité[35], la cartographie d'un SI est à la fois : - Scientifique : elle repose sur un métamodèle.

Emilie Dalage-Py, Octave Debary, Michèle de La Pradelle, Nicolas Flament, Jean Jamin, Régis Meyran, Catarina Pasqualino, Luc Régis, Bernard Tran, Inès Jorgensen, Claudio Zulian. Je remercie pour leur soutien logistique ou financier : la Mission du patrimoine ethnologique, l’Association nationale pour la recherche technique (Anrt), la Société Provinciales, le Laboratoire d’anthropologie des institutions et des organisations sociales (Laios) et en particulier Huguette Agamennone, l’UFR Art et Culture