Expérience Immédiate Source De Vérité

1) Le temps n’est pas un concept empirique qui dérive d’une expérience quelconque. En effet la simultanéité ou succession ne tomberait pas elle même sous la perception, si la représentation du temps ne lui servait a priori de fondement. Ce n’est que sous cette supposition que l’on peut se représenter qu’une chose existe en même temps qu’une autre (simultanément) ou dans des temps différents (successivement) 2) Le temps est une représentation nécessaire

Dans les philosophies classiques, on tire de soi-même les vérités et les raisons morales qui nous poussent à aller vers les autres. Lévinas, lui, montre qu’à partir de la rencontre avec Autrui, dans la nudité de son visage, naît immédiatement à la conscience le respet d’Autrui et une responsabilité transcendantale du Même pour Autrui. Nous allons voir comment naît en moi cette responsabilité transcendantale pour Autrui puis en quoi elle remet en cause la liberté comme fondement premier et essence

tel système de contraintes et de déterminations objectives. La vision de l’acteur développée par les sciences humaines est désormais celle d’un individu pluriel, appelé à se mouvoir dans différentes scènes de la vie quotidienne, à recourir à des expériences multiples. Pendant plus d’un demi-siècle et à l’image de la sociologie, la discipline historique telle qu’elle a été développée, par les travaux de l’école des Annales a également consacré le rejet de l’acteur. En premier lieu sous la plume

décidait en réalité dans le temps, comme un processus ou un devenir. La manière dont un sujet prend conscience de lui-même doit donc s'apparenter à un processus. Tout le problème de la conscience tient dans ce vecteur, ce trajet qui part (I) du rapport immédiat à soi-même qu’on peut appeler simplement « conscience de soi », qui (II) transite par une étape de « reconnaissance de soi » à travers l’action et la reconnaissance d’autrui, et qui débouche finalement (III) dans une sorte d'extériorisation de soi

savoir. Chaque proposition s’enchaine logiquement et prend source dans la première d’entre elle, le premier principe qui doit être indubitable. D’emblée, Descartes met de côté la morale. En effet, la morale n’est pas du domaine de la démonstration, de ce fait, elle demeure incertaine. Qui ne garantit que les valeurs suivies par les aborigènes soient moins bonnes que les miennes ? Dans les champs moraux, il faut se contenter de vérités probables, et ce qui est douteux doit être considéré comme

meilleure preuve que l’on est affecté devant autrui, c’est qu’on peut ressentir un certain malaise, cela peut prendre la forme de la honte, elle m’atteint "en plein coeur". Il peut y avoir des manifestations physiques. Pour Sartre, la honte est une expérience révélatrice de la présence d’autrui, on a toujours honte de soi devant autrui. Si j’ai honte tout seul c’est en pensant au regard au regard de l’autre. La honte d’après Sartre, c’est la reconnaissance que je suis comme autrui me voit. Exemple :

faire le tri des fais dans leur solidité. Le but du doute cartésien c'est de trouver la certitude. Il faut douter de tout et ne prendre que ce qui est sur. Décarte vas donc examiné toute les connaissance humaine en les regroupant en fonction des deux sources de connaissances que l'homme dispose. Les sensation et les raisonnement. Examen des connaissances sensible, parfois les sens nous trompe donc elle ne sont pas fiable. Parfois les sens ce contredise, ou nous montre des choses fausses. Le rêve nous

A) Puis-je découvrir qui je suis par le moyen de ma conscience ? Notions traitées : ~ en priorité : conscience, inconscient, liberté, interprétation ; ~ de manière secondaire : autrui, morale, perception, désir, vérité… 1) La conscience de soi est au fondement de la connaissance sur soi. a) La conscience perceptive comme moyen d’explorer son intériorité. Chaque homme développe au contact avec la réalité la faculté de se représenter non seulement ce qui l’entoure (cette table, cet homme…)

(cum scientia), être présent à son savoir. - Plusieurs niveaux de conscience : En fait il y a plusieurs niveaux de conscience : il y a la conscience immédiate, la conscience réfléchie, et la conscience morale, qu’on peut ranger dans la conscience réfléchie (en tant qu’elle semble présupposer nécessairement son émergence). 1) La conscience immédiate : ce qui accompagne tous nos actes, nos perceptions, etc (sorte de présence du monde, à laquelle nous faisons attention : nous ne sommes alors pas "immergés"

Histoire contemporaine – TO1 Sources et bibliographie Sujet CO 15 : La fusillade du 9 novembre 1932 à Genève Rapport général des évènements du 9 novembre 1932 par le Major Krafft «  a) La préparation des meneurs avait été l’objet de mesures appropriées et remontant à plusieurs jours déjà (Assemblée du Parti socialiste de la veille, témoin Langenbach 193 Gamper 224) b) Les manifestants avaient été en particulier munis de matraques, de poivre et de sifflets à roulette. c) Sur le terrain, ils avaient