Expose Sur La Ponctuation

comportements suivants : - - - - Aimer la lecture des ouvrages (œuvres) des auteurs divers ayant écrit en français pour s’habituer autant avec la diction qu’avec l’orthographe des mots (en français). Assister à des conférences, aux exposés, bref à des séances culturelles organisées en français (théâtre classique, dramatisation, débat, discussion, émission télévisée, radiodiffusée, etc.). Avoir des connaissances générales dans des disciplines qui ont des rapports avec la langue française

poursuivis (plans, schémas, …) • Présentation et justification des moyens mis en œuvre pour réaliser ce travail • Mise en évidence des démarches adoptées et analyse des solutions retenues pour effectuer le travail, individuellement ou en équipe • Exposé des réflexions et propositions d’améliorations • Conclusions personnelles L’entreprise ne confie pas de projet ou d’étude particulière Il y a toujours un support technique à exploiter Il faudra alors entreprendre une ENQUETE TECHNIQUE la plus

vers 27) et retirer (au vers 28) suggèrent que ce travail infâme peut avoir des conséquences fatales sur les enfants, ce que la « cendre » peut également évoquer. Ce constat, cette colère et cette dénonciation de Victor Hugo sont soulignés par une ponctuation expressive forte. La modalité exclamative domine en effet ici. Mais Hugo s'attache également à dénoncer les conséquences morales et intellectuelles du travail imposé aux enfants. Ainsi, les deux antithèses qui composent le parallélisme du vers

première fois de l'optimisme : "il faudra qu'à la fin je renonce à ton optimisme" (L22). Voltaire critique implicitement l'optimisme. Il nous montre dans cet extrait que tout n'est pas "pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles". Il veut nous exposer les "horreurs " de la société à travers le regard naîf et innocent de Candide et de son optimisme. Il accentue le ridicule du personnage et de ses idées en soulignant son ignorance "Est-ce M.Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi ?" et son

Ligne 266 (« il lui parla un peu de notre foi… s’il voulait aller au ciel »), ligne 287 (« au cri de saint-Jacques ») 2ème axe de lecture : les faiblesses de ce discours : Mais ce discours est trop emporté : - accumulation d’exemples descriptifs - Ponctuation expressive ( !) → traduit l’emportement, l’indignation de l’orateur - Hyperboles (ligne 236-37, 252, 320) → manque de maîtrise Abondance des chiffres (« des millions » ligne 285, « 30.000 morts » ligne 292) → idem Glissement du « je » → «

LES CONNECTEURS LOGIQUES EXPOSE Présenté par: Rachid BOUKHAR Samiha BENABBOU Touria EL SAFI Encadré par Dr. TAKHDATE PLAN 1/ Introduction 2/ Définition 3/ Fonction logiques des connecteurs 4/ Classement des connecteurs logiques 5/ Conclusion 1/ INTRODUCTION Dans cet exposé, nous essayons d'aborder la question des connecteurs logiques sur le plan linguistique le plus simplement possible, gardant à l'esprit qu‘il doit nous aider à bien les utiliser en parlant ou en écrivant

» et « douleurs » mis à la rime renforcent cette opposition. Bérénice va parler à partir de ce moment-là, d’elle « et moi ce souvenir me fait frémir encore » comme le montre le pronom personnel « moi » elle s’engage dans une plainte où elle va exposer ce qu’elle ressent/a ressenti. Elle montre qu’elle voulait cet amour et qu’on lui en a empêché « on voulait m’arracher tout ce que j’adore », T est alors caractérisé par la périphrase « tout ce que j’adore », elle annonce ses sentiments avec pudeur

discours rapportés  upport : extrait du livre VIII, chapitre 4 (de « Le prêtre releva son capuchon » S jusqu'à « Ô mon Phœbus ! »). I. Le dialogue 1) Résumez la situation du passage en une phrase. 2) Quelle est la ponctuation dominante dans les premières répliques ? Pourquoi cette ponctuation est-elle si présente ? 3) « Ne m'interromps pas » : à quel mode est conjugué ce verbe ? Qui prononce ces paroles ? Quel état d'esprit traduisent-elles chez celui qui les prononce ? 4) Observez la manière dont

les buissons giflent », « les métaux crient ». Verbes d’action qui ont tous en commun la violence + ponctuation  monde hostile - Climat angoissant renforcé par la dimension tragique : Omniprésence de la noirceur qui contraste avec le rouge (couleur de l’enfer) + Présence des sistres (--> cérémonies funéraires) --> L’homme semble avalé, absorbé par cet espace hostile. Ce paysage transfiguré expose une vision du monde extrêmement pessimiste ( / Blaise Cendras). En revanche il y a dans ce poème

joue avec les mots, les thèmes développés ainsi que la position du poète rendent compte d’un songe mélancolique s’apparentant au Spleen baudelairien, par un sentiment de malheur et une recherche vaine de l’évasion. En premier lieu, le poète nous expose Paris comme une ville indiférrente, ce qui s’illustre dans le premier quatrain, marqué par de longs vers de douze syllabes, par opposition au style libre des quatrains suivants. Ce premier quatrain nous plonge brusquement dans un univers mélancolique