Famille de Lamoignon

de Sardaigne ; Élisabeth de France (1764-1794), elle partage jusqu'aux derniers instants le sort de la famille royale. Elle est guillotinée. Étant ici précisé que du premier mariage de Louis-Ferdinand est issue Marie-Thérèse de France (1746-1748). De nombreuses personnes sont là pour constater la venue du nouveau-né : l'accoucheur de la famille royale Jard ; le chancelier Guillaume de Lamoignon de Blancmesnil, le garde des sceaux Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville et le contrôleur général des

femmes et de leurs descendants, mais également l’ensemble des règles de succession à la couronne qui est définitivement fixée dans la seconde moitié du XIVe siècle. On considère alors que la couronne de France se transmet de père en fils dans la famille capétienne par ordre de primogéniture. Les femmes et leurs descendants sont exclus et à défaut de descendants en ligne directe, c’est le collatéral le plus proche du roi défunt par les hommes qui succède. La dévolution de la couronne est réglée

conflit entre le roi et le Parlement. 1762 : Rousseau, Le contrat social. 1766 : Séance de la Flagellation. 1770-1771 : Réforme de la justice par le chancelier Maupeou. 1776-1783 : Guerre d’Amérique. 1787 : Edit de Tolérance. 1788 : Réforme Lamoignon ; Crise financière ; Refus de la réforme par les Parlements. 5 mai 1789 : Réunion des Etats généraux. 17 juin 1789 : Le Tiers état se déclare Assemblée nationale. 20 juin 1789 : Serment du jeu de Paume. 9 juillet 1789 : L’Assemblée se déclare

d’où le calvinisme. Les 2 religions deviennent des partis politiques dès lors que la Noblesse en prend part comme Henri de Navarre Duc de Bourbon (père d’Henri IV) pour les protestants et pour les catholiques : le Duc de Lorraine apparentant à la famille des Guise Quelle est la position du roi qui est catholique ? il a pour successeur, Henri de Navarre donc protestant. Un 3ème parti apparait : le parti de l’État incarné par Michel de L’Ospital, chancelier de France C’est la solution pour un retour

parfaitement assuré. Unité de l’Etat et unité dans l’Etat. Jean Bodin accorde une sorte de primat à la famille car il voit dans la famille le socle même de l’Etat. Et d’ailleurs il donne à cet égard une image : Le titulaire du pouvoir s’inspire directement d’un modèle bien connu, il s’agit de celui du père de famille. Le monarque détient la fameuse puissance souveraine à la différence du père de famille. Cette distinction assez subtile entre le siège de la souveraineté et la manière de l’exercer est quelque

son biographe Roger Duchêne[2]. Biographie La jeunesse de Molière Molière est né au coin de la rue Sauval (anciennement des Vieilles-Etuves) et de la rue Saint-Honoré (maison détruite en 1802). Toute la famille habite le quartier des Halles (détail du plan de Turgot, 1739).Sa famille Jean Poquelin, que l’on appellera Jean-Baptiste et qui sera Molière, est baptisé le 15 janvier 1622 à Saint-Eustache, dans le quartier des Halles à Paris[3]. Il est né dans la maison[4] où son père, Jean Poquelin

Sa naissance : Jean de La Fontaine naît à Château-Thierry dans l'Aisne. Sa mère a déjà une fille, Anne de Jouy, née d'un premier mariage dont elle est veuve. En plus de sa demi-sœur, Jean aura un petit frère, Claude, qui naîtra en 1623. La petite famille mène une vie aisée grâce à la fortune personnelle de la mère, Françoise, et grâce à la charge de Maître des eaux et forêts exercée par Charles, le père. B.Son enfance : Jean de La Fontaine est baptisé le 8 juillet 1621 à Château-Thierry. Son acte

justice excessif et arbitraire, etc. En bref, la justice d’Ancien régime est chère, compliquée, inégalitaire. Les tentatives de la monarchie pour la moderniser se sont heurtées à l’hostilité des Parlements. Aucune réforme de fond n’a duré (Maupeou, Lamoignon). N.B. - En matière pénale, le système est fondé sur l’arbitraire. Qu’entend-on par « arbitraire » ? Dans l’Ancien régime, le système judiciaire est organisé en dehors de toute législation : pas de code pénal, c'est-à-dire de textes généraux définissant

des réformes judiciaires libérales avaient déjà été entreprises sous l’Ancien Régime. C’est en effet dès 1780 que la sellette et la question préparatoire, qui consistait à torturer un prévenu afin d’en retirer des aveux, sont abrogées. En outre LAMOIGNON, garde des sceaux en 1788, tentera en vain une réforme en vue de moderniser la justice. Mais elle sera vouée à l’échec par le comportement des parlementaires qui la rejetteront massivement. C’est alors dans ce contexte pesant que de nombreux cahiers

Ordonnance de Villers-Cotterêts (1539) Ordonnance de Roussillon (1566) Ordonnance de Moulins (1566) Ordonnance de Blois (1579) aux 21 Code Michau (1629) / Michel de Marcillac B) Les ordonnances de Louis XIV Colbert / Chancelier Séguier / Lamoignon Ordonnances : procédure civile (1667), criminelle (1670) ; Eaux et Forêts (1669) ; commerce (1669) ; commerce des mers (1681), code noir (1685). C) Les ordonnances de Louis XV Chancelier d’Aguesseau Ordonnances : donations (1731) ; testaments