Exposé Vanité

« pauvre », « davantage », « douceur » valorisent ainsi sa contrée, terre qui lui manque et où il veut retourner vivre une vie paisible « Et plus que l’air marin la douceur angevine ». Bien au contraire, dans l’extrait du roman Pantagruel et l’essai De la vanité, les auteurs témoignent un certain penchant pour le voyage. Rabelais, à travers son récit fait découvrir au lecteur un monde qu’il qualifie de nouveau « un nouveau monde » : le corps humain. Il magnifie ainsi ce monde « les plus beaux lieux »,

La Fable de Jean de la Fontaine Le Corbeau et le Renard Nous sommes souvent exposés, dans la vie, à rencontrer des gens qui nous flattent et nous comblent de caresses pour obtenir de nous ce qu’ils désirent. Les sots se laissent toujours duper par ces amabilités intéressées : ils prêtent une oreille complaisante à ces loges qui caressent leur grosse vanité, et s’aperçoivent un beau jour que l’on s’est moqué d’eux : mais il est trop tard; et s’ils ont la maladresse de se plaindre de leur mésaventure

prendrait plus ANALYSE La Fable de Jean de la Fontaine Le Corbeau et le Renard Nous sommes souvent exposés, dans la vie, à rencontrer des gens qui nous flattent et nous comblent de caresses pour obtenir de nous ce qu’ils désirent. Les sots se laissent toujours duper par ces amabilités intéressées : ils prêtent une oreille complaisante à ces loges qui caressent leur grosse vanité, et s’aperçoivent un beau jour que l’on s’est moqué d’eux : mais il est trop tard; et s’ils ont la maladresse

Exposé : L’Amour et les sentiments dans le Jeu de l’Amour et du Hasard. Marivaux * Introduction Marivaux a un projet qui lui est cher, il souhaite peindre et analyser les sentiments humains dans leur véritable nature ; c’est pourquoi on retrouve fréquemment l’amour au centre de son théâtre. En effet, le théâtre ne consiste pas essentiellement à masquer ou montrer les choses que l’on désire ? Hors l’amour dans la pièce, est précisément dans l’analyse de Marivaux, un sentiment qui se cache ou

démontrer en quoi Euphrosine est « vaine minaudière et coquette ». Le théâtre de Marivaux s’inscrit ici dans la démarche du « castigat ridendo mores », corriger les mœurs par le rire, instruire et amuser ; l’auteur s’emploie ici à démontrer comment la vanité influence les rapports sociaux, comment l’hypocrisie mondaine et la coquetterie cantonnent les personnes (et en particulier les femmes) dans des comportements factices. La cible de Marivaux est le manque de naturel et le ridicule qui en découle

Nous sommes souvent exposés, dans la vie, à rencontrer des gens qui nous flattent et nous comblent de caresses pour obtenir de nous ce qu’ils désirent. Les sots se laissent toujours duper par ces amabilités intéressées : ils prêtent une oreille complaisante à ces loges qui caressent leur grosse vanité, et s’aperçoivent un beau jour que l’on s’est moqué d’eux : mais il est trop tard; et s’ils ont la maladresse de se plaindre de leur mésaventure, ils deviennent l’objet de la risée publique. L’homme

définirons l’objet des recherches de l’auteur ainsi que la base de sa thèse, puis dans un deuxième, nous éclairerons ces arguments- exemples et enfin dans un troisième nous, avancerons une critique des ses affirmations . Tout d’abord le philosophe expose sa problématique et le but de sa recherche personnel. Il commence son textes par: « il me faut voire », il entame donc lui même une étude personnelle et donc structurée. La problématique parait nettement: est-ce que la quête de savoir entreprise

Régence ou au règne de Louis XV. En fait derrière la fiction babylonienne, Voltaire nous brosse le portrait de Paris, n’hésite pas à dénoncer les travers sociaux : futilité des conversations, médisance, plaisirs faciles, vanité et susceptibilité de la noblesse, et même à exposer ses idées sur l’art. Voltaire, avec quelques précautions, dénonce aussi l’absolutisme qui n’épargne ni celui qui parle, ni celui qui se tait, et d’une manière générale un monde où qualité et mérite ne sont pas reconnus.

I) Dans le premier moment, Pascal expose sa thèse qu’il développe ensuite. Sa thèse est la suivante : « nous ne nous tenons jamais au temps présent ». Le verbe « tenir » doit s’entendre en plusieurs sens et ce sont tous ces sens que Pascal entend reprendre ici. -« tenir » c’est d’abord « se tenir en place » en quelque sorte, être. Nous ne nous tenons jamais dans le temps présent car nous fuyons vers d’autres temps ( le passé et l’avenir) plutôt que de le vivre. Nous sommes toujours dans la fuite

Le sport est-il devenu une incroyable école de vanité ou peut il au contraire contribuer à la formation d’un individu ? Thèse ; Arguments positifs : Le sport est une activité physique (exercée dans le sens du jeu et de l’effort) dont la pratique suppose un entraînement méthodique avec un respect rigoureux des règles. Seul les personnes déterminées à aller au bout de leurs objectifs, peuvent assumer la régularité des entrainements, les douleurs physiques, les risques de blessures nombreuses.