Extase

d’accumulation « quel était son nom, sa demeure, son passé » désir de possession *hyperbole « souhaitait connaître..ttes les robes qu’elle avait porté » désir de symbiose et de fusion. *oxymore « curiosité douloureuse » ambivalence de la passion où se mèle extase et souffrance. *hyperbole « curiosité qui n’avait pas de limites » : veut abolir toutes les distances qui le sépare d’elle. UNE ÉCRITURE ORIGINALE IM PORTANCE DU REGARD *hyperbole « jamais il n’avait vu » : emmerveillement, fascination

La Chevelure O toison, moutonnant jusque sur l'encolure! O boucles! O parfum chargé de nonchaloir! Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure Des souvenirs dormant dans cette chevelure, Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir! La langoureuse Asie et la brûlante Afrique, Tout un monde lointain, absent, presque défunt, Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique! Comme d'autres esprits voguent sur la musique, Le mien, ô mon amour! nage sur ton parfum. J'irai là-bas où l'arbre

« moi », qui veulent faire connaître leurs expériences personnelles et faire cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans. Le romantisme se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou

marotte localisable, susceptible d'une définition anatomo-clinique et d'une image par amoncellement de signes » et ce qu'elle consister : « les phénomènes pithiatiques qui peuvent être répercuter par la suggestion. » À la théorie de ses travaux, la extase est trop souvent tomber ce « qui n'existe pas pour les médecin ». À l'opposé, ambroise-auguste liébeault et bernheim 6 de nancy se prononcer l'idée que l'hystérie était d'origine émotif et émotive en promouvant le traitement par psychothérapie. Dans

ou de la verdure entraînent l’âme dans une « longue et douce rêverie » dans laquelle elle assimile ses fictions aux objets de la nature de telle sorte qu’elle ne peut en marquer le point de séparation (Rêveries, I, 1048 [V, 17]). Mais de telles « extases » ne sont à peu près possibles que sur l’Île de Saint-Pierre, désormais inaccessible à Rousseau (Rêveries, I, 1049 [V, 17]). Deuxièmement, il y a les rêveries qui sont provoquées par le mouvement uniforme et modéré « de légères et douces idées »

Dionysos se mit en place, le dieu eut à affronter les moqueries de certains sceptiques. Penthée, roi de Thèbes, se cacha au sommet d’un arbre afin de voir les ménades, les suivantes de Dionysos. Mais celui-ci fut découvert par ces femmes, alors en pleine extase : le malheureux sera mis en morceaux par sa propre mère et ses tantes (le délire des ménades, à l’époque antique, n'était pas seulement dû à l’alcool qu’elles ingurgitaient. Ces femmes ajoutaient aussi du lierre et des champignons hallucinogènes à

du cerveau tendues comme la corde d'une arbalète... de manière qu'en tel personnage studieux vous verrez suspendues toutes les facultés naturelles, cesser tous sens extérieurs, bref, vous le jugerez n'être en soi vivant, être hors soi abstrait par extase... Ainsi est dite vierge Pallas, déesse de sapience, tutrice des gens studieux. Ainsi sont les Muses vierges ; ainsi demeurent les Charites en pudicité éternelle. Et il me souvient avoir lu que Cupido quelquefois interrogé de sa mère Vénus pourquoi

leurs têtes, comme si quelque chose de sonore se fût réciproquement échappé, de leurs prunelles fixes. Ils venaient de se joindre les mains ; et le passé, l'avenir, les réminiscences et les rêves, tout se trouvait confondu dans la douceur de cette extase. La nuit s'épaississait sur les murs, où brillaient encore, à demi perdues dans l'ombre, les grosses couleurs de quatre estampes représentant quatre scènes de la Tour de Nesle, avec une légende au bas, en espagnol et en français. Par la fenêtre à

plus devant tout le monde. Alors, Mathilde vas se rendre chez sa copine Mme pour lui prêter un de ses bijoux quelle procèdent. Elle est étonnée après avoir vu la rivière de diamant : « elle attachât sur sa gorge, sur sa robe montante, et demeura en extase devant elle-même. Puis, elle demanda, hésitante, pleine d’angoisse : peut-tu me prêter cela, rien que cela ? » (L2-3-4, P38) Mme Forestier vas lui accorder cela : «mais oui certainement »(L5, p38)  Car elle plus aisé que cette dernière. Le manque

critique des sédentaires, va encore plus loin en s’attaquant à la mentalité de ceux-ci. Mentalité forgée par un mode de vie qui les coupes de la diversité de la nature et les isole du monde. D’une part, à travers l’hyperbole ironique de « vous restez en extase devant, des années de temps » (p.186), il ridiculise leur émerveillement naïf devant un incident pourtant banal : le plongeur huard abattu deux ans auparavant. D’autre part, il condamne leur xénophobie : en parodiant les habitants du village dans