Electre Tragedie Moderne

peu adaptable de toute grande usine. Formidable quantité d'outils ; spécialisation des machines. Tout se passe comme s'il y avait trop peu de machines, alors qu'il y en a trop. Le caractère de la technique et de l'organisation des grandes usines modernes n'est pas lié seulement à la production en série, mais aussi à la précision des formes. Quel ouvrier ferait des pièces aussi justes que fait un outil ? Or, un outil spécialisé est très coûteux sans une production massive. Partie d'artisanat dans

greffe Pourriez-vous vous passer de votre téléphone portable ? Max Horkheimer et Theodor W. Adorno Paul Virilio Faut-il greffer le cerveau de votre prof de philo dans la boîte crânienne de son collègue de gym ? HansJonas Le smicard est-il l'esclave moderne ? Friedrich Nietzsche Paul Lafargue André Gorz Herbert Marcuse D'autres textes sur la Technique René Descartes Aristote Jürgen Habermas Ernst Jünger 116 106 101 93 94 PARTIE 2 C O M M E N T VIVRE ENSEMBLE ? Hugo Grotius Faut-il jeter le règlement

sabre qui flamboie Sur les foules sans nom que sa monture broie, Et parcourt, comme un prince inspectant sa maison, Le cimetière immense et froid, sans horizon, Où gisent, aux lueurs d’un soleil blanc et terne, Les peuples de l’histoire ancienne et moderne. – 103 – LXXII. – Le mort joyeux Dans une terre grasse et pleine d’escargots Je veux creuser moi-même une fosse profonde, Où je puisse à loisir étaler mes vieux os Et dormir dans l’oubli comme un requin dans l’onde. Je hais les testaments

sabre qui flamboie Sur les foules sans nom que sa monture broie, Et parcourt, comme un prince inspectant sa maison, Le cimetière immense et froid, sans horizon, Où gisent, aux lueurs d’un soleil blanc et terne, Les peuples de l’histoire ancienne et moderne. LXXII. – Le mort joyeux Dans une terre grasse et pleine d’escargots Je veux creuser moi-même une fosse profonde, Où je puisse à loisir étaler mes vieux os Et dormir dans l’oubli comme un requin dans l’onde. Je hais les testaments et je hais les tombeaux

sabre qui flamboie Sur les foules sans nom que sa monture broie, Et parcourt, comme un prince inspectant sa maison, Le cimetière immense et froid, sans horizon, Où gisent, aux lueurs d’un soleil blanc et terne, Les peuples de l’histoire ancienne et moderne. – 103 – LXXII. – Le mort joyeux Dans une terre grasse et pleine d’escargots Je veux creuser moi-même une fosse profonde, Où je puisse à loisir étaler mes vieux os Et dormir dans l’oubli comme un requin dans l’onde. Je hais les testaments et je

qu'il y a un écureuil dedans." [ Proverbe américain ] "Le problème avec la vie, c'est que l'on ne sait vraiment pas du tout ce qui se passe." [ Philip Roth ] "Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer." [ Voltaire ] "Le cinéma, c'est l'écriture moderne dont l'encre est la lumière." [ Jean Cocteau ] "L'ennui, c'est que nous négligeons le football au profit de l'éducation." [ Groucho Marx ] "On n'est jamais si bien servi que par sa mère." [ Jacques Pater ] "Tant qu'il reste un homme en prison, je

qu'il y a un écureuil dedans." [ Proverbe américain ] "Le problème avec la vie, c'est que l'on ne sait vraiment pas du tout ce qui se passe." [ Philip Roth ] "Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer." [ Voltaire ] "Le cinéma, c'est l'écriture moderne dont l'encre est la lumière." [ Jean Cocteau ] "L'ennui, c'est que nous négligeons le football au profit de l'éducation." [ Groucho Marx ] "On n'est jamais si bien servi que par sa mère." [ Jacques Pater ] "Tant qu'il reste un homme en prison, je

New York dont le tableau se limite d'abord au «columbarium prismatique à dix cages» (page 186) qui est «parallèle et perpendiculaire»  (page 283) ; puis le récit de l’escapade avec Constance Chlore (pages 223- 224) ne donne que l’idée d’une ville moderne grotesque et effrayante. Zio traverse Manhattan pour aller «faire sa pieuse et traditionnelle trempette» dans l’Hudson (pages 239-240). Bérénice et Dick Dong marchent jusqu’à des docks qui pourraient se trouver en n’importe quel port (pages 247-248)

qui flamboie Sur les foules sans nom que sa monture broie, Et parcourt, comme un prince inspectant sa maison, Le cimetière immense et froid, sans horizon, Où gisent, aux lueurs d’un soleil blanc et terne, Les peuples de l’histoire ancienne et moderne. LXXII. – Le Mort joyeux Dans une terre grasse et pleine d’escargots Je veux creuser moi-même une fosse profonde, Où je puisse à loisir étaler mes vieux os Et dormir dans l’oubli comme un requin dans l’onde. Je hais les testaments et je hais

pour elle que je dois vivre. L’avenir doit être une construction soutenue de l’homme existant. Cette édification se rattache au présent, dans la mesure où je pose ce dernier comme chose à dépasser. Les trois premiers chapitres s’occupent du nègre moderne. Je prends le Noir actuel et j’essaie de déterminer ses attitudes dans le monde blanc. Les deux derniers sont consacrés à une tentative d’explication psychopathologique et philosophique de l’exister du nègre. L’analyse est surtout régressive. Les