Eloge Paradoxal Exemple

Et si on remettait ça à demain ? Lundi 14 janvier 2013… Je me lance, et je n’ai de toutes manières plus le choix, dans mon éloge paradoxal. Je dois faire partie de ces personnes qui remettent tout au lendemain, pour finalement se trouver au pied du mur, et n’avoir plus le choix. Au pied du mur. Comment appelle-t-on cela ? Certains appelleront ça la fainéantise, la paresse, la flemme, le manque de sérieux. Cela s’appelle en réalité la procrastination. Fis des « glandeuse », « fainéante »,

Dénonciation très rigoureuse, argumentée, des idées reçues, comme celle qui dit que c’est par la terreur et les armes que les tyrans se maintiennent au pouvoir. Erasme veille à associer arguments et exemples, privilégiant d’ailleurs ceux-ci qu’ils multiplient afin de convaincre le lecteur : nombreux exemples de comportements absurdes des moines, scandaleux des papes, etc… III- Mais ces auteurs se rejoignent sur l’efficacité d’une écriture littéraire, qui ne se limite pas à l’exposé strictement logique

présent d’analyser en détail. II. La dénonciation par l’ironie (voir proposition de rédaction infra) 1) La présentation caricaturale muphti hyperboles, amplifications et caractère outrancier ridiculisant les propos de l’énonciateur 2) Le caractère paradoxal et choquant des propositions présentation positive d’idée généralement considérées comme positive, et réciproquement 3) Le décalage entre le ton solennel et l’absurdité des propositions faites ou des situations évoquées ex. du médecin garde de la

quasi-totalité de la population à l'époque de Pascal au XVIIème s, ne sait pas lire) et ne s’inclue pas lui-même dans sa thèse pourtant générale. Ainsi, il parle en tant qu'observateur et moraliste en s'appuyant sur des exemples spécifiques. D'abord, il introduit ses propos à l'aide d'un exemple fictif, en faisant appel à l'imagination de ses lecteurs, dans lequel « Un homme est jeté par la tempête dans une île inconnue » qui est confondu avec le roi de cette dernière, fiction qu'il concrétise avec des arguments

nous envisagerons en trois moments successifs. Tout d’abord, Bergson part du constat qu’une idée a besoin d’être exprimée par écrit. Ensuite, il introduit la notion d’effort, pour en montrer la fécondité ; enfin (à partir de « Or… » il finit par un éloge de la matière. Dans un premier temps, Bergson fait un constat, qui concerne chacun d'entre nous: c'est l'expérience que nous connaissons bien, et qui nous conduit à exprimer une pensée en l'écrivant, faute de quoi elle reste obscure et informe

Le cannibalisme, entre humanité et inhumanité 1. Montaigne adopte un mode de raisonnement inductif (Il part des exemples concrets, de ce qui a été observé pour tirer l’idée générale) : après avoir fait le récit des combats entre peuples sauvages, il en vient progressivement à l’énoncé de sa thèse. Ainsi, le récit du rituel cannibale amène Montaigne à un constat paradoxal : « Ce n’est pas, comme on pense, pour s’en nourrir […] : c’est pour manifester une très grande vengeance. » Refusant de réduire

démonstration II- Un éloge paradoxal : 1- éloge de l'hypocrisie : (du vice) Mise en relief : - par l'usage de tournures impersonnelles qui simule un discours moral " c'est ainsi qu'il faut profiter… " - par ton appréciatif : hyperboles " meilleurs " " merveilleux " subjonctif " qu'on puisse " 2- Exhibition du cynisme : (expressions d'opinions, de sentiments destinés à provoquer) -> Hypocrisie (profondément subversif -> Tartuffe) donne vertu (cf. éloge tabac) 3- Métalangage

1 à 12 ; quatrains 1, 2, 3) : la figure ambiguë du chiffonnier2ème mouvement (v. 13 à 24 ; quatrains 4, 5, 6) : les chiffonniers, héros parisiens 3ème mouvement (v. 25 à 32 ; quatrains 7, 8) : éloge du vinLe titre : « Le Vin des chiffonniers » Le chiffonnier exerçait un petit métier, très peu lucratif, mais utile : les chiffonniers récupèrent au départ des chiffons dont on fait du papier. Cette activité voit son apogée au XIXe siècle avec le développement

: le comique de situation (ex. : le quiproquo (I, 5) ; la 1ere rencontre Thomas Diafoirus / Angélique où il se trompe d’interlocutrice ; la déclaration d’amour déguisée dans l'opéra impromptu), etc. ; le comique de mœurs (satire des médecins par exemple la caricature de consultation médicale des Diafoirus Acte II scène 6 qui contredit totalement le diagnostic et le régime alimentaire prescrit par Purgon et où le père Diafoirus se perd dans des explications totalement fantaisistes,loufoques : « Qui

d'autre poète par la suite, tels que Francis Ponge ou encore Aimé Césaire. En effet dans Le Parti pris des choses, Ponge exprime une grande modernité dans la forme de ses poèmes car il les construit sous forme de définition. Dans « L'huître » par exemple, le poète fait une description abordant plusieurs degrés : pratique, symbolique sur le monde, sur la création. La première ligne « L'huître, de la grosseur d'un galet moyen […] » désigne bien, telle une définition, l'aspect concret et visuel du mollusque