Existence

L'idée que nous pouvons nous faire de la mort est à première vue purement négative : biologiquement, la mort est l'état définitif d'un organisme qui a cessé de vivre ; pour l'individu, c'est la fin de son existence. Il n'y a rien au-delà de ce terme définitif dont nous puissions faire l'expérience, car, pour nous, avoir une expérience, sentir, penser, supposent toujours la vie. La mort n'est donc pas l'objet d'une intuition, et, si elle est quelque chose, nous ne pouvons nous la représenter autrement

optimiste puisque le destin d’un homme est en lui-même et seul lui peut le réaliser, le mettre à jour. C’est la seule théorie qui ne fait pas l’homme un objet. Ainsi, l’homme crée son essence, car l’essence vient avant l’existence, et donc, son existence n’est pas sujette au déterminisme, elle ne dépend pas d’événements antérieurs. An final, l’homme a une liberté totale sur lui-même, et vient donc de faire un choix énorme, le projet fondamental. Tous les êtres humains ont fait ce choix sans vraiment

d’autre". (Peter Drucker) "Le paradoxe du temps c’est que rares sont ceux qui estiment en avoir suffisament, alors que chacun dispose de sa totalité". (J.L. Servan-Shreiber) "Le temps est l’élément le plus impitoyable et le moins flexible de notre existence". (Ted W. Engstrom) "L’essentiel dans votre vie est finalement votre temps".(Alain Lakein) "Maîtriser son temps, c’est maîtriser sa vie". (Alain Lakein) 2/ Définir une notion complexe : le temps Ce qui fait la diversité et la complexité

notion centrale, et mise en jeu dans ce domaine. • révèle : Révéler : action de dévoiler, de mettre au jour, de porter au regard et à la conscience quelque chose. chose : 1. Désigne la réalité réalité : 1) Réalité: * Caractère de ce qui a une existence concrète, par opposition aux apparences, aux illusions ou aux fictions de notre imagination. * Ensemble des choses et des faits réels. A priori, l’art est : 1- copie du réel ou 2- divertissement, donc éloignement de la réalité L’art entre illusion

pense et donc qui ne se rend pas compte qu’il a une conscience, pour mieux affirmer sa thèse principale et son point de vue.Cependant dans ces conditions, comment peut-on faire comprendre à l’homme que la conscience n’appartient pas seulement à son existence individuelle? L’enjeu même de ce problème, c’est le fait de déterminerd’où provient la conscience de soi, l’origine de l’épanouissement personnel de l’homme, du fait qu’il prend conscience des choses qui l’entoure, mais surtout de définir une partie

ce que l’on veut douter. Dans ma vie de tous les jours je ne doute pas que j’ai une main ; en voulant douter de son existence, je ne la supprime pas car j’ai la certitude qu’elle existe. Je suis certain qu’il s’agit là de ma main, le savoir ne me préoccupe pas. Nous ne pouvons ainsi avoir de conscience réfléchie qu’en dehors du rêve. Nous ne pouvons être assurés de notre existence que dans un état de veille, car seul à ce moment là nous sommes pleinement conscients. Et ce que notre conscience réfléchie

que la liberté est la possibilité de pouvoir agir selon sa propre volonté, dans la mesure où l'on ne porte pas atteinte aux droits des autres et à la sécurité publique. Tout ce qui pèse sur notre liberté semble peser sur nos choix et limiter notre existence ainsi on ne s’étonne pas que des hommes ou groupe d’hommes réclame se droit. Ce qui parait insupportable c’est d’être privé de celui-ci. Et pourtant il nous arrive d’avoir des choix tellement difficile a faire qu’on préférerait ne pas avoir a choisir

positivement notre société? Il est presque fondamental de répondre à la question puisque nous sommes devenus dépendant de ce développement. En effet, la technologie a même agrandi les possibilités de réaliser les choses les plus simples de notre existence, de sorte qu'elle a changé les habitudes que nos prédécesseurs avaient acquises. Par conséquent, notre société s'est complètement modifié avec son avancement et notre mode de vie s'est adapté à ces changements par la facilité d'y accéder. Par contre

de soi n’est pas immédiate, elle s’acquiert dans un double mouvement : la conscience se porte d’abord vers l’autre, vers ce qui n’est pas moi, dans un mouvement de comparaison, puis elle opère un retour à soi. Ainsi, je prends conscience de mon existence dans un face-à-face avec l’autre. Le moi se pose donc par opposition au non-moi. Le besoin de produire des œuvres signale que l’homme accède à la conscience de soi en s’extériorisant. L’intentionnalité La conscience est mouvement vers le monde, elle

globe : la Belgique a légalisé il n’y a de cela que quelques jours l’euthanasie des enfants souffrants de maladies incurables et n’ayant aucune chance de vivre une vie longue et sans douleur. Depuis, le débat au sujet de l’existence (ou de la non existence) de la dignité humaine semble plus que jamais au goût du jour. Tandis que ceux qui disent croire en cette qualité qui accorderait à l’homme un statut particulier – c’est-à-dire des droits et des devoirs supplémentaires n’incombant qu’à l’homme