Eloge De La Méchanceté

composition, une augmentation et un remaniement, De l'esprit des lois paraît donc en 1748. Publié anonymement à Genève, l’ouvrage a aussitôt un immense retentissement, mais subit les attaques des jésuites et des jansénistes, qui critiquent violemment son éloge de la religion naturelle. L’ouvrage finira par être condamné par la faculté de théologie, et ceci malgré la défense qu’aura publiée l’auteur à son sujet. Montesquieu publie encore Lysimaque en 1754 et rédige l’article « Essai sur le goût » (posthume

contournée mais sans méchanceté : « Que ceux qui veulent apprendre… » ; au contraire Dame Pluche exige et ne s’embarrasse pas de formules de politesse : « Un verre d’eau, canaille que vous êtes ! » ; même opposition dans l’apostrophe au Chœur : « mes enfants », « mes bons amis » (Blazius) « canaille », « manants » (Pluche), - les portraits hyperboliques qu’ils tracent de leurs élèves respectifs montrent qu’on a affaire à un pédant et à une bigote : pédantisme de Blazius dans son éloge de Perdican, désigné

| | |v.1300-1358 | | | | |Erasme |Eloge de la folie, 1511 |GF, Laf, MN | | |v.1467-1536 | | |

pour l’éducation de sa propre fille qui témoigne de ses propres lectures. L’anti-Vauban Vauban est une gloire nationale contre laquelle Laclos se dresse à l’occasion d’un concours d’éloge lancé par l’Académie française. Un second scandale Cet éloge expose les idées de Montalembert et use d’une ironie élégante ce qui provoque le scandale et compromet sa carrière. Après divers déplacements, il se retrouve affecté proche de Versailles où il se fait des relations dans les milieux politiques. Il se

héroïne qui malgré les épreuves va s’en sortir. Héroïnes enfermées (la belle chez la bête, Réponse dans une tour…). Peau d’Ane pour le côté de la marraine, et pour l’apparence médiocre quand elle met la peau d’âne, comme Florine en souillon. Méchanceté des belles-mères. Beautés reconnues des héroïnes. La Morale p131-132. Les mariages arrangés ne sont pas forcément de bonnes choses. Madame d’Aulnoy, a eu un mariage forcé également. Ces mariages, ne sont que douleurs, et ne peuvent que tomber

provisoirement vainqueurs mais se conduisent honnêtement puisqu’ils payent les fouaces ainsi acquises de haute lutte. L’accrochage va prendre ensuite de l’ampleur (chapitre XXVII) quand les fouaciers se plaignent à leur roi Picrochole « bile amère » de la méchanceté des bergers. Ils se rendent au « Capitoly », à Lerné, (300 habitants aujourd’hui…) siège du royaume de Picrochole. Celui-ci, sans enquêter davantage lève des troupes et se prépare à la bataille. Rabelais met en valeur ici l’idée de disproportion

dithyrambe daterait du VIIe siècle avant Jésus-Christ. Le Diction­ naire historique de la langue française ajoute que «le mot, repris avec son sens antique, désigne dans la littérature moderne un poème lyrique enrhousiaste; par extension, il se dit d'un éloge vibrant, parfois emphatique». Épisode Partie de la tragédie délimitée par deux chanrs du chœur (en quelque sorte l'ancêtre de nos actes et scènes). Fatalité «Force surnaturelle par laquelle tout ce qui arrive [...] est déterminé d'avance d'une

« C’est une dangereuse invention » à « Condamnation qui sert d’instruction au procès ! ») Lettres persanes, Montesquieu, Lettre XII, texte intégral. Le Mariage de Figaro, Beaumarchais, acte V, scène 3, texte intégral. La Nef des fous, Jérôme Bosch Éloge de la folie, Érasme, ch. 45-46 Au choix, groupement de textes sur l’utopie, extraits de : Utopia, Thomas More ; Gargantua, Rabelais ; Supplément au voyage de Bougainville, Diderot ; W ou le souvenir d’enfance, Perec. ou une œuvre intégrale parmi :

conversation » Dans ce chapitre, on assiste à un défilé d’« importuns », de parleurs de plus en plus difficiles à supporter : les sots, les malotrus, les « puristes » qui surveillent toutes leurs phrases, les blessants, par maladresse ou par méchanceté, les mondains des salons, dont les précieux, les précieuses, et les pédants, les malséants, comme le grossier Nicandre. O1) Remarque 12 : le caractère de Théodecte, le parleur tonitruant et désobligeant. Le prisme du théâtre peut être appliqué

instance ne vient tempérer ces passions. Autrement dit le gouvernement démocratique n’est pas meilleur qu’un gouvernement monarchique ou aristocratique car, sans règles, l’amour-propre et la convoitise s’y développent avec la malhonnêteté et la méchanceté. Peut-on dire que la démocratie ne vaut pas mieux que les autres systèmes politiques puisqu’elle n’empêche pas les passions égoïstes et leurs tristes conséquences ? En nous appuyant sur deux comédies d’Aristophane,