Famille de Lamoignon

sceau personnel du roi et qui permettent de faire incarcérer sans autre jugement que celui du roi toute personne atteinte de folie ou qui représenterait un danger pour l’ordre public. Dans la plupart du temps ces lettres étaient des demandes des familles. La manifestation la plus éclatante de la justice retenue est celle rendue par le roi en son conseil d’État privé ou Conseil des parties. Il s’agit d’une émanation juridictionnelle du Conseil du roi. Il juge par exemple les affaires ôtées à des

civile que pénale.Ils prépareront ainsi les ordonnances dont nous avons déjà parlé. On est encore loin de l’unité, le fond m^me du droit n’est pas touché tant en droit civil que pénal. La voie parlementaire est explorée par le Premier Président de Lamoignon qui réuni un certain nombres de magistrats et d’avocats (Barthélemy Auzanet ; Bonaventure de Fourcroy) dans sa bibliothèque pour préparer avec eux une synthèse ou « avant projet » de codification. Le travail est ambitieux et sa rédaction trouve

élaborée par Maupeou. La réforme Lamoignon (1788) Les parlementaires ont retrouvé leur pouvoir et continuent de faire pression sur la royauté. En mai 1788, Louis XVI fait enregistrer des édits préparés par son chancelier Lamoignon de force. Ces édits humanisent la procédure pénale car ils prononcent la suppression de la torture. De plus, ces textes simplifient le système judiciaire en supprimant certains tribunaux spécialisés. Les textes de Lamoignon retirent au parlement de Paris ses compétences

la république est la chose publique :l’état qui suit dans son fonctionnement des règles de droit. « Plusieurs ménages » signifie que la population de l’état est constitué d’un certains nombres de familles (qui est la cellule mère de la société), de ce qui leur est commun signifie que ces familles ne sont pas juxtaposé et forme une population qui ont ne commun des valeurs avec puissance souveraine. Pour qu’il y ait un état, il faut qu’il y ait puissance souveraine qui donne la cohésion à la nation

va refuser presque systématiquement d’enregistrer les mesures financières que souhaite imposer Mazarin. La monarchie s’attaque alors au statut des officiers du parlement et tente de démanteler l’institution qui réagit encore plus violemment. La famille royale fuit Paris entré en insurrection. La guerre civile appelée la Fronde durera cinq ans, jusqu’à la défaite totale de la rébellion parlementaire en 1653. c. L’inflexibilité de Louis XIV Le règne personnel de Louis XIV est marqué par une volonté

offices différents qui avaient rapporté au moment de leur vente près de 420 millions de livres et dont les droits pour succession rapportaient plus de 187 millions, la rémunération des officiers ne coûtant au roi que 8,5 millions annuels. Beaucoup de familles achetaient des offices car ceux-ci procuraient des privilèges fiscaux (exemption ou allègements d'impôts royaux), on pouvait aussi en tirer des revenus (amendes et frais de fonctionnement perçus sur les populations ayant affaire aux fonctionnaires)

de 1614 au cardinal de Richelieu et Richelieu renforça la monarchie , l’état en abaissant les grands féodaux et en faisant à l’intérieure , brisant la puissance militaire des protestants , en faisant à l’intérieur et à l’extérieur la guerre à la famille des Habsbourg . Louis 13 mourut en 1643 peut après Richelieu . Lui succédant donc Louis 14 et ce fut la reine Anne d’Autriche et le cardinal Mazarin qui assurèrent la régence . Pendant la régence furent signé le traité de Westphalia en 1648 qui garantissait

au Beausset, en Provence. Après avoir fait ses études au Collège de l'Oratoire de Toulon puis de Marseille, il entre à l'Université d'Aix en Provence à l'age de 16 ans en 1762. Il y fera de brillantes études et deviendra avocat. Portalis, dont la famille est très ancrée dans la société aixoise, va étendre son réseau de relation à la franc-maçonnerie. A l'age de 22 ans, il fut choisi comme vénérable de la loge de l'Etroite Persévérance des amis réunis. L'année 1784 marquera certainement la fin de son

13 mars 1711 à Paris), est un poète, écrivain et critique français. Admis au barreau le 4 septembre 1656, il en est rapidement dégoûté. Après l'avoir suivi quelque temps et s'être fait recevoir avocat, il abandonna Cujas et Alciat, au grand scandale de sa famille et surtout de son beau-frère Dongois, le greffier, qui jugea dès lors qu'il ne serait qu'un sot toute sa vie. Des études de théologie entreprises à la Sorbonne ne sont pas couronnées de davantage de succès, alors même que Boileau s'est vu attribuer

La jeunesse de Molière Molière est né au coin de la rue Sauval (anciennement des Vieilles-Etuves) et de la rue Saint-Honoré (maison détruite en 1802). Toute la famille habite le quartier des Halles (détail du plan de Turgot, 1739).Sa famille Jean Poquelin, que l’on appellera Jean-Baptiste et qui sera Molière, est baptisé le 15 janvier 1622 à Saint-Eustache, dans le quartier des Halles à Paris[1]. Il est né dans la maison[2] où son père, Jean Poquelin, marchand tapissier, a installé son fonds