Évangile selon Thomas

Henri-Paul Chevrier et André Lavoie Ciné-Bulles, vol. 15, n° 3, 1996, p. 63-68. Pour citer ce compte rendu, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/882ac Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URI http://www

criminalité, il semble néanmoins que la certitude de la sanction soit de nature a faire baisser le taux de la criminalité. Fonction rétributive C’est la justification chrétienne fondée sur l’ancien testament et sur les évangiles. Elle a été développée par Saint Thomas DAQUIN : le pêché est une œuvre de volonté, le pécheur est donc débiteur d’une peine. Or tout délit étant assimilable au péché doit déterminer l’infliction d’une peine par la justice terrestre. Cette peine doit conduire le criminel

sam.fr@myloveforjesus.com Mon grand amour pour Jésus m'a amené à l'Islam 3 Table des Matières I. Introduction .............................................................. 4 II. Mon expérience aux Etats Unis d'Amérique…......10 III. Les Evangiles ..................................................... 14 IV. L’authenticité du Coran......................................... 26 V. La vie et la mission de Jésus.................................. 32 VI. Le prophète Mohammed .....................

Les conceptions politiques de la Renaissance 1. les progrès de l’Etat moderne et de la politique positive = Machiavel _ le roi « lion et renard » cf fiches culture G 2. L’influence et les idéaux politiques de l’humanisme chrétien ⇨ Thomas More (1478-1535) grand ami d’Erasme ; proche du roi Henri VIII_ L’Utopie _ prône discipline et tolérance au service de la liberté à travers portrait d’un mode imaginaire « utopia », proche de son idéal : dénonce csqs dramatiques du « mouvement des

l’Enchiridion militis christiani (Le Manuel du soldat chrétien). 1499 : premier séjour en Angleterre où il rencontre John Colet, chanoine de Saint-Paul et Thomas More. 1505-1506 : deuxième séjour en Angleterre. 1506-1509 : séjour en Italie. Il devient docteur en théologie à l’université de Turin. 1509-1514 : troisième séjour en Angleterre chez Thomas More, professeur de grec et de théologie. Il écrit L’Éloge de la folie sur la route entre l’Italie et l’Angleterre. 1514 : il entre en relation avec

sociétés primitives ou archaïques. Sociétés ou l’ordre social est assuré non pas par une autorité supérieure qui dominerait la collectivité, MAIS par un syst de solidarité entre individus ayant des ancêtres communs. Stratification de la population selon les classes d’âges, les groupes professionnels… Tout le monde observe un ensemble de coutumes plus ou moins rigides dont le caractère obligatoire est assuré par une croyance religieuse tres forte. Les sociétés sans Etat ont des caractéristiques

d’évolution des régimes politiques : • Chaque régime à tendance à dégénérer ainsi la pure monarchie dégénère en despotisme on ne gouverne plus selon les lois mais selon ses caprices .L’aristocratie dégénère en PLUTOCRATIE (gouvernement des riches). La démocratie dégénère en anarchie. • Chaque type de régime se transforme en un autre type de régime selon une évolution cyclique : la monarchie laisse place à l’aristocratie qui laisse place à une démocratie laissant place à une monarchie. Pour y remédier

Peut-on critiquer une croyance religieuse ? « Heureux êtes-vous lorsqu’on vous insulte, que l’on vous persécute et que l’on dit faussement contre vous toute sorte de mal à cause de moi » (Matthieu 5/11) » Ces paroles de l'évangile selon Matthieu semblent indiquer que l'on peut critiquer une croyance religieuse et que dans le cas du christianisme, le croyant doit même s'en réjouir. Pourtant, cela induirait que la critique d'une croyance religieuse implique forcément qu'on émette un jugement négatif

ne suffit à elle seule, La générosité le pourrait mais la société n’est pas assez généreuse pour y arriver. Générosité : vertu morale Solidarité : vertu politique V Eros est le manque et c’est la passion amoureuse. C’est l’amour selon Platon : « ce qu’on n’a pas, ce qu’on n’est pas, ce dont on manque, voilà les objets du désir et de l’amour » C’est l’amour qui prend, qui veut possèder et garder. Je t’aime= je te veux. C’est le plus facile, le plus violent. C’est le secret de la

anciens. Cette tragédie montre donc la gravité de tout conflit entre les lois et les coutumes d’un pays . Elle montre que souvent le monde n’est pas « en ordre ». Elle indique surtout les deux piliers sur lesquels il doit se tenir. Il y a donc, selon les classiques, deux fondements à la moralité. L’aidos (la pudeur au sens de la réserve, de la mesure, du tact et de la honte) et le nomos (les lois en général) donc la piété et l’honnêteté. Ces deux fondements sont aussi essentiels l’un que l’autre