Egoïste Logique Kant

intérêt national, d'une raison d'État, peut se permettre de procéder à des actes que la morale réprouvait ordinairement. Il y a deux « domaines » distincts, la morale, chrétienne (à l'époque) ne doit pas dominer dans le monde politique, il y a une logique politique propre. La puissance, c'est ce qui permet de protéger son État pour ne pas être écrasé par les autres. • Hobbes, c'est l'état de nature, l'international est l'état de nature. Ce sont des États qui s'entrechoquent et au-dessus desquels

était le droit applicable aux citoyens romains, or aujourd’hui le droit des gens en droit international est le droit international coutumier. * On doit le droit naturel aux romains, c’est un droit que l’on déduit de la nature des choses, de la logique. C’est un droit que l’on peut déduire de la nature des gens. Cette notion développait par les romains sera alors reprise par les théologiens catholiques, sauf que les théologiens catholiques s’empareront de cette notion. Elle fut ensuite relaïcisée

n'est  pas  une  contrainte  extérieure  mais  ce moment  où  la  liberté  se  veut  elle­même.  Il  ne  faut  pas  oublier  que  Hegel  réfléchit  à  partir  des  idées  de  la révolution française et du destin des idées de Rousseau. Au contraire de Kant, Hegel ne parle pas de devoir mais de droit. Le droit existe, la morale a à être et est donc seconde.  Le  droit  est  le  lieu  de  l'universalité  au  sens  où  la  loi  est  valable  pour  tous.  La  volonté  se  donne  un contenu c'est à dire un but à réaliser

et esclaves exclus de la démocratie, et dérive vers l’empire maritime d’Athènes. © Magnard, 2010 – Histoire 2 de – Livre du professeur Étape 2 On peut commencer la réflexion par la description de l’ecclésia puis des autres assemblées. C’est logique, car l’ Ecclésia est la base du fonctionnement de la démocratie athénienne (création et décision des lois, guerre et paix). Étape 3 La première phrase pourrait être : « Aux ve et ive siècles av. J.-C., la démocratie athénienne repose sur un ensemble

contemporain ? C’est Kant qui est l’un des premiers à affirmer que ce qui est contemporain peut-être un objet de réflexion philosophique. La philosophie devait se consacrer à des objets plus abstraits, plus grands : Dieu, le monde, l’âme, l’immortalité… La philosophie a souvent été de la métaphysique, c'est-à-dire ce qui dépasse la nature. A partir de Kant on entre dans un mouvement où certaine philosophie s’approprient le quotidien. Le texte Qu’est- ce que Les Lumières de Kant en est un bel exemple

élémentaires, suivit les cours de philosophie de Lavelle au lycée Condorcet. On sait que le philosophe avait un grand plaisir à initier de jeunes esprits à la réflexion philosophique. Ce cours, qui date probablement de 1928, traite essentiellement de la logique, envisagée sous l'angle des principaux procédés généraux de la pensée ; mais pour Lavelle, la philosophie débouche nécessairement sur une sagesse, sur une réflexion sur les valeurs de l'existence humaine.Toute philosophie vise une sagesse pratique

produit (résultat obtenu grâce à son intervention), lui conférait un pouvoir souverain. Conçue comme autorégulatrice et, de plus en plus, comme autofinalisée, la technique a répondu à sa propre expansion ou à des besoins par elle-même créés, dans une logique de surenchère, ou dans une forme de fascination narcissique, sans réfléchir aux conséquences, parfois tragiques, de certains de ses développements. Les nombreuses dérives déjà constatées (eugénisme, catastrophes ou armes nucléaires, pollution et extinction

pratiquer le doute méthodique. Doute méthodique : remise en question permanente de la réalité. La seule chose dont on ne peut pas douter est le fait même qu'on doute. Je doute donc je pense je pense donc je suis. + démonstration de l'existence de Dieu. 3. Kant et l'inaccessible noumène Selon lui, on a pas accès à la vérité des choses (le noumène). On n'a accès qu'à des phénomènes, des apparences. ( ± = à Platon) 4. la phénoménologie et le constructivisme Nos sens sont nos médias. La réalité est transformée

Conséquences paradoxales d’une liberté sans borne. Le respect de la liberté d’autrui fait-il obstacle à ma propre liberté ? 3 vie "quasi animale"24 . Une25 fois établie qu'une liberté sans respect de celle des autres est, si on en pousse à bout la logique sous-jacente, négatrice des autres, de moi et, plus largement, de l'humanité, reste à se demander si l'humanité doit se payer au prix fort d'une liberté soumise sans partage au respect de celle d'autrui.26 Dans le Léviathan, c'est de la guerre

l’autre. C’est cette distinction avec l’ordre du commun qui le rend tellement fascinant , et le fait osciller entre vénération et profanation, transgression.  Le sacré en effet relève d’un autre monde, c’est une irruption, une infraction dans la logique vulgaire du réel qu’il est censé protéger du chaos, jusqu’à ce que sa magie n’opère plus ayant épuisé son mystère.  Il relève de l’art mais aussi du religieux, et surtout des mathématiques et de la géométrie («  Que nul n’entre ici s’il