Expérientiel

Plan : Introduction : I. La consommation : page 2 1. Consommation, appropriation et usage : page 2 2. De la consommation expérientielle aux valeurs de consommation : page 4 3. Consommation, significations, identités et matérialisme : page 6 a) Consommation et identité : page 6 b) Le matérialisme page 7 4. Postmodernité et consommation : page 8 II. Les modèles de la satisfaction : page 10 1. Qualité perçues

...................8 PARTIE I LE MARCHE DES « SORTIES ET LOISIRS » HORS-DOMICILE ........................... 9 CHAPITRE 1 : COMPORTEMENT DE CONSOMMATION DES FRANÇAIS .............................................. 11 CHAPITRE 2 : LE MARKETING EXPÉRIENTIEL ............................................................................... 23 CHAPITRE 3 : LE MARCHÉ DES DÉBITS DE BOISSONS .................................................................... 36 PARTIE II À LA DECOUVERTE DE L’ « AFTER WORK

DUBOIS IsaacECOLAN LénaERIAUD MaëlleFERET HectorFIGUEIRA BaptisteBJORG : En quoi l’image de marque de Bjorg permet-elle de renforcer la stratégie de différenciation pour répondre aux besoins expérientiels et symboliques ?1Analyse Externe2Jean-Paul Paquin (2009), Le champ de forces du marché et son évolution au cours de son cycle de vie : le cas du PC, numéro 239-240, p49-59Dominique Bauhain-Roux et Denis Guiot 2001, Le développement du marché de l’occasion : caractéristiques et enjeux pour le marché

Sommaire : Introduction 2 Partie 1 – Les particules expérientielles 3 Partie 2 - Les expériences extraordinaires soft : cas des parcs à thème 5 1) Composantes nécessaires à la production de l’expérience 5 2) Processus d’immersion du consommateur dans un parc à thème 6 3) Transformer le visiteur acteur en visiteur auteur 7 Synthèse 7 Partie 3 - Les expériences extraordinaires hard : expériences à danger 8 1) Définition du « danger » et activités à risque élevés 8 2) Processus des expériences extraordinaires

définition même du marketing expérientiel. Le lieu est déterminant et Apple a su créer un concept entre le magasin (objectif de vente) et le showroom (objectif d’exposition d’un produit). Les Apple Stores sont sobres, épurés, aux couleurs froides (gris, blanc), très propres, et sécurisés. Ils sont conçus pour que le consommateur s’y sente bien et sont identiques afin de créer des références communes. Apple a su s’appuyer sur des concepts clés du Marketing expérientiel, avec cette notion « enclavé

délivrant des informations d'ordre moral sur le monde et l'humanité : on parlera alors de leçon expérientielle. Si nous posons la question « doit-on toujours attendre d'une oeuvre littéraire qu'elle nous donne une leçon ? » nous entendons par la que dans toutes circonstances, et sans exceptions aucune, notre attente vis-à-vis d'une oeuvre littéraire doit être qu'elle nous délivre une leçon éducative ou expérientielle. Dans un premier temps, nous ne pouvons adhérer à une telle thèse, dans la mesure où l'oeuvre

tendances emblématiques et trois nouvelles approches marketing : Le consommateur individualiste, au début des années 1990, avec le marketing one-to-one ou relationnel Le consommateur hédoniste, pour le tournant du millénaire, avec le marketing expérientiel Le consommateur créatif, dans la moitié des années 2000, avec le marketing collaboratif Approche marketing Comment s’est manifesté le nouveau marketing qui caractérise la période Sur quels travaux s’est fondé ce nouveau marketing pour étayer

peut se poser la question : Quels sont les moyens mis en œuvre par les commerçants et les grands distributeurs pour faire acheter le consommateur ? Dans une première partie je parlerai du marketing olfactif du marketing sensoriel, le marketing expérientiel puis du neuro marketing, et enfin d’autres stratégies mise en œuvre par des grands distributeurs. 1- Le Marketing Olfactif : Beaucoup d’enseignes mettent en place des techniques de ventes afin que le consommateur achète. Ils utilisent des diffuseurs

et un objet dans différents contextes. Park, Jaworski et McInnis (1986) retiennent trois dimensions, qui reflètent les besoins associés par le consommateur à un produit ou service : le besoin fonctionnel, le besoin symbolique et le besoin expérientiel. Sheth, Newman et Gross (1991) distinguent cinq facettes qu'ils appellent les composantes fonctionnelle, sociale, émotionnelle, épistémique et conditionnelle de la valeur. Enfin, Holbrook (1994, 1999) propose de décomposer la valeur perçue à

sociaux (Réseau d’échanges réciproque de savoir, organisation apprenante, formation expérientielle, auto éducation permanente, éducation informelle). * L’autoformation cognitive (apprendre à apprendre) : conception de l’acte d’apprendre envisagé sous l’angle des mécanismes psychologiques en jeu (auto direction des apprentissages – métacognition – remédiation cognitive). Expérience : autoformation expérientielle Vie courante, expérience au travail (initiative), sport, voyages, jeux, activités