Eloge Paradoxal De La Colere

- Étonnement: « il ne manqua pas d'en parler à souper dans son hôtellerie » (l.6) + Questions - Attendrissement: « l'ingénu, attendri de plus en plus » (l.53) - Compassion: Fonction des larmes « L'ingénu à son tour versa des larmes « (l. 30) - Colère / Indignation: « qui ne pouvait plus se contenir » (l.60) + exclamation « Oh bien, messieurs » (l.60)+ décision d'intervenir « je parlerai à ce Mons de Louvois, on m'a dit que c'est lui qui fait la guerre, de son cabinet. » (l.62-63) Le personnage

Spleen et Idéal » et interroge les origines morales de la Beauté. Il rappelle ainsi le projet esthétique des Fleurs du Mal en explorant les limites esthétiques du mal. A DIRE ABSOLUMENT !!! Ce poème structuré en sept quatrains est construit comme un éloge adressé à la Beauté. Mais progressivement, l’allégorie de la Beauté révèle toute la monstruosité de ses pouvoirs. Comment le poète fait-il l’éloge amoureux d’une Beauté toute puissante et monstrueuse ? JE VAIS PROCEDER A LA LECTURE DU TEXTE En étudiant

désespoirs et des passions. - Formes : ponctuation affective avec interrogations, exclamations, interjections exprimant la détresse de l'individu pris au piège. Apostrophes et invocations prennent à témoin les instruments du fatum, dans la plainte ou la colère (imprécations, lamentations). La phrase ou le vers, amples et solennels, contribuent à inspirer au public horreur, effroi et compassion devant un destin exemplaire. Figures de rhétoriques (parallélismes, chiasmes, rythmes binaires ou ternaires, gradations

Éloge de cet élan de sincérité de sa femme (cf. qualités morales, hyperboles) # grande tristesse, discours pathétique (CL du désespoir).

ce matin – je voudrais vous sauver – sauvez vous). • Une tonalité sublime : (exagérations, rythmes et phrases complexes). • Un enthousiasme mystique. II - Une scène de persuasion ->   Le dessein de Done Elvire • Avertir Dom Juan de la « colère redoutable du ciel ». • Amener Dom Juan à changer sa vie. • Lui redire les détails de sa conversion passée. ->   L’art de la persuasion. • Registre pathétique centré sur l’émotion. • Prédominance du pronom je = mise en évidence du destinateur

cette erreur commune, Et ne vous plaignez plus de sa bonne fortune. Commentaire linéaire du passage pour l’oral du bac : éléments importantsIdées : Axe de lecture : Comment la mise en abyme du théâtre se couple avec un éloge de celui-ci ? I/ Par un effet de mise en abyme qui dévoile les coulisses de la pièce de théâtreThéâtre : lieu de l’illusion :Décalage extrême entre le contenu de la pièce encadrée : « le traître et le trahi, le mort et le vivant » et celui de la pièce

 de  se  réconcilier  avec  le  Coadjuteur.   Référence  à  Mme  Robinet.  Aventure  de  M.  Busche.     13.  SA  FILLE,  11  février     Ê Plainte  à  cause  de  la  lettre  manquante.  Eloge  du  style  de  MdG.  Douleur  de  la  séparation.   Ê (le  soir)  Arrivée  de  la  lettre  =  rire.  Ne  pense  qu’à  elle.  Mention  de  sa  petite-­‐fille,  Marie-­‐Blanche.     14.  SA

Dell’Arte qui nous renvoie à une arlequinade. L’agitation des personnages, l’ardeur avec laquelle ils racontent leur expérience de la noyade amuse, la façon qu’ont Lucas et Pierrot de parier sur les noyés fait rire par la cruauté qu’elle dégage, c’est paradoxal mais puisque la scène se termine bien pour le « noyé » il n’y a pas de raison de ne pas en rire. Dans la scène trois, on a un parfait exemple de ce que l’on peut qualifier d’agitation : le fait que Don Juan passe aux mains pour combattre Pierrot

d'années. Les documents d’accompagnement des programmes de 2001 de la classe de seconde et de première les définissent comme " la manifestation par le langage de ces grandes catégories d’émotion et de mouvement de sensibilité. La joie, l’angoisse, la colère, l’indignation, l’admiration, la plainte, la méfiance, la compassion, le doute trouvent là leur lieu à travers des formes d’expression multiples ".1 Les documents d’accompagnement précisent les perspectives ouvertes par l'étude des registres :

barbares sont de plus en plus présentes et Charles le Gros préfère ne pas affronter les Normands : il négocie leur départ et leur livre même la Bourgogne. L'incapacité des souverains carolingiens à lutter contre les envahisseurs, soulève contre eux, la colère des Grands propriétaires et des comtes. Ceux-ci en profite pour s'octroyer les pouvoirs du roi sur le territoire dont ils ont la charge.Juridiquement, les rois carolingiens reprennent de plus en plus les titres romains. Il s’agit-il d’une vraie renaissance