Ethos

s’agit pas seulement de s’abriter des intempéries, encore que cela soit indispensable. L’habiter humain a à voir avec la vie humaine, et la façon dont on la vit. Or, la façon de vivre, le comportement habituel, se dit “ ethos ” en grec ancien, traduit comme “ caractère ”, et de “ ethos ” vient notre mot actuel éthique, si important… Habiter c’est ainsi être en relation avec un lieu, avec un espace, en sorte que de cette relation puisse naître une attitude en face de la vie et de ses problèmes. Cette

 Sommaire 1.1 L’auteur ……………………………………………………………………………………… 2 2.1 Le contexte…………………………………………………………………………………… 3 2.2 La conception de Misère ……………………………………………………… 3 3.1 Structure et rhétorique du texte …………………………………………………. 4 4.1 Ethos et persuasion ……………………………………………………………………. 6 5.1 Conclusion …………………………………………………………………………………. 10 6.1 Annexes………………………………………………………………………………………. 11 7.1 Bibliographie ……………………………………………………………………………… 12 1.1 l’auteur Victor-Marie Hugo (Besançon

Éthique » vient de deux homonymes grecs, êthos et éthos. Êthos signifie d'abord le séjour habituel, l'habitat, la demeure des animaux. C'est la première définition que retiennent les dictionnaires : « Lieux accoutumés d'animaux, comme les lions, les poissons, les porcs, etc. » Et les grands moralistes et théologiens, tel un Karl Barth, n'hésitent pas à le rappeler, comme pour en souligner le sens fondamentalement concret du vécu terre à terre. Ensuite, êthos veut dire le caractère d'un individu, le

Un manager selon la théorie X : Il prend ses décisions seul, sans concerter quelqu'un. Un manager selon la théorie Y : Décision prise avec consensus. ETHOS/LOGOS/PATHOS : l'individu est les 3 à la fois Logos : information que l'on a dans notre tête, logique soit les compétence que l'on a. Pathos : l'émotion, réagir ! Ethos : intélligence, l'éthique Le regard du chercheur rentre dans la construction de la réalité. La notion de légitimité est fondamental. L'effet pygmation: vous

des pratiques, qui est aussi un espace des jugements sur les goûts et les pratiques. Pour l'auteur, au principe même de ces pratiques se trouve un « ethos ascétique », une « discipline et une éthique d' auto contrainte » qui guide une volonté de « contrôle sur le destin corporel et social qui n'est pas neutre socialement ». Selon elle, cet ethos oriente le travail anorexique vers « l ' exceptionnalité sociale » (p. 250), la volonté de se distinguer du vulgaire, voire de la norme, d'où un

secrétaire général etc. Auditoire : masse électrice à laquelle s’adresse le politique. Langage lui – même : il donne corps et assure sens au discours. Ces composantes renvoient respectivement dans la tradition rhétorique gréco-latine aux termes : ethos, pathos et logos. Cela dit pour le discours politique d’une manière générale, qu’en est –il alors du discours populiste ? « Populiste » est un adjectif tiré du substantif « populisme », ce dernier veut dire, d’après le dictionnaire Larousse, « une

Y a-t-il un auteur dans la pièce ? Ethos du personnage et “figure auctoriale” Is there an author in the play? The character’s ethos and the “authorial” figure Jürgen Siess Résumé | Index | Plan | Texte | Bibliographie | Notes | Citation | Auteur ------------------------------------------------- Résumés FrançaisEnglish Cet article entend démontrer que dans le genre dramatique, aucune instance auctoriale n’intervient dans la communication qui s’établit entre le texte et le lecteur. Dans les

conception extralinguistique de l’ethos qui s’intéresse au positionnement de l’énonciateur dans l’institution, à son statut social, etc. Nul ne semble s’être penché, en revanche, sur la possibilité pour l’énonciateur de la traduction de construire un ethos autonome au sein de la version traduite. Or, si l’on admet que la traduction est une ré-énonciation et qu’il ne saurait y avoir de ré-énonciation sans agent20, il est tout à fait légitime de supposer que le narra- teur de la traduction construit une

mot », utilisation d’une scène validée (la famille)  Utilisation de l’ethos III. Ethos, pathos, logos L’ethos c’est l’image de soi que l’on construit par le discours. Toute parole vient d’un énonciateur incarné, ce sujet peut être renvoyé à l’orateur, qui renvoie à trois types d’effets perlocutoires (comment le discours agit sur le récepteur) : Plaire par l’image de soi que l’on présente dans le discours  ethos Informer, convaincre  logos Emouvoir  pathos En rhétorique classique on appelle

principes de sa conduite, Weber ne voit qu'un ethos : « En fait, ce n'est pas simplement une manière de faire son chemin dans le monde qui est ainsi prêchée, mais une éthique particulière. En violer les règles est non seulement insensé, mais doit être traité comme une sorte d'oubli du devoir. Là réside l'essence de la chose. Ce qui est enseigné ici, ce n'est pas simplement le « sens des affaires » - de semblables préceptes sont fort répandus - c'est un éthos. Voilà le point qui précisément nous intéresse