Éternité

nous de la même vitesse Que les jours de malheur ? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ? Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus ! Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus ! Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez ? Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes Que vous nous ravissez ? Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous, que le temps épargne ou qu'il

village de Zermat. Une fois à l’intérieur, elle m’indiqua de creuser. J’entrepris l’excavation avec une passion fiévreuse. Je lançais frénétiquement, mon cœur battait la chamade et ma respiration était saccadée. Après un temps qui me semblai une éternité, elle jugea la cavité satisfaite et me demanda de la dénuder. Je dus alors entreprendre un rituel mystérieux où il me fallut honorer son cœur par diverses danses. Finalement, elle s’installa dans le fossé et m’ordonna de l’ensevelir de petits cailloux

te l'écris, mon coeur te le dis, je t'aime pour la vie. Le feu a besoin de bois, comme moi j'ai besoin de toi. La vie c'est comme une rose, chaque pétale : un rêve, chaque épine : une réalité. Amour rime avec toujours. Aimer rime avec éternité. Et toi rime avec moi. Si un jour je meurs et qu'on m'ouvre le coeur on pourra lire en lettre d'or : Je t'aime encore. Tu m'aimes bien, je t'aime tout court. La différence s'appelle l'amour !!

produit des périodes où les classes en lutte sont si près de s'équilibrer que le pouvoir de l'État acquiert, comme médiateur en apparence, une certaine indépendance momentanée vis-à-vis de l'une et de l'autre [...] L'État n'existe donc pas de toute éternité. Il y a eu des sociétés qui se sont passées de lui, qui n'avaient aucune notion d'État ni de pouvoirs de l'État. [...] La société qui réorganisera la production sur les bases d'une association libre et égalitaire des producteurs transportera toute

d’une âme qui, suivant ses conseils. « Elle [l’âme d’Agnès] sera toujours, comme un lis, blanche et nette» mais si Agnès s’écarte du droit chemin « elle deviendra lors noire comme un charbon». De plus l’hyperbole : «Bouillir dans les enfers à toute éternité» indique la conséquence ultime de l’adultère. Ansi, en indiquant les effets désastreux d’une telle fourberie il apeure Agnès. Bref, en pointant à Agnès les types de femmes dont elle ne doit, sous aucun prétexte, calquer le comportement et en lui

noter que comme l'existence humaine aboutit nécessairement à la mort, il est compréhensible que mythologies et religions aient affirmé de multiples voies pour l'homme d'échapper à cette force destructrice en lui offrant des possibilités d'accès à une éternité concernant au moins sa dimension spirituelle. -Le temps comme milieu indéfini A côté du temps irréversible, lié à la condition précaire de l'homme, il est un temps objectif, conçu comme milieu indéfini analogue à l'espace, dans lequel se déroulent

conception que l'esprit d'un être vivant, de toute créature, peu importe sa taille ou grandeur, est véritablement situé dans un milieu entre le rien et le tout, que tout espèce vivante représente une importance dans l'univers et existe entre deux éternités. Une idée qui est contre la position où le nain, comme on le voit dans le passage, refuse d'accepter que les humains sont capables d'être significant dans l'univers à cause de leur taille et en conséquence ne seront pas capables d'avoir une façon

qui se promène et se promènera allégrement sur le cadran solaire de ta vie. Texte C - Paul Eluard : «La Dame de carreau», Les Dessous d'une vie, 1926. Tout jeune, j'ai ouvert mes bras à la pureté. Ce ne fut qu'un battement d'ailes au ciel de mon éternité, qu'un battement de cœur amoureux qui bat dans les poitrines conquises. Je ne pouvais plus tomber. Aimant l'amour. En vérité, la lumière m'éblouit. J'en garde assez en moi pour regarder la nuit, toute la nuit, toutes les nuits. Toutes les vierges

poète a eu un coup de foudre Négation partielle et restrictive V11 Il utilise du futur et non du conditionnel dans sa question Le poète est pessimiste et regrette d’avoir laissé partir la femme Idem que l’idée précédente Rime entre « beauté » et « éternité » Le poète est tellement fasciné par la beauté de la femme qu’il la classe comme une femme de l’au-delà Double hémistiches : 1 hémistiche avec 2 propositions subordonnées circonstancielles de lieu 1 hémistiche avec 2 Proposition subordonnee circonstancielle

l’artiste ») ; « la plus heureuse » (l.38) ; « le plus exquis » (l.19) (« La Chambre double »)), d’exagérations (« incomparable » (l.8) (« Le Confiteor de l’artiste ») ; « senteur infinitésimale » (l.19) ; « l’Idole, la souveraine des rêves » (l.25) ; « éternité de délices » (l.44) (« La Chambre double ») ; « supérieur aux autres » (l.53) ; « incomparable » (l.62) (« L’Invitation au voyage ») ; « une grandeur et une noblesse irrésistible » (l.2) (« Le Gâteau »)), d’adjectifs qui suggèrent la totalité, l’infini