Eloge Du Maquillage

| |- Rostand, Cyrano de Bergerac, V, 6 vers 2250- fin |Invention : Les trois personnages font de l’honneur et du courage des valeurs | |NATHAN Interro des lycées 2008 |absolues. A votre tour, faites un éloge lyrique d’une valeur qui vous semble | | |fondamentale dans notre société moderne. | |Despotes et tyrans (L – juin 2009) |Question :

Lorsque le mot « mode » est prononcé, l’idée qu’il suggère renvoi bien trop souvent aux vêtements. En réalité, la mode est omniprésente dans une société, et surtout dans celle du 20e et 21e siècle, et évolue sans cesse, en fonction des techniques de maquillage, ou de coiffage, par exemple. Plus que les vêtements, elle touche notamment le physique, comme le corps, ou encore les cheveux. Tout effet de mode a, un jour, été « lancé » par un individu, et bien souvent ce sont les égéries, c'est-à-dire les modèles

dont l'objectif premier est de consigner des faits. En revanche, Marin Marais, conteur du film, ne se contente pas d'une présentation des événements, il cherche à redonner sa juste place à un musicien resté dans l'ombre : son récit est de ce fait un éloge de M. de Sainte Colombe plus appuyé que dans le roman. Ce qu'on valorise : -La conscience qu'un conteur discret n'est pas pour autant un conteur objectif. La comparaison de la notice biographique que Titon du Tillet a consacrée à M. de Sainte Colombe

la vie elle-même – la morale et la civilisation – est tenue d’être artificielle ; ce n’est pas par hasard que Baudelaire a écrit, dans son étude sur Constantin Guys, le peintre de la vie moderne, un « Éloge du maquillage ». Au fond, pour lui, tout accès à la « spiritualité » passe par un « maquillage » et rien n’est plus contradictoire avec l’homme spirituel que l’homme naturel. Le spirituel se confond avec le poétique, et l’éthique baudelairienne du péché originel se traduit en une esthétique hostile

de la Bible). Ensuite, il montre à quel point la Fable peut livrer un enseignement en « rend [ant] l’âme attentive ou [en la] [captivant] ; [tout] en nous attachant à des récits qui mènent à son gré les cœurs et les esprits ». Ensuite il fait une éloge trop direct à Mme de Montespan (le goût délicat de cette dernière eût sans doute été plus flattée d’une louange plus directe) qui « [lui permet de] franchir les ans dans cet ouvrage » grâce à « ses paroles et regards, [dont] tout est charme chez [elle] » (tout

géographiques ou historiques, etc., ou sur des choix de mise en scène, ex. : décor, musique, éclairage, etc.) • présence de monologues : aparté, soliloque, tirade • en plus du texte, le langage théâtral est composé de gestes et de signes, dont costumes, maquillage, mouvements, décors, éclairages, musique, etc. • mise en page particulière comprenant des didascalies, le nom des personnages centré et devant chaque réplique 49 Fiche 25T Caractéristiques communes d’oralité • fonction expressive du

matiere .evocation des sens: vue/toucher/gout/bruit .impressions physiques à travers un voc melioratif/péjoratif ==>le poète est face au pain comme face à un objet qui tour à tour lui inspire attirance et dégout 3)Une description poétique qui devient un éloge paradoxal Malgré la forme particuliere du poème et son sujet le pain devient ici objet poétique. .Le poète (cme les surréalistes) rapproche des jugements de valeur abstraits et des termes concrets ==>ces raprochement font du pain un objet indefinissable

» ses acteurs. L’invité démissionne après un jour sur le plateau : Curtis apprend vite, mais Lemmon est un cas désespéré. L’acteur fera de sa maladresse masculine sur hauts talons un atout comique évident. Ultime test pour les costumes et le maquillage : Wilder envoie Curtis et Lemmon se repoudrer aux toilettes pour dames du studio. Les actrices n’y voient que du feu. Le tournage peut commencer. En août 1958, le tournage prend du retard lorsque Marilyn s’extirpe fort tard de sa loge ou oublie

| |- Rostand, Cyrano de Bergerac, V, 6 vers 2250- fin |Invention : Les trois personnages font de l’honneur et du courage des valeurs absolues. A votre tour, faites un éloge lyrique d’une valeur qui| |NATHAN Interro des lycées 2008 |vous semble fondamentale dans notre société moderne.

fondamentaux de l’œuvre. A) La vie et la mort. Fragilité de la vie face à la mort. L’arbre de la scierie : la scie incarne déjà la coupure; la mort pour l’arbre. Il annonce déjà le motif de la mort présente à travers l’arbre charnier. B) Eloge du hêtre et de sa beauté incomparable. : fascination liée à la nature qui constitue une source de spectacle et de fascination. Les formules superlatives; « plus lisse »; « plus belle » Exaltation de toutes les qualités de l’arbre; adverbe intensif