En Quoi Phedre Est Elle Un Monstre

plus profonde ? Nous croyons au contraire que la prépondérance de la tendance passionnelle est illusoire, et que nos passions ne sont que nos erreurs. [...] Si donc on veut découvrir la source de l’erreur passionnelle, il faut se demander d’abord en quoi elle consiste : nous comprendrons alors qu’elle émane du refus du temps. Le passionné, en effet, semble être celui qui préfère le présent au futur, le passé au présent. » (Ferdinand Alquié) 101 Sujet 7 Peut-on comprendre une passion ? 109 Sujet 8

était de n’avoir pas su elle-même ce qui l’avait poussée à ce geste criminel. » Intérêt de l’action Le texte est précédé d’une épigraphe intrigante : « Seigneur, ayez pitié, ayez pitié des fous et des folles ! Ô Créateur ! peut-il exister des monstres aux yeux de celui-là seul qui sait pourquoi ils existent, comment ils se sont faits, et comment ils auraient pu ne pas se faire… » (Charles Baudelaire). Elle est empruntée à un texte des ‘’Petits poèmes en prose’’ de ‘’Spleen de Paris’’ (XLVIII)

Antonomase=ex=代称，换称le père de la tragédie française=Corneille ; un tartuffe虚伪=un hypocrite虚伪的人 ; le rut des Béhémots et les Maelstroms épais=les termes Béhémots et les Maelstroms ont effectivement l’air d’être pris comme type excellents pour désigner des monstres ou des courants-tourbillons affreux. 可怕的旋风 Métalepse=ex=转喻Nous le pleurons=il est mort ; Mon cœur jette aux échos l’éclat des noms divins ! et Et quels événements étinceler dans l’œil ! 以神的旨意，在强烈情感的促使下，我要Jeter，大声说话产生了很大的回声；相似的，对于先发生的事情的反应，不一会儿就从眼睛里流露出来，并且闪着光芒。

lâche sur lui quelques chiens : Il fit fort peu de résistance. Amour, amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence. * Le Mariage de Roland: p.56 * Narkiss de Jean Lorrain: p.98 * Nerval, Gérard de: p.153 * Phèdre: p.154 * Pascal Blaise: p.138 (Cléopâtre) *Poe Edgar: p.149 Edgar Allan Poe (1809-1849) est un écrivain américain, poète, romancier et nouvelliste du XIXe siècle. Il a aussi travaillé comme critique littéraire et éditeur bien qu'il soit plus

Titus, qui avait été fort débauché dans sa jeunesse, du fait de l’influence de Néron à la cour duquel il avait été élevé (aspect dont Racine sut tirer parti, par exemple dans les vers 506-508) mais dont la trajectoire allait être inverse de celle du «monstre naissant». Alors âgé de vingt-six ans, il tomba amoureux de la sœur du roi Hérode Agrippa II, la princesse Bérénice, qui en avait quarante et un, étant née en 28, soit avant la mort du Christ. Elle était la petite-fille d'Hérode le Grand (à qui l'Évangile

passage, la nourriture occupe le premier plan : il n’est question que d’œufs frais (l. 3, 9, 12, 14, 23, 43), de pot de confiture (l. 11), de boisson (l. 5, 16), de pain (l. 17, 18, 19), de ragoût de la veille et de volailles froides (l. 16). De quoi mettre en appétit le lecteur. Les personnages eux-mêmes trouvent leur fonction en rapport avec la nourriture : les hôtesses (les sœurs Habert), la servante cuisinière (Catherine) et celui qui est reçu (Jacob). Une ligne de partage s’instaure entre

son ouvrage : En tibi sacratum sors mea rupit opus. Enfin on remarque que Lactance n'a cité des Fastes que les six premiers livres ; or, il serait bien étrange que les six derniers, s'ils eussent existé, ne lui eussent fourni aucune citation. A quoi l'on répond que les six derniers livres avaient pu périr long-temps même avant Lactance. 13 Trist., lib. II, V. 54g. 13 Réponse faible, ce nous semble; nous croyons donc qu'Ovide avait, il est vrai, le dessein de consacrer un faste ou un

GUERRIER. Il n'est pas descendu sur le coup, il descendit du cou. LE RAMEUR. Du coup ou sur le coup (gestes, c'est identique) hein ? LE GUERRIER. Il pouvait pas descendre sur le cou puisqu'il était dans le cou ! LE RAMEUR. Tu me prends pour un Troyen ou quoi ! Je sais bien que Ménélas était danse coup avec vous puisqu'il vous commandait ! LE GUERRIER. Non, lui il était dans le cou mais nous on y était pas ! LE RAMEUR. Ah ! Ça c'est bien les chefs ! Eux ils sont toujours dans le coup mais les autres,

passage, la nourriture occupe le premier plan : il n’est question que d’œufs frais (l. 3, 9, 12, 14, 23, 43), de pot de confiture (l. 11), de boisson (l. 5, 16), de pain (l. 17, 18, 19), de ragoût de la veille et de volailles froides (l. 16). De quoi mettre en appétit le lecteur. Les personnages eux-mêmes trouvent leur fonction en rapport avec la nourriture : les hôtesses (les sœurs Habert), la servante cuisinière (Catherine) et celui qui est reçu (Jacob). Une ligne de partage s’instaure entre

nécessaires de la composition et l’écriture de certains extraits qui ne pourraient se faire que selon le point du vue du mari de madame de Clèves. L’œuvre qui s’achèverait plus vite donnerait lieu également à une interprétation différente  : en quoi le destin de monsieur de Clèves pourrait-il proposer une autre vision de l’homme dans cette société du XVIIe siècle ? ENTRAÎNEMENT Commentaire Cet extrait qui se situe dans les dernières pages du roman fait entendre le dialogue entre la Princesse