Eloge Paradoxal De La Colere

antiques. L'Homme qui rit (1869) de Vitor Hugo Registre principal : le tragique : impuissance du personnage à exprimer ses sentiments (l.27) Opposition dans le vocabulaire employé : émotion : "étonnement, souffrance, colère, pitié" contraire aux manifestation onterieures : hilarité "s'il eut pleuré, il eut rit". Registre réaliste : nom, métier, enfance du personnage Son nom : Gwynpaine fait pensé à l'Angleterre 10 fois il y a le champ lexical du visage, du général

met en opposition et de ce fait définit deux poétiques. Lire les poèmes consacrés à Ronsard Tout d’abord, il construit un éloge de Ronsard dont les thèmes sont : la faveur auprès du roi la grandeur des sujets / porté par la fureur inspiratrice les succès qui lui permettent d’acquérir de son vivant l’immortalité. Mais il faut y voir là un éloge paradoxal. Cela lui permet aussi d’élaborer et de prendre possession de son propre domaine poétique. Face à la faveur royale, il affirme

scène 2 de l'acte ?, c'est donc le début de la pièce, et c'est de plus la première apparition de Dom Juan, qui à été décrit par Sganarelle, son valet, comme un grand libertin lors de la scène précedente. En se livrant dè sson premier discours à un éloge de l'infidélité, Dom Juan apparaît sous le visage qui lui est traditionnellement prêté. Cette tirade de Dom Juan lui donne les moyens de se justifier de ses actions auprès de Sganarelle, qui n' est pas du même avis qui lui. Le thème de cette tirade

déclara : - J'frai mon possible, m'sieu le curé. L'abbé Maritime reprit : Dieu en vain ne jureras Ni autre chose pareillement. Avez-vous quelquefois prononcé quelque juron ? - Non. Oh ! ça non ! - Je ne jure jamais, jamais. Quéquefois, dans un moment de colère, je dis bien sacré nom de Dieu ! Pour ça, je ne jure point. Le prêtre s'écria : - C'est jurer, cela ! Et gravement : - Ne le faites plus. Je continue. Les dimanches tu garderas En servant Dieu dévotement. - Que faites-vous le dimanche ? Cette fois

qui s'entrecroisent et peuvent rester inachevées (Matamore retrouvé après plusieurs jours). L'histoire principale est enlacée par des histoires secondaires. Cette inconstance de la diégèse est renforcée par l'inconstance amoureuse des personnages (éloge de l'infidélité par Clindor : V, 3). Cette instabilité confine même au tourbillon sur la fin de la pièce lorsque Pridamant et le lecteur avec lui ne savent plus ce qui ressort de la réalité ou de la fiction. Transgression de la règle des trois unités

sa bien-aimée. Conclusion : Ainsi, ce poème ne se réduit pas à une provocation contre le bon goût littéraire, il affirme la puissance de l’écriture en se plaçant dans la tradition baroque de la vanité. De même, par le recours à l’éloge paradoxal, il « extrait la beauté du mal » en mêlant un réalisme cru à des images bucoliques et artistiques, la carcasse qui s’épanouit dans ces vers est bien une fleur du mal. Ouverture : Poèmes censurés pour le goût de la provocation Poèmes du romantisme

l’agneau met en évidence le comportement de celui qui non seulement exerce sa violence sur le plus faible mais cherche à la justifier. I. Deux personnages opposés a) Le loup Cruel, tyrannique, supérieur. Champ lexical de la haine : "plein de rage", "colère"… Le Loup se comporte en prédateur, soumis à ses instincts, à sa "faim", à ses pulsions agressives et cruelles : son discours est plein de menaces - "Tu seras châtié" -, d'affirmations sans fondement. Royauté : "sire", "majesté"… Loup = symbole

démolition. Etre moraliste c’est décrire les meurs, en étant pessimiste, en mettant en avant les misères des hommes tels qu’ils sont. « Le cœur est creux et plein d’ordures » Pascal. - Chef d’œuvre paradoxal. Parmi les grands chefs d’œuvre du 17ème, c’est le seul roman. C’est aussi paradoxal, car différent du roman du 17ème siècle. Dans tout ce paysage, la Princesse de Clèves est différente car on y voit le premier roman moderne. C’est « l’acte de naissance du roman moderne » P. Malandain. >

imaginant qu'ils se lèvent pour se venger. VI. Il évoque le sacre de l'empereur, qui, après avoir commanditer un massacre, se lave de tous soupçons par la religion. VII. L'auteur personnifie la mer. Il semble discuter avec elle et lui demande d'accepter sa colère et de ne pas chercher à le calmer. VIII. Il parle au nom du peuple et de la France, qui n'a pas mérité ces souffrances. Il accuse l'empereur de s'en être pris au peuple. Il oppose la liberté à la nécessité. XI. L'auteur personnifie l'indignation et

par ex. • le bien, le mal • la vertu, le vice • le beau, le laid • le caractère, les moeurs • l’honorable | Les moyens pour persuader : Les moyens lexicaux * Le lexique appréciatif • Le lexique affectif : cf. peur, joie, indignation,colère, etc. … • Le lexique évaluatif : cf. mots valorisants / dévalorisants • Les connotations péjoratives ou mélioratives • Les registres de langue : soutenu et familier * Les oppositions lexicales par ex. • le champ lexical du passé et