Eloge Du Politesse

c'est-à-dire le sentiment commun qui anime les hommes vivant sous un tel régime : * la monarchie, « où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies »[7], fondée sur l'ambition, le désir de distinction, la noblesse, la franchise et la politesse[8] ; * la république, « où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple, a la souveraine puissance »[7], comprenant deux types : * la démocratie, régime libre où le peuple est souverain et sujet. Les représentants sont tirés

émerveillement un monde qui apparaît comme le contraire du monde qu’ils connaissent. L’utopie : - plaisir des sens - richesse - abondance - exotisme - qualité des gens - pas besoin d’argent - architecture riche - vêtements luxueux - politesse - savoir vivre - ne profitent pas de la naïveté de Candide. L’ironie de Voltaire : il grossi la perfection de ce monde pour montrer qu’il n’existe pas. Il critique le monde du XVIIIs : - insuffisance de la société - imperfection de la

Document sans titreLES ILLUSIONS PERDUES INTRO Les premières œuvres marquantes de BALZAC (1819-1848) datent de 1829 (Les Chouans et La Physiologie du Mariage qu’il intègrera ensuite à La Comédie Humaine). C’est en 1830 qu’il rédige la première scène appartenant à Scènes de la Vie Privée: La Maison du Chat qui Pleure Puis en 1834, dans une lettre à Mme.HANSKA datant du 18 octobre, il dresse le plan d’une œuvre ambitieuse (qui deviendra ensuite La Comédie Humaine) qu’il répartit en études analytiques

de sa santé. Il entretient la conversation de lui et de ses problèmes physiques. Le mettre ainsi sur le devant de la scène amuse parce qu’on reconnaît le tableau. Ainsi, à la scène 2 de l’acte II, quand Cléante salue son hôte par une formules de politesse convenues, en lui trouvant bonne figure, Toinette, au nom de son maître, le coupe immédiatement et l’empêche de continuer. Il n’y a pas moyen de changer de sujet. Dans la première scène, Argan compte ses factures et s’aperçoit que le mois dernier

». L’auteur remet donc en cause certains agissements des personnes croyantes tout comme le fait de faire croire que l’on est dévot. Le narrateur fait apparemment l’éloge du prieur : « un très bon ecclésiastique », « aimé de ses voisins ». Mais cet éloge est ironique et satirique. En effet, il associe à l’abbé, homme d’église, le péché de chair et celui de gourmandise : « aimé [...] de ses voisines », « le seul que l’on ne fût pas obligé de porter dans son lit quand il avait soupé avec ses confrères

un asphalte, un astérique, un augure, un chrysantheme, un effluve, un emblème, un éphémère, un équinoxe, un hémisphere, jade, un obélisque, un ovule, un pétale, un planisphere, un sépale, un tubercule, un abime, un adage, un anatheme, un aphte, un éloge, un emplatre, un éclair, un ail, un akene, un alcool, un amiante, un amphibie, un apotheme, un appendice, un argent, un arome, un artifice, un asile, un autodafé, un automne, un balustre, un camée, un contralto, un élysée, un encéphale, un épilogue

la place faite à la femme dans la société. Il protesta contre la domination de la femme par l'homme et contre leur incapacité à se révolter contre cette injustice. Pourtant, dans cette pièce, (les femmes savantes) on ne peut pas dire qu’il fasse un éloge de l’instruction des femmes et bien au contraire, il dévalorise totalement celles qui sont en quête de savoir. A cette époque, les femmes étaient soumises depuis leur plus jeune âge. Dès leur naissance, elles sont sous la tutelle d’un père, à qui

scandale puis est condamnée par la censure. Le philosophe se réfugie en Lorraine chez la marquise du Châtelet. Dans la partie de cette œuvre consacrée aux «quakers », il critique de façon indirecte et détournée la nation française au travers d’un éloge de l’Angleterre. Il évoque le mode de vie et les manières très simples du quaker pour mieux mettre en avant l'intempérance et l'hypocrisie des Français. « Pour m'en instruire, j'allai trouver un des plus célèbres quakers d'Angleterre, qui, après avoir

toujours amoureux de lui, comme dans le Premier Alcibiade. Hippocrate : Il s’agit d’un simple ami de Socrate, à ne pas confondre avec son homonyme Hippocrate de Cos, fondateur de la médecine. C'est lui qui a amené Socrate à Protagoras, lui faisant éloge de sa science. Un dialogue autour de la vertu et de l’enseignement des sophistes  Le Protagoras aborde sous plusieurs angles la question de la vertu, en s’attachant à définir les parties qui la composent mais aussi à déterminer si elle peut

l'imprimerie et de la lecture (à ce moment-là l'imprimerie venait d'être introduite en Turquie). C'est un texte construit sur des procédés d'antiphrase systématiques, et sous le couvert des accusations à l'égard de l'imprimerie il faut en voir un éloge. Voltaire critique également les pouvoirs arbitraires qui maintiennent les peuples dans l'ignorance: c'est un plaidoyer pour la diffusion des oeuvres et des idées. Lecture du texte Nous Joussouf-Chéribi, par la grâce de Dieu mouphti du Saint-Empire