Existence

échapper. Vous n’êtes plus le maître de votre vie et pourtant… à bien des égards, elle est plus excitante qu’ auparavant ! Mais peu à peu, le doute s’installe en vous : quelles sont les intentions réelles de cet homme qui s’est immiscé dans votre existence ? Qui est-il vraiment ? Et qui sont ces personnages énigmatiques dans son entourage ? Les découvertes que vous faites n’ont rien pour vous rassurer. Cette histoire, qui nous plonge dans l’atmosphère envoûtante d’un été parisien, ouvre la voie de

cadette Phoebe, en vain. La rencontre avec Sally Hayes tourne mal. Après plusieurs appels (à Carl Luce, notamment) Holden erre deux jours dans la ville. Il se retrouve alors dans un musée et s’arrête devant des statues qui le font méditer sur son existence : elles n’évoluent jamais… Holden se rend aussi  Central Park, où il observe le lac et ses canards, comme lorsqu’il était enfant. Gelé, il décide de s’introduire dans l’appartement familial pour réveiller Phoebe, qui est finalement, du haut de

c'est-à-dire ce qui me pose en face du monde extérieur et en dehors de lui. Tous mes instants en un seul ! Je crains, désormais, que ma peine ne dure autant que moi. Mon être véritable me chasse devant lui. Ah ! Il faudrait avoir pour toute existence réelle l’être abstrait de cette unité. Il ne faudrait pas que cette unité de tous les instants trouvât à se figurer dans l’univers matériel par ce corps absurde auquel je suis lié. Cette unité porte un fruit, hélas ! Mon moi n’est lui-même que

(c'est-à-dire qu'avec leur possibilité). Dans la réalité, en effet, l'objet n'est pas seulement contenu analytiquement dans mon concept, mais il s'ajoute synthétiquement à mon concept (qui est une détermination de mon état), sans que, par cette existence en dehors de mon concept, ces cent thalers conçus soient le moins du monde augmentés. Quand donc je conçois une chose, quelle que soient et si nombreuse que soient les prédicats par lesquels je la pense (même dans la détermination complète), en

chagrin, et non le plaisir, est l'élément positif, dont la présence se fait remarquer. De même nous avons conscience du temps dans les moments d'ennui, non dans les instants agréables. Ces deux faits prouvent que la partie la plus heureuse de notre existence est celle où nous la sentons le moins. SCHOPENHAUER 1. Dégagez la thèse de ce texte et montrez comment elle est établie. 2. Expliquez: a} « le plaisir devenu habitude n'est plus éprouvé comme tel)} ; b} « la possession accroît la mesure de nos besoins}}

porteur d'une faculté exceptionnelle, qui le distingue de tous les autres êtres vivants en les dominant : seul l'homme peut savoir ce qu'il pense ou ce qu'il ressent intérieurement. A différence d’un objet,  l’homme évolue tout au long de son existence, alors aucun système n’existe pour expliquer son fonctionnement. Cependant

l’écoute de son corps, de ses passions et de ses désirs. Nietzsche défend avec conviction que la société nous restreint d’être qui nous sommes véritablement. Il considère l’Homme comme un être faible qui se coupe de la partie la plus concrète de son existence, qui est lui-même. Je suis d'accord avec Friedrich Nietzsche sur le fait que la société nous empêche d'être qui nous sommes vraiment, et avec Karl Marx qu'elle nous pousse à agir en conformité avec ses valeurs. Ce déterminisme remet en cause la

personnage lorsqu'il était enfant et jeune homme. Dans le souvenir de ces 7 ans, nous trouvons un enfant « tout seul dans le salon d'attente » et qui joue « à s'empêcher d'exister ». Mathieu prend donc déjà conscience à cet âge de sa propre existence et semble vouloir s'en séparer. Il torture une mouche en lui arrachant les ailes, l'empêchant ainsi de vivre, d'exister comme lui meme tente de le faire et s'amuse dans le miroir mais ce qui l'intéresse réellement est le vase de Chine vieux de

CORRECTION DISSERTATION TRAGEDIE : « En quoi Phèdre et Antigone sont-elles des héroïnes tragiques ? » I) UNE EXISTENCE CONTRARIEE : LA FATALITE ET LE CONFLIT A) Des héroïnes soumises à la fatalité : Tout d’abord, Phèdre et Antigone sont soumises à la fatalité et sont au cœur d’un conflit existentiel. Par sa nature même, Antigone, comme toute héroïne tragique, est promise à la mort. La fatalité la conduira inéluctablement et nécessairement à sa perte. Le héros tragique illustre en effet ce

j’accepterai plutôt l’idée qu’il y a un sens de la vie et un raison ou signifiance pour notre existence. Si on accepte qu’un Dieu n’existe pas, c’est donc évident que la race humaine n’est obligée à aucun autre être seul qu’eux-mêmes. Ceci support mon argument que les êtres humains sont complètement libre. Le philosophe Viktor Frankl soutenait que « L'homme n'existe tout simplement pas, il décide de ce que son existence sera…L'homme est libre de décider ce qu'il va être dans l'instant suivant. » (Frankl)