Épizootie

sont très virulents et spécifiques aux ravageurs visés, ce qui est un critère intéressant pour l’entomofaune non cible. De plus, les conidies ont une assez longue persistance dans l'environnement pouvant permettre naturellement des enzooties ou épizooties.

grammes en moyenne et pouvant atteindre 1,5 kg. L'huître portugaise Crassostrea angulata, rejetée dans l'estuaire de la Gironde le 14 mai 1868 par un navire nommé le MorlaisienNote 1, a aussi été élevée au cours du XXe siècle en France. Une épizootie l'a entièrement décimée dans les années 1970. La majeure partie de la production en France concerne l'huître creuse, aussi appelée parfois huître japonaise, dont le nom latin est Crassostrea gigas. Des huîtres mères de cette espèce, en provenance

agricole, concurrence européenne et mondiale renforcée, régulations internationales (Politique agricole commune, négociations dans le cadre de Organisation Mondiale du Commerce), multiplication des primes, scandales alimentaires et écologiques (épizooties, pollution de l’eau, etc.), question des organismes génétiquement modifiés (OGM), augmentation récente des cours, développement des biocarburants, multiplication des parcs éoliens, extension des espaces protégés et des contraintes associées pour

le monde. •Les aliments peuvent être contaminés au cours de la production, du transport, et du stockage par des bactéries pathogènes. •Exemple : Listeria monocytogenes : bactérie pathogène. -Espèce -Cause décrite en 1926 par Murray, lors d’une épizootie. d’une maladie grave : la Listériose. Généralités Listeria monocytogene Structure de Listeria monocytogenes Listeria monocytogenes ( Whitworth, mai 2014) Généralités Taxonomie Règne : Procaryote Division : Fimicutes Classe : Bacilli Ordre

édictées relèvent, pour la majeure partie, du domaine de la santé, domaine réel de préoccupation mais qui peut être aisément détourné. Celles-ci sont établies par trois organisations membres de l’OMC, le Codex alimentarius, l’Office international des épizooties, et la Convention internationale de la protection des végétaux, puis leur application est régie par l’accord dit «SPS», c'est-à-dire sur l’application des mesures sanitaires et phytosanitaires (protection des végétaux). Toutefois, il reconnaît le

multiples et on peut les situer autour de 3 grandes séquences : Les dernières années du XVIIIe siècle et le début du XIXe siècle : Vicq d’Azyr ; Cabanis ; Pinel ; Bichat ; Cuvier… - développement des prairies artificielles – lutte contre les épizooties – Jenner et la vaccine… La révolution pasteurienne : Il a fallu attendre les découvertes de Pasteur sur l’origine microbienne des maladies infectieuses et les mécanismes aptes à les enrayer pour que le progrès reprenne de façon décisive. De fait

grammes en moyenne et pouvant atteindre 1,5 kg. * L'huître portugaise Crassostrea angulata, rejetée dans l'estuaire de la Gironde le 14 mai 1868 par un navire nommé le Morlaisien[Note 1], a aussi été élevée au cours du XXe siècle en France. Une épizootie l'a entièrement décimée dans les années 1970. * La majeure partie de la production en France concerne l'huître creuse, aussi appelée parfois huître japonaise, dont le nom latin est Crassostrea gigas. Des huîtres mères de cette espèce, en provenance

83litre/hah/an Maroc: 40litre/hab/an Proche Orient • liban, Syrie •Jordanie ² •Egypte 100 litre/hab/an Approvisionnement en génisses = future et durabilité de la production laitière Dilemme Produire ou importer ? Considérations / Import • Epizooties! • Prix élevés; perspectives sur les subventions • Disponibilités ailleurs (taux élevés de réforme) Evolution des importations des génisses 1975 - 2000 40 Effectifs im portés en 1000s 35 30 25 20 15 10 5 0 1975 1980 1985 1990 1995 2000

d’avant crise. Les échanges internationaux se sont contractés de 1,6 % sous l’effet conjugué de la baisse de la demande internationale et des barrières sanitaires qui ont été imposées aux régions touchées par l’influenza aviaire ou par d’autres épizooties (Newcastle…). Le Brésil, premier exportateur mondial, a été particulièrement touché (– 7,4 %), malgré sa compétitivité sur le plan économique et l’absence du virus H5N1 sur son territoire. Les exportateurs brésiliens ont en effet cumulé plusieurs

paroisses Anglaises établissent des relevés de décès, ce sont les premiers pas de la démographie. Au 18e siècle, des médecins ainsi que la Société Royale de Médecine fondée en 1776 sont tenus de renseigner le gouvernement sur les épidémies et les épizooties survenant dans le pays, c’est le début de l'existence d’un réseau d’information national. Au 19e siècle de nombreuses épidémies (fièvres jaune en Espagne en 1820, choléra à l’est de l’Europe en 1823 puis en France vers 1831-1832), puis la découverte