Euroscepticisme

matière environnement, police, lutte contre criminalité… Contrôle frontières. Adaptation des politiques communes. B / Les difficultés à poursuivre l’intégration dans les années 2000 / 2010 ➢ Le déficit d’adhésion des populations : « euroscepticisme » des opinions. Abstention aux élections européennes. Iinquiétude face à l’absence d’Europe sociale… ➢ La faiblesse des politiques communes : Europe à la carte : ex euro : pas GB, DK, Suède / Schengen : pas GB, Irlande… ➢ La

rassemblant aujourd’hui 27 Etats membres qui ont mis en commun une partie de leur souveraineté afin favoriser la paix, la justice et la protection sociale (article 3 du TUE) est désormais confronté à un « déficit démocratique » ainsi qu’à un certain euroscepticisme, c’est pourquoi il est important aujourd’hui de comprendre si la légitimité démocratique de l’UE peut être remise en cause. Dans quelles mesures la légitimité démocratique de l’UE malgré son intégrité observable fait face à un déficit 

pouvoir décisionnel. Entrée nveaux Etats= Organisat° +compliquée. Traité de Romes pour Constitution signé en 2004 └>France et Pays-Bas refuse car déficit démocratique et social . └>euroscepticisme →on a dopte donc le traité de Nice, de 2001 └>règle prise de décision à 27 =>de 2004 à 2007 : Europe bloquée Juin 2007= conférence intergouvernementale pour rédiger traité modificatif. 13décembre 2007 = Traité de Lisbonne signé

signe l'accord sur l'Espace économique européen (EEE). Cet accord instaure les 4 principes qui sont à la base de l'UE : la libre circulation des marchandises, des services, des capitaux et des personnes. Le Royaume Uni a de nouveau démontré son euroscepticisme en s'opposant à la signature du nouveau traité décidé lors du sommet européen du 9 décembre 2011. Par cette décision, la Grande-Bretagne sera le seul Etat membre parmi les 27 à ne pas être soumise à une discipline budgétaire accrue. David Cameron

élargissements. De plus, ils ne participent pas à toutes les instances de l'Union européenne, mais seulement à celles qui les intéressent. On retrouve à la tête de ce groupe d'États membres moins engagés le Royaume-Uni (le modèle du genre, porteur d'un euroscepticisme chronique et cotisant moins que les autres au budget européen), suivi par les pays d'Europe centrale et orientale (PECO), nouveaux entrants issus du bloc communiste qui se sont logiquement rapprochés des États-Unis (symbole pour eux de l'opposition

de la Russie) ■ inflation galopante (Hongrie : 9% en 2007) ■ défense d’un modèle politique européen fondé sur les valeurs de la démocratie et des Droits de l’homme ■ blocages institutionnels liés à l’élargissement à 27 Etats membres ■ euroscepticisme (rejet du traité constitutionnel en 2005 par la France et les Pays-Bas, forts taux d’abstention aux élections européennes, arrivée au pouvoir de partis anti- européens ) ■ tentative de construction d’une identité européenne et de développement

participer aux élections européennes). Ce traité instaure l’union économique et monétaire à travers l’adoption d’une monnaie unique l’euro. Il renforce le rôle du Parlement europée. En 1995, l’ Union européenne englobe 15 Etats. Cependant l’ euroscepticisme se développe : l’adhésion au traité de Maastricht a divisé les Européens suite au référendum. Il existe des pays qui accepent le traité en partie comme par exemples le Royaume-Uni, la Suède et le Danemark qui n’adoptent pas l’Euro. Il existe

économique de la construction européenne rencontre une adhésion majoritaire dans la population, son versant politique continue cependant d’alimenter les oppositions de ceux qui refusent de voir la souveraineté nationale remise en cause. Et cet « euroscepticisme », dont l’échec de la CED apparaît comme une manifestation précoce, demeure d’actualité avec la victoire du « non » au référendum de 2005. Méthodologie de la Conclusion LA CONCLUSION EST LA DERNIÈRE PARTIE RÉDIGÉE QUE LE CORRECTEUR LIRA

Fontainebleau avec l'adoption de l'Acte Unique Européen en 1986. L'AUE a pour objectif la réalisation d'un marché intérieur. Il est dû en grande partie à Jacques Delors qui a souhaité relancer le processus d'intégration européenne après la période d'« euroscepticisme » qui avait suivi les chocs pétroliers des années 1970. Cet acte implique donc quatre libertés qui sont : libre circulation des marchandises et des services ; cependant, malgré la suppression des droits de douane en 1968 , le marché ne fonctionne

s'affirmer en tant que «pionnier» de la construction européenne.(L’union économique et monétaire sera capital à la construction européenne). Toutefois,le triomphe n'est pas total,car en «toile de fond»,l'adhésion au projet européen s'affadissait.L'«euroscepticisme» s'accentue alors et le couple franco-allemand semble ainsi paralysé et la concertation franco-allemande «se grippe».Et,alors que l'architecture institutionnelle de l'UE était au centre de toutes réflexions dans une perspective d'avenir,les tensions