Euroscepticisme

A Zagreb, il a plaidé pour que l'entrée prochaine de la Croatie dans l'Union européenne soit l'occasion d'aider le continent à "conserver et revivifier l'inestimable patrimoine commun des valeurs humaines et chrétiennes". Face à un certain euroscepticisme qui traverse une partie de la population, le pape a reconnu : "on peut comprendre aussi qu'il y ait une peur d'un bureaucratisme centraliste trop fort, d'une culture rationaliste qui ne tiennent pas assez compte de l'histoire, de la richesse de

1989 change la dimension de l’Europe. Le traite de Maastricht en 1992 donne naissance a l'union européenne et réalise un projet d'union économique prévoyant a terme l'adoption de l'euro. Il définie aussi la citoyenneté européenne. Parallèlement euroscepticisme progresse. Âpres l’échec du traite constitutionnel de 2005 rejeter par les français et les néerlandais, le traité de Lisbonne en décembre 2009 il vise a relance la dynamique européen

Bretagne, désireuse de garder sa monnaie, qu’elle considère comme faisant partie de son identité nationale) et les citoyens n’acceptent pas sans difficultés le fait que les lois de l’Union doivent passer en priorité devant celles de chaque pays. Cet Euroscepticisme entraina le refus par la France et les Pays-Bas de la Constitution, proposée le 29 octobre 2004. L’avancée de l’Union Européenne vers un Etat fédéral est de plus en plus importante. Cependant, il subsiste toujours des barrières qui ralentissent

l’acte unique* en 1986 et le traité de Maastricht* en 1992. V- L’EUROPE S’ELARGIT Un élargissement progressif de 1973 à 1989. Succès de la CEE Elargissement de l’Europe à 9 pays (1973) puis à 12 (1986) Installation d’un euroscepticisme suite à des difficultés économiques et financières dues à la crise et des désaccords externes accuse l’Europe des maux de la mondialisation. Les rencontres de Kohl et Mitterrand visent à élargir les compétences de la CEE dans un cadre supranational*

les chefs d’Etats et de gouvernement et décidant les grandes orientations. * la commission européenne préparant les règles et les directives européennes. Elle a d’importants pouvoirs alors que ses membres ne sont pas élus, ce qui suscite un euroscepticisme des citoyens face à la bureaucratie européenne, l’« eurocratie » ! * le conseil de l’Union européenne réunit les ministres relatifs à chaque sujet débattu. Il adopte les règles et directives européennes. * Le Parlement européen réunit 785 députés

diluer les nations dans une fédération informe et impuissante, tandis que les seconds dénoncent l'accent mis par l'UE sur la libéralisation de l'économie, accusée d'être défavorable aux intérêts des travailleurs. L'élargissement en question • Cet euroscepticisme se nourrit également de l'arrivée au sein de l'Union de pays dont le niveau de vie était bien inférieur à celui du reste des membres. • Surtout se pose la question des institutions de l'UE qui s'avèrent vite inadaptées à sa nouvelle taille. Il

membres) 1992 Traité de Maastricht : citoyenneté européenne (on reconnaît un objectif politique à l'europe) 1997 Traité de Schengen : Libre circulation des hommes dans l'union européenne 2005 Rejet par référendum de la constitution européenne Euroscepticisme Avoir de la méfiance à l'égard de la construction européenne. Le nombre d'eurosceptique augmente a cause de : La crise mondiale non solutionnée par l'UE (chômage, difficultés économiques) Le manque de démocratie dans les Institutions Européennes

Schengen ». Jacques Delors a instauré « l'acte unique » pour relancer la construction de l'union. Le programme ERASMUS est un programme qui favorise les échanges d'étudiants. C ) Développement d'un certain « euroscepticisme » L'intégration de nouveaux pays au sein de la CEE fait apparaître un problème. En intégrant des pays qui n'ont pas atteints le même niveau dé développement, l'élargissement risque d’accroître des disparités économiques et de menacer

grandes institutions européennes telle qu’elle existe aujourd’hui. Cependant, le traité connait une ratification problématique : les danois rejettent le projet et les français l’adaptent à une très faible majorité (51% de oui). C’est la marque d’un euroscepticisme. 2) L’élargissement. En 1995 : l’Autriche, la Suède et la Finlande. En 2004 : une grande partie des ex-démocraties populaires (la Pologne, République Tchèque, Slovaquie, Hongrie, Slovénie) et des Pays

plus les divergences : le Danemark refuse de signer et en France le 51% de « oui » démontre un faible enthousiasme, les priorités nationales prennent le pas sur la vision européenne. 2005 le référendum sur le traité Constitutionnel confirme cet euroscepticisme, la France les Pays-Bas et l’Irlande refusent et bloquent donc le processus européen. Malgré le traité de Lisbonne de 2007 pour réorganiser le Conseil de l’Union de nombreux problèmes persistent, la question de ‘intégration de la Turquie mais