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Octave Contexte d’utilisation Historique En pratique Quelques ´l´ments de syntaxe ee Types de donn´es et conteneurs e Expressions Structures conditionnelles Fonctions et scripts Exemples d’utilisation Traitement de signal audio Traitement d’image Interfa¸age C++ c Le Jeune (APC) GNU Octave 01/07/2010 2 / 24 GNU Octave GNU Octave Contexte d’utilisation Historique En pratique Quelques ´l´ments de syntaxe ee Types de donn´es et conteneurs e Expressions Structures conditionnelles Fonctions

2NDE : CALCUL ALGEBRIQUE Chapitre 2 G´ en´ eralit´ es sur les fonctions 2.1 2.1.1 D´ efinir une fonction Rappels sur les lectures graphiques page 42 (Odyss´ee) 2.1.2 Vocabulaire D´efinir une fonction sur D, c’est associer `a tout nombre x de D un nbre et un seul appel´e image de x. L’image de x est not´ee f (x). x est appel´ee la variable. D est l’ensemble de d´efinition de f (en gal un interv ou une r´eunion d’interv). Si f (a) = b alors a est un ant´ec´edent de b. On note : f : x −→ f

Notes de cours d’alg`bre lin´aire. e e L1, alg`bre 1. e Anne Beaulieu Ann´e 2008–2009 e 2 Table des mati`res e 1 R´solution des syst`mes lin´aires. e e e 1.1 Exemples ´l´mentaires (` coefficients r´els). . . . . . . . . . . ee a e 1.2 Syst`mes ` n lignes et p colonnes, syst`mes ´chelonn´s. . . . . e a e e e 1.3 R´solution des syst`mes ´chelonn´s. . . . . . . . . . . . . . . e e e e 1.4 Algorithme du pivot de Gauss. . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.5 Principes ` retenir, pour la r´solution

Les ondes m´caniques e I. Propagation d’une perturbation 1. D´finition et exemples e D´finition : e Une perturbation est une variation d’une propri´t´ m´canique (position, vitesse, ´nergie) des points ee e e d’un milieu mat´riel. e Le point o` est cr´´ la perturbation est la source. u ee ­ ´branlement le long d’une corde. e ­ la chute d’une goutte produit des ronds a la surface de l’eau de la cuve ` ondes. ` a 2. Ondes m´caniques e D´finition : e Une onde m´canique est le ph´nom`ne de propagation

graphiques, les “ ondulations ” indiquent qu’on ne connaˆıt pas la fonction et qu’on la repr´esente de fa¸con quelconque. t v t0 Pente 0.5 4 t T t0 –15 Pente –1 b) On demande le taux instan- tan´e dC dt (t0), qui est une d´e- riv´ee de fonction compos´ee. t C v T On a dC dt = @C @v dv dt + @C @T dT dt , dC dt (t0) = @C @v (4,−15) dv dt (t0) + @C @T (4,−15) dT dt (t0) = (72)(0.5) + (−26.45)(−1) = 62.45, unit´es de C par unit´e de t ou k cal/m2/h/h. MAT-1900

place un capital C0 `a int´erˆets simples de t% par an : chaque ann´ee une somme fixe s’ajoute au capital ; cette somme est calcul´ee par t × C0 ; ainsi, l’ann´ee n : Cn = C0 + n × t × C0 = C0 (1 + nt) On est donc dans le cadre de l’´etude d’une suite arithm´ etique. On place un capital C0 `a int´erˆets compos´es de t% par an : chaque ann´ee, l’int´erˆet g´en´er´e est proportionnel au capital de l’ann´ee ant´erieure ; ainsi, l’ann´ee n le capital est donn´e par la formule : Cn = C0 (1 + t)n Le mod`ele

balance des paiements Un instrument d’analyse ´ economique Les ajustements de la balance des paiements CHAPITRE 4 : LA BALANCE DES PAIEMENTS ET SES REEQUILIBRAGES Monnaie et Finance Internationales David Guerreiro david.guerreiro@univ-paris8.fr Ann´ee 2013-2014 Universit´ e Paris 8 La balance des paiements Un instrument d’analyse ´ economique Les ajustements de la balance des paiements Table des mati`eres 1 La balance des paiements Pr´esentation g´en´erale La m´ethode comptable Les diff´erents

divisés en trois classes ou « générations », appellation qui laisse entendre que les plus récents sont préférables aux précédents, sans que ce soit avéré. Ces trois « générations » (C1G, C2G et C3G) utilisent le même estrogène, l’éthinyl-estradiol (EE) à des doses variées, associé à un progestatif norstéroïdien (voir au verso les autres COEP). Cette classification ne préjuge en rien des avantages ou inconvénients d’une « génération » par rapport aux autres. ■■Tous les C1G/C2G sont remboursables

Universit´ de Sherbrooke. e e e e Tous droits r´serv´s. e e Pr´face e L’importance de l’´lectromagn´tisme dans un programme de physique ne saurait ˆtre e e e exag´r´e. Elle tient ` la fois de l’´norme quantit´ d’applications de l’´lectromagn´tisme ee a e e e e dans les domaines techniques et la vie de tous les jours, et du rˆle unificateur qu’a jou´ la o e th´orie de l’´lectricit´ et du magn´tisme dans notre compr´hension de l’Univers. e e e e e Mˆme si, d’un point de vue microscopique, l’interaction

grecques de la d´mocratie. 14 e 3 Individualisme et egalite des conditions au fondement du principe democratique. 3.1 La non reconnaissance de l’individu dans l’antiquit´ et au e moyen age et le concept de soci´t´ holiste. . . . . . . . . . . . ˆ ee 3.1.1 La non reconnaissance des individus . . . . . . . . . . 3.1.2 Les conceptions holistes de l’organisation sociale. . . . 3.2 L’incidence du protestantisme dans l’apparition du monde moderne. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .