Équation du mouvement

se rééquilibre assez lentement. 2.3. Équation d’état • Certaines variables dʼétat, non indépendantes, peuvent être reliées par une “équation dʼétat” qui caractérise ainsi lʼétat du système. Par exemple : nRT ◊ lʼéquation des gaz parfaits : p = ; V ◊ lʼéquation de tension dʼun ressort : F = k(T) [ℓ - ℓ0(T)]. ◊ remarque : toute équation dʼétat a un domaine de validité ! ◊ remarque : il peut y avoir des variables dépendantes sans quʼil y ait forcément une équation dʼétat ; par exemple en présence dʼeffets

Eric DAINI – Lycée Paul Cézanne – Aix en Provence © http://labotp.org TP Phys n° 10 Objectifs RESOLUTION D'UNE EQUATION DIFFERENTIELLE PAR LA METHODE D'EULER - Mettre en œuvre la méthode d'Euler pour déterminer une solution numérique d'une équation différentielle. - Trouver le modèle le plus pertinent pour déterminer l'expression d’une force de frottement fluide. I. EXPERIENCE • Une bille d'acier tombe verticalement dans de l'huile (voir photo). Une chronophotographie de l'expérience

PROJECTILE DANS UN CHAMP DE PESANTEUR 1. FORCE EXERCEE PAR LA TERRE SUR UN SOLIDE EN MOUVEMENT. 1.1. LA FORCE DE PESANTEUR. Un objet qui se trouve au voisinage de la Terre subit une force gravitationnelle F qui peut s’identifier à la force de pesanteur P Le poids, action répartie dans tout le volume d’un objet, peut être représenté par une force, notée p, dont: le point d’application est appelé centre de gravité. la direction est rigoureusement: suivant la droite qui relie les deux centres

Mouvement rectiligne uniformément accéléré • Mouvement d’un point matériel se déplaçant en ligne droite avec une accélération constante a(t) v(t) dv(t) = a0 = constante dt – On cherche x(t) – Solution: v(t) = a0 t + v0 , x(t) = a0 t2/2 + v0t + x0 , x O où v0 = v(0) = vitesse initiale où x0 = x(0) = position initiale – On vérifie la solution (quels que soient v0 et x0) en calculant la dérivée seconde de x(t). – Cas particulier: a0 = 0 mouvement rectiligne uniforme

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 27 28 30 32 32 33 34 35 . . . . . . 39 39 41 42 44 45 50 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Mouvement brownien et équations différentielles stochastiques 1 Généralités sur les processus à temps continu . . . . . . . . 2 Le mouvement brownien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Martingales à temps continu . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 Intégrale stochastique et calcul d’Itô . . . . . . . . . . . . . 4

département de physique avril 2004 Introduction Problématique Comment obtenir un mouvement périodique permettant de mesurer un laps de temps ? Nous avons choisi ce sujet car la mesure du temps est un sujet très intéressant qui comporte une grande quantité d’appareil des mesures très différents qui sont basé sur des propriétés physiques très différentes, mais qui ont tous en commun d’avoir un mouvement périodique quel qu’il soit. Nous avons aussi utilisé certains résultats trouvés dans le

façon concise (une seule phrase pertinente, sans aucune relation mathématique) aux questions suivantes : a) Quelle est la différence fondamentale entre les équations d'Euler et celles de Navier- Stokes ? Rep. : Ces équations traduisent le principe de conservation de la quantité de mouvement ("principe fondamental de la Dynamique"). Les équations de Navier-Stokes sont complètes et s'appliquent aux fluides réels ; celles d'Euler, simplifiées, supposent que les effets de la viscosité sont négligeables

correspondant au nombre quantique n2 , avec n2 > n1 . On identifie facilement cette relation avec la formule de RITZ. Le calcul de la constante effectué par la formule (XI) donne : Cette valeur est proche de la valeur expérimentale. Si on étudie le mouvement autour du véritable centre de gravité, on est amené à remplacer m par m , la masse réduite du système, telle que . On trouve alors Ry = 10967770 m–1 , très proche de la valeur expérimentale. 1.3. Insuffisance du modèle de BOHR. BOHR ne considère

ondes électromagnétiques Toute particule chargée (un électron par exemple), subit des forces à la fois électriques, mais aussi magnétiques. Cette particule est freinée ou accélérée par le champ électrique, alors que la trajectoire de son mouvement est déviée par le champ magnétique. Le champ électrique E est l'expression des forces qui résultent de l'action à distance de particules électriquement chargées sur une particule Q, divisée par la valeur de la charge de cette particule Q, de même

13.2.2.2. cas α = ϕ adhé , c’est l’équilibre limite 84 85 13.2.2.3. cas α > ϕ adhé , le solide 1 est en mouvement 85 13.3. AUTRE EXPÉRIENCE : SOIT LE MÊME SOLIDE POSÉ SUR UN PLAN HORIZONTALrET SOUMIS À UNE FORCE r F D’INTENSITÉ VARIABLE. ON CONSTATE QU’IL EXISTE UNE VALEUR LIMITE Fl , TELLE QUE SI F < Fl ALORS LE SOLIDE 1 EST EN ÉQUILIBRE, ET SI F > Fl LE SOLIDE EST EN MOUVEMENT .........................86 13.4. 13.5. LOI DU FROTTEMENT DITE DE COULOMB..............................