Existence

personnelle, et je dirais même charnelle. N'attendez pas avril pour écrire, peindre, composer de la musique, sculpter...). Le cours sur la conscience réfléchie et l'existence permettait de distinguer entre la "mort", état physique définitif de non-existence après une période de vie, et le "décès", interruption des processus métaboliques (également appelée "mort" dans la langue courante). La mort s'oppose à l'existence, à la vie, mais aussi à l'inerte (une pierre n'a jamais été vivante, aussi ne peut-on

même? Il y a deux manières d'exister, si l'on entend par ce terme "être réel": on peut occuper une place dans l'espace et le temps, avoir telle ou telle capacité. Mais le jeu de la pensée et de la conscience vient enrichir et compléter cette existence objective. Dès lors que nous sommes conscients, nous existons "pour nous même". Notre présence dans le monde et la perception que nous avons de nous même sont alors marqués par le temps, si tout coule et si rien ne demeure, si la vie est passage

n’est plus et l’être au monde du futur est l’avenir. Or, l’être-pas-encore et le n’être-plus sont deux modalités qui appartiennent au non être. C’est pour cela que Saint Augustin isole le passé et le futur du présent et qu’il remet en cause leur existence en raison de son impossibilité de les situer dans l’espace or pour la cohérence de l’opinion commune pour qu’une chose existe il faut qu’elle soit matériel, qu’il y ait des preuves concrètes ; pourtant il est inadapté voire absurde de le faire.

répondre, résoudre le « Pourquoi » de notre existence, de nos actes. L’essence de l’Homme devrait être la chose primordial, mais de nos jours on compte plus sur ce qui est accidentel pour juger un Homme. De quel droit un Homme peut juger un autre Homme? C’est jouer le rôle d’une puissance divine, l’Homme prend petit à petit la place de Dieu. Et la religion alors ? Fuck la religion nous n’avons jamais eu besoin d’elle pour nous trouver un but à notre existence vu que celle - ci ne trouve même pas de raison

amenant à l’envie d’émigrer. Et alors que les États-Unis recherchent justement des travailleurs, certains partent donc pour une saison ou deux et espèrent revenir au pays enrichis. Mais d’autres s'en-vont définitivement et laissent derrière eux leur existence passée. Ils vendent tout ce qu’ils possèdent pour acheter leur ticket d’embarquement vers une vie qu’ils pensent ainsi meilleure. Voyons maintenant l’arrivée des Italiens. Tout d’abord, nous nous demandons pourquoi ces émigrations ont été aussi

cette expérience n’est pas réalisable car il perciste toujours des traces de religion !! Fonction d’avoir un espace sacré : obtenir un point fixe pour s’orienter Fonder le monde (existence depuis le début…) Vivre réellement, source de vie et de fécondité… Théophanie et signes : Preuve pour montrer la non-homogénéité de l’espace pour le religieux : ex= eglise dans

des besoins biologiques, comme par exemple se nourrir. Mais l’homme est peut-être plus qu’un simple être de besoins nécessaires, qui se contente seulement de la satisfaction de ses besoins biologique. Il s’inscrit dans une « existence ». Etymologiquement, le mot « existence » vient du latin qui signifie « sortir de », « s’élever de ». On peut dire que l’homme est un être qui se rapporte à des fins, des objectifs, des buts. Il est lié à des projets.  Ainsi, qu’est ce qui différencie précisément, le

du TOUT, son opposé ? Comme avec les couleurs où le blanc est la réunion de toutes les couleurs et le noir l’absence de toute couleur. Le néant : C’est le contraire de l’existence. le Néant est un état d'inexistence, encore dit la non-existence, c'est-à-dire le non-être. Le néant est le caractère de ce qui n'existe pas où tout sujet vient du néant, trouve sa place à un instant donné. Il le quitte lorsqu'il est, puis retourne au néant. Nous sommes tous des fils et filles du temps et

dernière seconde, C'est toi qu’on aime, tu es notre vie. Tu es notre ombre, tu es notre voie, Tu es notre or, tu es notre voix, C'est toi qui nous a donné la vie, Tu fais partie de nous. Tu es notre chance, tu es notre souffle, Notre existence et plus que tout, C'est toi qui nous a donné la vie, Tu fais partie de nous. Tu es tout ce qu’on a de plus cher au monde, Notre raison d'être, notre raison de vivre, Près de toi nous serons jusqu'à la dernière seconde, C'est toi qu’on

situation ambiguë par rapport au monde. Ce passage aborde donc la question de ce qui fait la spécificité, et aussi la difficulté de la condition humaine : détenir le privilège de la conscience, mais mesurer en conséquence la précarité de son existence, et chercher comment y riposter. Chacune de nos perceptions, écrit Sartre, porte à notre connaissance un fait fondamental, à savoir que la « réalité humaine » est « dévoilante ». Pour éclairer ce début, demandons-nous d’abord ce qu’est une