En Quoi Tartuffe Est Un Personnage Comique

représentation? Nous montrerons en quoi il peut être agréable de lire une œuvre théâtrale puis, nous mettrons en évidence que l’on ne peut vraiment apprécier une pièce qu’en assistant à sa représentation. Tout d’abord, on peut savourer la lecture d’une pièce de théâtre. Dans un premier temps, celle-ci procure une meilleure capacité de compréhension de l’œuvre. En effet, l’intégration du contexte historique, de la situation politique et économique du pays dans lequel les personnages et l’intrigue évoluent

de la manière la plus sérieuse possible. Tout sujet comportant une métaphore requiert que vous exploriez de même cette métaphore, en montrant quels sont les aspects communs qui la justifie, mais aussi quelles sont les différences, et peut-être en quoi la métaphore peut se révéler restrictive ou caricaturale. D’autre part, la notion de littérature peut entraîner des lacunes ou des hors sujet : il faut la cerner. Tombent dans le champ de la littérature aussi bien la poésie que le roman que le

SGANARELLE En ce cas, Monsieur, je vous dirai franchement que je n'ap- prouve point votre méthode, et que je trouve fort vilain d'aimer de tous côtés comme vous faites. DOM JUAN Quoi? tu veux qu'on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et qu'on n'ait plus d'yeux pour personne? La belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans

règles sont de rigueur. Ainsi, L’Illusion comique de Corneille ou Hamlet de Shakespeare sont des œuvres baroques tandis que la tragédie de Racine Phèdre ou encore Tartuffe de Molière appartiennent au mouvement classique. Molière écrit en 1665, Dom Juan ou Le Festin de Pierre. Cette pièce relate du « quotidien » d’un homme libertin invétéré et blasphémateur : Dom Juan, dont l’art de vivre réside dans la conquête amoureuse. Dès lors nous nous demanderons en quoi Dom Juan peut-elle être considérée comme

1.2 Réception 2 La pièce 2.1 Argument 2.1.1 Acte I 2.1.2 Acte II 2.1.3 Acte III 2.1.4 Acte IV 2.1.5 Acte V 2.2 Liste des personnages 2.3 Registres 2.4 Dénouement 3 Les personnages 3.1 Dom Juan 3.2 Sganarelle 3.3 Les rapports maître-valet 4 Dom Juan au théâtre 4.1 Mises en scène marquantes du XXe siècle 4.1.1 Louis Jouvet (1947)

situation, personnages – nombre et identité, rapports entre eux –, registre, évolution de l’action, rôle du spectateur… • Cherchez les éléments que vous retrouvez dans ces trois scènes. • Classez ces éléments et définissez-les. Justifiez votre réponse par des références précises aux textes. ©HATIER m Question 2 Ce que l’on vous demande • « Complicité » signifie participation (ici : à l’action), connivence (entre deux personnes : ce peut être entre l’auteur, les personnages et le spectateur)

d’organisation de l’œuvre. 2. En quoi l’illusion comique est-elle une pièce baroque ? L’illusion comique n’est pas seulement une pièce baroque, elle est la plus baroque de tout le théâtre de corneille et la plus représentative du théâtre baroque français en général. Aucune autre œuvre de corneille et aucune autre œuvre d’un autre dramaturge de l’époque n’a mieux utilisé ce courant esthétique. Si le jeu des apparences n’était pas nouveau, jamais avant l’illusion comique on en avait fait l’essence et

les personnages y portent une « cravate » et un « veston ». Les costumes donnent également des informations sur les personnages. Ils renseignent sur leur statut social. Ainsi, dans En attendant Godot, Vladimir se rappelle : « On portait beau alors. Maintenant il est trop tard. » Nous comprenons donc que les deux personnages qui ont appartenu à la bourgeoisie – leur « chapeau » est un vestige de cette richesse passée – ont déchu. Les costumes font également deviner le caractère des personnages. Harpagon

Ne pas entrer dans le détail d’un commentaire, mais expliciter les grandes idées. • Eviter les plans du genre « premier texte, second texte, troisième texte », mais parler des textes ensemble, en essayant plutôt de trouver en quoi ils sont similaires (1ere partie) puis en quoi ils sont différents (2eme partie), ou l’inverse. • Appuyer ses affirmations par des citations du ou des textes concernés. • Eviter de parler de « Texte A », « Texte B », « texte C »… B) Pistes de réponse. Les trois textes évoquent

dénoncer quoi que ce soit. Autrement dit, on rit d'un personnage, de sa bêtise sans que l'auteur ne soit contraint de donner nécessairement une portée à tout cela.  Par exemple, dans Les fourberies de Scapin de Molière, bien qu'il y ait quelques éléments critiques, la préoccupation première du dramaturge est de divertir, d'amuser le public à travers la farce, le personnage de Scapin et grâce à de nombreux procédés comiques tels que le comique de situation -les fameux quiproquos- et le comique de langage