Famille Contemporaine Institution En Crise

fiche de lecture n°3FICHE DE LECTURE N°3 Céline Bessière et Sibylle Gollac : « La famille, une institution économique » in Le genre du capital (chap 1), La Découverte, 2019 Objet du texte : Le texte raconte comment les transmissions économiques familiales ont évolué depuis le XIXème siècle, c’est à dire depuis que les relations affectives familiales ont commencé à se développer alors que la famille se libérait des dépendances économiques. Contextualisation du texte : Le texte est extrait

HISTOIRE DU DROIT Les institutions sociales de l’époque Franque à la Révolution Les institutions sociales sont s’attachées aux facteurs économiques, aux facteurs culturels et aux facteurs sociaux de l’ancienne France donc les étudier, c’est étudier la Société de l’ancienne France. Tout d’abord il faut savoir que l’histoire sociale est étroitement liée à l’histoire économique, il est très difficile de comprendre l’histoire des individus ou d’une société si on ne possède pas des éléments sur les

Ghania BIROUK Régulations et changements dans les organisations privées et publiques Pourquoi Renaud SAINSAULIEU(sociologue contemporain, 1935-2002) qualifie les sociétés comme étant « en mouvements » ? Société antique, société du Moyen Age, société industrielle... Nos sociétés d'antan et contemporaines ne cessent d'évoluer : les sociétés traditionnelles sont devenues des sociétés modernes, dont le fonctionnement et les rapports sociaux deviennent de plus en plus complexes à identifier et

La famille, une instance de socialisation en crise ? Intro : Si l’on s’intéresse aux multiples définitions de la famille notamment celle de Durkheim et de Lévy Strauss, on constate que toute mettent l’accent sur le fait qu’il s’agit d’une institution, qui est plus le résultat de l’organisation sociale que de tendances psychologiques ou physiologiques et que son rôle est par conséquent d’assurer une certaine cohésion sociale. De nos jours, la fonction de socialisation de la famille est pourtant

dominante » en Communauté française de Belgique est largement universaliste/universalisante. Nous sommes donc, pour l’instant, à l’abri de toute dérive culturaliste ou communautariste. Pourtant, cette crainte alimente et anime de nombreux débats contemporains sur la question culturelle : l’argument culturel apparaît parfois comme une sorte de monstre du Loch Ness, un archaïsme dérangeant à confiner dans les profondeurs de l’inconscient collectif… Nous vivons en effet dans un paradigme culturel qui exacerbe

PARTIE I : La démocratie athénienne et la République romaine. L’apport de l’Antiquité sur les systèmes politiques contemporains est immense. Même si la philosophie, l’art, les sciences (dont la science du juridique) furent plusieurs fois redécouverts, c’est à partir du XVIII° siècle que cette l’idée de rationalité dans l’organisation du pouvoir politique va bouleverser la société. La découverte scientifique de lois naturelles du fonctionnement du monde, de la nature, entraîne une remise en cause

-------------------L’auteur du document est Manuela Martini. C’est une professeure d’histoire contemporaine à l’université de Lyon 2. Elle est selon le Laboratoire de recherche historique Rhône Alpes responsable de l’axe genre. Ses sujets transversaux sont : Axe de recherche en Histoire Numérique, Genre, Régulation : marché, populations, circulations.Ses thèmes de recherches sont assez variés : famille, femme, genre, travail, migrations, France, Europe, Italie, XIX-XXe siècle.Ses programmes de recherches

comment pour lui l’évolution des mœurs, des modes de vie à influer sur la société. Il fait donc une comparaison entre la société du XXe et celle d’aujourd’hui. On peut donc se demander si les modes de vie, peuvent réellement influencer la société contemporaine, ou autrement dit, quels sont les changements de la société française durant le dernier siècle, et à quoi sont-ils dus ? Nous observerons d’abord grâce à l’analyse de Jean Viard les principales transformations des modes de vie des français puis

La « crise des identités » « la crise des identités, l’interprétation d’une mutation » L’identité sociale est avant tout synonyme de catégories d’appartenance. L’outil le plus employé pour rendre compte de cette réalité est la CSP, catégorie socio-professionnelle, créée en 1950 par l’INSEE. Il permet de connaitre l’évolution de la structure sociale et les relations statistiques entre les différentes catégories. La première position exprimé par les chercheurs est que cette appartenance objective

en conflit avec celle que porte l'école. Or, comprendre la différence n'est pas l'accepter et, dans cette hypothèse le nom partage de ces valeurs, entraînerait des conflits, sources de violence. La violence serait aussi une des conséquences de la crise économique et sociale. La situation économique des parents, le chômage de l'un d'entre eux voire des deux, ne serait pas sans lien avec la réputation de violence des enfants. Il semble bien que la difficulté pour nombre d'élèves de se projeter convenablement