Exposé Vanité

De la vanité Montaigne Nous sommes en présence d'un texte de Montaigne, auteur du XVI ème siècle, nommé De la vanité tiré des Essais L'auteur: Michel de Montaigne, est un moraliste de la Renaissance et un philosophe indépendant. Il a également pris une part active à la vie politique, comme maire de Bordeaux. C'était un ami personnel d'Henri de Navarre, le futur Henri IV. Les Essais (1580-1592) ont nourri la réflexion des plus grands auteurs en France et en Europe de Pascal à Proust et à

au programme, ses « pensées » regroupées par liasses se rattachent à un titre indiqué au début de la liasse, qui concerne le comportement moral de l’homme : « Vanité », « misère », ennui » « contrariétés », divertissement ». Mais à l’intérieur des liasses, elles se succèdent parfois sans aucun lien, comme en témoigne cet extrait de « Vanité » : « 17 Il a quatre laquais. 18 Il demeure au delà de l'eau. 19 Si on est trop jeune on ne juge pas bien, trop vieil de même. » Aucun thème commun entre ces

s'installe à Antibes. C'est là qu'il peint Vanité, le 1er mars 1946. C'est une huile sur contre-plaqué de 54x65cm, conservée au Musée des Beaux Arts de Lyon depuis 1991. Christian Zervo a réalisé un catalogue raisonné des œuvres de Picasso, mais Vanité échappe à sa vigilance et reste dans l'atelier de Picasso jusqu'à sa mort. Elle est offerte au Musée Picasso par sa femme Jacqueline Picasso, puis déposée au Musée des Beaux Arts de Lyon. Il s’agira d’étudier Vanité pour comprendre de quelle manière celle-ci

domestiques sont drues et déliées, elles nous mordent plus aigu et sans menace, nous surprenant facilement à l’imprévu. », et « Les inconvénients ordinaires ne sont jamais légers […] quand ils naissent des membres du ménage ». Michel de Montaigne expose en fait toute une réflexion sur l’Homme. Il ne faut pas oublier que le XVIème siècle voit arriver la découverte du Nouveau Monde avec la découverte de nouveaux humains, très différents de ce que l’on connaissait. N’ayant pas d’autres références, on

aux vers goulus d’ordinaire pâture : Le ventre déchiré cornant de puanteur Infecte l’air voisin de mauvaise senteur, Et le nez mi-rongé difforme le visage ; Puis connaissant l’état de ta fragilité, Fonde en Dieu seulement, estimant vanité Tout ce qui ne te rend plus savant et plus sage. Présenter l’auteur/l’œuvre : Chassignet : poète français du début du XVIIème siècle. Il a reçu une formation humaniste (droit) puis est devenu avocat. Très tôt, en 1594, il écrit Le Mépris de

quelle mesure cet étrange classement est susceptible, malgré les apparences, de représenter une organisation de la pensée pascalienne. C’est une partie de ce travail que nous voudrions amorcer ici, en nous limitant à un premier ensemble de liasses : “Vanité”, “Misère”, “Raison des effets”, “Grandeur”, “Contrariétés”. Dans la table (asymétrique) des titres que donne le fragment 1 (éd. Sellier), tous ces dossiers appartiennent à la première colonne, c’est-à-dire, celle qui regroupe, avant le développement

pour le morbide, portrait précis du cadavre en décomposition, champ lexical beauté, transformer le laid, l'immonde, l'horrible en beau. Il s'adresse à la femme qu'il aime et thème mémoire lutter contre le temps. => Chassignet: poète baroque (vanité homme, lutter vainement contre la mort et le destin, thème de l'illusion), avocat avec un statut élevé, il étudiait le grec et le latin, et a reçu une formation humaniste, fils de médecin. ''Le Mépris de la vie et Consolation contre la mort'' en

l’Artiste.Une des caractéristiques de l’Artiste peut être sa vanité et l’importance de sa personne au détriment des autres, son égoïsme et son égocentrisme. On peut remarquer que Sommervieux est un artiste égoïste et vaniteux. En effet, il change de comportement du jour au lendemain. Il “sentit un matin la nécessité de reprendre ses travaux et ses habitudes” puis annonce la grossesse de sa femme dans une phrase courte comme pour exposer une situation de manière objective, sans aucune excitation face

beaucoup de projets. Il pense avoir les qualités requises pour y parvenir, et dans la Province, rare sont les talents de sa condition. Ses espoirs ne font alors que se multiplier lorsqu'il rencontre Mme de Bargeton qui trouve en lui beaucoup de talent et expose son envie de le faire entrer dans son ''royaume''. Lucien apparaît comme un enfant qui trouve réconfort et assurance sous l'aile de cette femme plus âgée que lui dont il est '' éperdument'' amoureux (p 51). Ces personnages ainsi que leur relation

I) Dans le premier moment, Pascal fait un constat et expose sa thèse qu’il développe ensuite. Il emploit pour cela un présent de vérité génrale car il a observé ce constat sur tous les hommes.Sa thèse est la suivante : « nous ne nous tenons jamais au temps présent ».Le verbe « tenir » doit s’entendre en plusieurs sens et ce sont tous ces sens que Pascal entend reprendre ici.-« tenir » c’est d’abord « se tenir en place » en quelque sorte, être. Nous ne nous tenons jamais dans le temps présent car