Fordisme Inconvénients

1993 Le travail dans vingt ans, J. Boissonnat (rapport de la commission présidée par) , la documentation Française, 1995. Les outils de la décision stratégique (2 tomes), J. Allouche et G. Schmidt, la Découverte “ Repères ”, 1995. L’après-fordisme, R. Boyer, J.P. Durand, Syros, coll. Alternatives Economiques, 1993. INTRODUCTION I- Qu’est-ce-que la GRH ? Une pratique des entreprises Une discipline des sciences sociales II- Pourquoi est-il important pour un ingénieur de

 Les cercles de qualité Définition : Les cercles de qualité sont de petits groupes de 3 à 10 employés, appartenant à la même unité de travail (atelier, unité de production, service) ou ayant des préoccupations professionnelles communes qui se réunissent volontairement et de façon régulière pour définir, analyser, choisir, proposer et résoudre les problèmes relatifs à leur activité. Définition d’Ishikawa (*) : « le cercle de qualité est un petit groupe qui gère volontairement la qualité

qualité, de maintenance, de sécurité, de prix de revient…, ou encore le zéro défaut, l'esprit d'équipe, etc. Cette nouvelle forme d’organisation, basée sur les compétences et la qualification des ressources humaines, marque la fin du taylorisme et du fordisme à l’état pur. Le journaliste japonais Satoshi Kamata a fait une analyse très critique de ce système dans un livre-enquête, réédité en français en 2008 sous le titre Toyota. L'usine du désespoir. En 1972, il a partagé pendant cinq mois le quotidien

Importance de la ligne hiérarchique L’information circule du haut vers le bas LE FORDISME : Mêmes principes que l’OST appliqués à la production de la Ford T en 1908 : La division du travail, apparition du travail à la chaine Augmentation du salaire des ouvriers pour stimuler la demande et lutter contre les démissions. LE TOYOTISME : Application seulement dans les années 70 Marque la fin du taylorisme et du fordisme Volonté de lutte contre le gaspillage, éviter la production excédentaire Cercle

répéter chaque jour pendant son temps de travail, on ne demande pas au ouvrier de réfléchir, ils doivent exécuter. En 1908 Henri FORD, inventa le FORDISME, cette méthode et la méthode amélioré du taylorisme, avec le fordisme les salariés on plus de liberté, il non qu’une seule tâche propre a eux même désormais ils peuvent effectuer plusieurs tâches. Le fordisme a permis l’évolution de l’organisation du travail est a donné naissance au travail à la chaine. Les ouvriers ne se déplacent plus ses les produits

l’organisation du travail Fabrice Bourgeois & François Hubault L’organisation du travail s’impose dès qu’on mobilise des ressources pour agir dans un contexte donné. Cette mobilisation organisée des ressources privilégie, depuis le taylorisme et le fordisme, la procéduralisation du travail, jusque dans les « nouvelles formes d’organisation », comme récemment, le lean. Une telle approche postule que l’efficacité de l’organisation réside dans la valeur des procédures mises en place pour agir dans le monde

établi les principes de l’organisation scientifique du travail introduisant une nouvelle division (TBI) et hiérarchisation du travail (TBI) au sein des usines (ingénieurs, contremaîtres, ouvriers). Henry Ford (TBI) enrichit le taylorisme en créant le fordisme qui va au-delà de la simple organisation du travail industrielle et fait entrer les Etats-Unis et bientôt le monde dans une nouvelle ère, celle de la société de consommation. La société de consommation repose sur un large accès aux biens industriels

du travail. Il s’agit d’éliminer toute perte de temps dans la fabrication d’objet. Chaque ouvrier doit accomplir des gestes : → simples → automatiques → minutés → et plus tard, sans se déplacer C’est le Taylorisme → 2nd Temps : le fordisme à partir de 1913. Henry Ford reprend le taylorisme et le perfectionne : il élimine le déplacement des ouvriers, c’est l’objet fabriqué qui sera déplacé et non l’ouvrier : c’est la naissance du travail à la chaîne qui se généralise progressivement

Définition : Les cercles de qualité sont de petits groupes de 3 à 10 employés, appartenant à la même unité de travail (atelier, unité de production, service) ou ayant des préoccupations professionnelles communes qui se réunissent volontairement et de façon régulière pour définir, analyser, choisir, proposer et résoudre les problèmes relatifs à leur activité. Définition d’Ishikawa (*) : « le cercle de qualité est un petit groupe qui gère volontairement la qualité dans un atelier. Ce petit groupe

elle-même. La réflexion sur le travail et l’organisation du travail est contemporaine de l’essor du capitalisme industriel [1]. C’est cette genèse de la sociologie du travail que nous allons aborder dans cet article avec l’étude du taylorisme et du fordisme. Origines du taylorisme F.W Taylor débute sa carrière en 1878 comme ouvrier puis est nommé chef d’équipe de tourneur dans une usine métallurgique. En tant que contremaître, il se retrouve confronté à ce qu’il appelle la « flânerie systématique »