Forces Et Faiblesses Danone Et Nestlé

d’activité : le modèles des 5 forces +1....................................................................................27 Les limites du modèle des 5 forces +1 selon Johnson et Fréry: .............................................................................................28 Réglementation et champ d’activité des intervenants : ..........................................................................................................28 Le modèle des 5 forces appliqué au secteur bancaire :

déploiement à l’international A. Les critères d’engagement à l’international * Avant de s’engager dans un développement à l’international, l’entreprise doit procéder à une analyse SWOT très poussée * Elle doit analyser en profondeur ses forces et ses faiblesses dans une perspective internationale. * Elle doit analyser les risques de manière approfondie les opportunités et les risques de l’extension à l’international, sachant qu’on peut estimer que plus la distance entre le marché d’origine et

pratique, l’orientation-clients est diversement appliquée dans les entreprises, même si toutes prétendent s’en inspirer. En fait, comme on l’a souligné plus haut, l’orientation-clients est un idéal à atteindre, rarement tout à fait réalisé. La réelle faiblesse de l’orientation-clients est de négliger les besoins non exprimés des consommateurs. Il est clair que, si l’on interroge les consommateurs sur leurs besoins futurs, ils pourront, au mieux, imaginer un produit actuel légèrement amélioré : typiquement

pratique, l’orientation-clients est diversement appliquée dans les entreprises, même si toutes prétendent s’en inspirer. En fait, comme on l’a souligné plus haut, l’orientation-clients est un idéal à atteindre, rarement tout à fait réalisé. La réelle faiblesse de l’orientation-clients est de négliger les besoins non exprimés des consommateurs. Il est clair que, si l’on interroge les consommateurs sur leurs besoins futurs, ils pourront, au mieux, imaginer un produit actuel légèrement amélioré : typiquement

..........................................................17 Les marques de distributeurs se déclinent en en trois niveaux de qualité .......19 Les forces et faiblesses des marques de distributeurs ............................................19 Les marques de distributeurs, une arme stratégique .......................................19 Les faiblesses des marques de distributeurs .....................................................22 L’évolution des marques de distributeurs .....................

...........................................17 3) Les marques de distributeurs se déclinent en en trois niveaux de qualité .......19 D. Les forces et faiblesses des marques de distributeurs ............................................19 1) Les marques de distributeurs, une arme stratégique .......................................19 2) Les faiblesses des marques de distributeurs .....................................................22 II- L’évolution des marques de distributeurs ...........

...........................................17 3) Les marques de distributeurs se déclinent en en trois niveaux de qualité .......19 D. Les forces et faiblesses des marques de distributeurs ............................................19 1) Les marques de distributeurs, une arme stratégique .......................................19 2) Les faiblesses des marques de distributeurs .....................................................22 II- L’évolution des marques de distributeurs ...........

ancien ministre de l’Indonésie, directrice générale de la Banque mondiale Saad HOURY, directeur général adjoint de l’Unicef François BOURGUIGNON, directeur de l’École d’économie de Paris (EEP) Emmanuel FABER, directeur général délégué du Groupe Danone Maria NOWAK, présidente de l’ADIE (Association pour le droit à l’initiative économique) Frédéric de DINECHIN, directeur de cabinet du gouverneur de la Banque de développement du Conseil de l’Europe (CEB) Olivier BOBINEAU, sociologue Méthode

INDRAWATI, ancien ministre de l’Indonésie, directrice générale de la Banque mondiale Saad HOURY, directeur général adjoint de l’Unicef François BOURGUIGNON, directeur de l’École d’économie de Paris (EEP) Emmanuel FABER, directeur général délégué du Groupe Danone Maria NOWAK, présidente de l’ADIE (Association pour le droit à l’initiative économique) Frédéric de DINECHIN, directeur de cabinet du gouverneur de la Banque de développement du Conseil de l’Europe (CEB) Olivier BOBINEAU, sociologue Méthode de travail

Bacardi-Martini, Bayer CropScience, Beiersdorf France SA, Bel, Blédina, Groupe Caisse d'Epargne, Carrefour, Coca-Cola France et Coca-Cola Entreprise, Danone Eaux France, Danone Produits frais France, Eco-Emballages, Expanscience, La Française des jeux, France Telecom Orange, Kellogg's, Kraft Foods France, Groupe L'Oréal, Lesieur, Mars France, Michelin, Nestlé France, Orangina Schweppes, Pernod Ricard, Pfizer, PMU, Procter & Gamble France SAS, Proléa, PSA Peugeot Citroën, Renault, Sanofi-Aventis, Sara Lee