Eglise Et Société Féodale En Occident Au 9eme 11eme Siècle

différentes sources : - Les traités internationaux, les constitutions, les lois, les règlements, les arrêtés préfectoraux ou même de police et de police municipale… A côté de ces règles de droit d’écrit se maintiennent encore, dans certaines sociétés (plus en occident), des règles orales, qui s’imposent à tous car elles se sont ancrées dans les esprits : coutumes, usages … C’est parce que elles sont en usage depuis très longtemps qu’elles sont ancrées et qu’elle ne peut pas être remises en cause. On peut

l’ancien régime est fortement inquisitoire. L’héritage révolutionnaire, lui, a une procédure accusatoire en phase de jugement après l’instruction. L’évolution du droit criminel est le reflet de l’évolution de la société. La criminalité dépend de l’éclat de la société. La Casague a dit « la société n’a que les criminels qu’elle mérite ». La procédure pénale est en étroite relation avec le système politique car elle est le reflet de l’individu et sa liberté par rapport à l’Etat. • ordonnance de

répondant à des problèmes juridiques précis, par des solutions pratiques. Il n’existe pas de visions théoriques du Droit ni de principes. Qu’il existe de nombreuses questions de Droit diverses : des questions qui restent éternelles pour l’individu et de société (Droit famille), le Droit commercial, les échanges éco. Nous montre le caractère religieux du Droit à cette époque, les Dieux ont placé les monarques sur les trônes, les monarques formulent des règles. Il faut savoir qu’à cette époque le Droit

Mésopotamien se considère comme une révélation : le Code d’Hammourabi, roi de Babylone qui a réunifié la Mésopotamie en 1750 av JC, proclame le respect envers le Dieu Shamash (le soleil et la justice) qui avait lui-même dicté le code au roi. Dans ces sociétés le Droit s’approche plus de la morale et a un but de conservation sociale. L’ordalie est aussi un signe de l’imprégnation religieuse puisqu’il s’agit d’un jugement divin accompli en l’absence de toute preuve (voir aussi Droit hébreux) On peut considérer

religion qui va insister sur le fait que le pouvoir civil et religieux ne poursuivent pas le même objectif. L’Eglise pour le salut éternel et l’Etat pour le ..temporel. Le fait d’avoir poser ces limites, n’a pas empêcher de nouer des liens entre Etats et Eglise, cela a pris au contraire l’entretien de ce lien. Le droit romain va profondément influencer l’Eglise. Les provinces ecclésiastiques de l’évêque vont correspondent aux droits de l’Eglise. Le droit canonique va être essentiellement centré sur les

géographique et historique. C’est une observation (frontières, histoire). L’Europe ne constitue historiquement ni une communauté raciale ni une communauté linguistique. Les populations européennes sont le fruit d’un brassage millénaire. Pourtant au 18ème siècle, certains auteurs vont véhiculer l’idée selon laquelle les nobles auraient appartenu à une race de peuple conquérant. Tandis que le peuple aurait été issu des populations conquises. L’origine historique de l’Europe est difficile à situer. On peut

civilisation romaine, une autre société n’avait réussi à dégager l’idée que le pouvoir devait être considéré comme un phénomène abstrait, général et systématique, c’est à dire comme une chose indépendante de celui ou de ceux qui l’exercent. L’État est donc un pouvoir indépendant de celui qui va l’exercer. Cette doctrine de l’État survivra à Rome et au cours de cette période, cette notion d’État a pratiquement disparu du territoire hexagonal entre le 9ème et 12ème siècle. On ne peut pas parler d’État

d’en connaître les termes, il faut en approfondir l’esprit et l’étendu. » Introduction générale Prolégomènes I. La notion de droit. 1. Approche historique et étymologique. Le mot droit s’est fixé dans la langue française à partir du 11ème siècle. Il est dérivé du terme « dreit ». Louis le Germanique, dans son serment de Strasbourg (1842) dit ce terme ; il signifie « juste, moral, équitable ». Etymologie latine de « dreit »: « directus ». Cet adjectif servait à désigner tantôt ce qui était

avenir. Dans tous les cas, la famille a un passé que l’on étudiera ici. Il y a, biensûr, des modèles familiaux, et non UN seul. Nous allons étudier la famille occidentale. On va mettre en évidence l’évolution de l’institution familiale en occident, et l’évolution du droit de la famille depuis l’antiquité, depuis le droit romain, jusqu’à nos jours. I. Remarques préliminaires * L’existence d’un paradoxe dans l’évolution de la famille La famille est l’institution du droit privé qui

MA nous étions dans une société féodale où l’Etat n’existe plus, ce n’est qu’un souvenir de la culture romaine. Cette autorité directe centrale est remplacée par un système de lien de personne à personne. Mais il y a tout de même une organisation sociale, la féodalité va s’organiser autour d’un couple social et économique c’est le couple seigneur vassale. Au MA : un seigneur offre sa protection à un vassal qui en échange ce dernier lui rend un service. A partir de 9ème siècle on parle de noble service