Eloge Paradoxal De La Guerre

comme un héros de guerre « dont la moustache pend comme les vieux drapeaux. Les bannières, les fleurs et les arcs triomphaux » vers 19-20. Le chiffonnier semble reconquérir ses attributs humains et retrouver une forme de dignité, on peut penser à une forme d’allégorie «  Ils apportent la gloire au peuple ivre d’amour » vers 24. L’ivresse anoblit le chiffonnier, le vin a un pouvoir échappatoire, vertueux et libérateur. Cependant, cet éloge du vin peut être compris comme un éloge paradoxal. Il va contre

de la démonstration II- Un éloge paradoxal : 1- éloge de l'hypocrisie : (du vice) Mise en relief : - par l'usage de tournures impersonnelles qui simule un discours moral " c'est ainsi qu'il faut profiter… " - par ton appréciatif : hyperboles " meilleurs " " merveilleux " subjonctif " qu'on puisse " 2- Exhibition du cynisme : (expressions d'opinions, de sentiments destinés à provoquer) ⋄ Hypocrisie (profondément subversif ⋄ Tartuffe) donne vertu (cf. éloge tabac) 3- Métalangage théâtrale :

quidem ulaeo) VALE CURA VT VALEAS OPTO TE BENE VALERE L’oeuvre et son auteur Sénèque : Lucius Annaeus Seneca (4-1 av JC / 12 avril 65 ap JC) -> Sénèque le Père / le Rhéteur Claude (empereur) Agrippine Néron 65: conspiration de Pison Lucian -> La guerre civile (Pharsale) Sénèque est un polygraphe. Ecrits philosophiques (philosophie politique et morale) Politique (stoïciens) Pythagorisme - Consolations (Ad Marciam, ad Heluiam matrem, ad Polybium) - De ira (Sur la colère) - De prouidentia (Sur la

loup : l'avocat général le procureur. Il rpz la cruauté. Les registre : - tragique au début. L’évocation de la peste et de l'Acheron. La figure d’œdipe plane sur ce début. Comparaison avec la guerre. Impossibilité d’échapper au mal. Bcp de négation. - du pathétique II-l’éloge paradoxale de l’éloquence. Éloquence : art du « bien parler » l'art oratoire. 1- discours du lion. étude des pronoms #des adj * ceux a la 1°pers du sing. * nous, on (de généralité) nous implique

en effet un bon géant au service du roi Arthur). Rabelais en fait le prince d’un royaume imaginaire dont il conte les aventures à la façon des romans de chevalerie. Mais le roman qui illustre surtout les idées humanistes sur l’éducation et sur la guerre, est censuré par les autorités religieuses de la Sorbonne pour obscénité, en réalité pour les idées religieuses qu’il véhicule, proches de celles de la Réforme. Dans le «  Prologue » dont on étudie ici un extrait, Rabelais fait l’éloge du philosophe

personnification, anaphore * Des formes elliptiques. | Donner aux êtres, aux choses, aux évènements une dimension qui les dépasse (héroïsation).Associé à l’épopée, le registre épique exalte les valeurs héroïques liées à de grandes actions comme la guerre, le sacrifice de victimes, la gloire de Dieu. Il présente un héros affrontant d’autre hommes ou des forces naturelles. Cet être exceptionnel peut être aidé par des pouvoirs surnaturels. Il apparaît souvent comme le représentant d’une force collective

rhétorique adressée à Sganarelle, il reformule les propos de ce dernier :  « Quoi? Tu veux qu’on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu’on renonce au monde pour lui, et qu’on n’est plus d’yeux pour personne? » Dom Juan fait donc ici un éloge paradoxale en faisant passer la fidélité pour un renoncement, un emprisonnement. Cette question rhétorique souligne aussi l’aspect provocateur du personnage car l’inconstance dont il fait l’éloge, est un vice condamné par l’Eglise et est blâmé par la société

l’on croit...Regardons de plus près !(Partie non étudiée en classeTout commence donc par une dédicace, à Paul de Barillon d’Hannoncourt, diplomate, ami de La Fontaine, qui va être l’ambassadeur de Louis XIV à la cour d’Angleterre. L’ouverture est paradoxale : d’entrée de jeu, le fabuliste crée un contraste entre l’élévation de son ami l’« Ambassadeur » et la « vulgar[ité] » de ce qu’il lui offre, de simples « contes ». Dévaloriser son présent est bien sûr une façon polie de louer l’ami auquel on l’offre

les Burgraves, sonnera la fin de ce genre(1843). Texte3- Samuel Beckett, En attendant Godot(1912): analytique Introduction: Cette pièce est en deux actes. Elle est considérée une des chefs d'œuvre du théâtre d'absurde, au lendemain de la deuxième guerre mondiale: l'échec de l'humanité et de ses valeurs avec Beckett, Ionesco et Adanov qui vont essayer de traduire les sentiments d'une époque traumatisé: la remise en question de l'humanité qui progresse la technologie, mais dévalorise la valeur de l'homme

est « écrit ». Au moment où Giraudoux rédige son œuvre, la guerre de Troie, elle aussi, a été « écrite » : elle a été racontée par Homère dans l’Iliade. Comment pourrait-on modifier une histoire déjà écrite ? Or, le titre de la pièce paraît justement vouloir récrire l’histoire, une histoire déjà écrite depuis des siècles. Il semble vouloir nier une évidence, une vérité pourtant universellement connue. En donnant à sa pièce ce titre paradoxal et brillant, l’auteur invite à une réflexion sur le destin