Éducation prioritaire en France

de violence. Il est régulièrement constaté que les établissements tenant les règlements intérieurs les plus stricts sont ceux les moins touchés par le phénomène qui reste alors contenu, que les établissements soient implantés en zone d’éducation prioritaire ou non. Aussi, outre l’efficacité de l’organisation de l’établissement, le personnel d’encadrement doit accorder sa confiance et soutenir les enseignants confrontés aux cas de violences, en particulier lorsqu’ils en sont victimes. Les soutenir en

Intro : 1. L’utilité de punir les jeunes : En France, 7 Etablissements Pénitentiaires pour Mineurs viennent de se faire construire et d’ouvrir. C’est une première depuis la seconde guerre mondiale, le pays se vit comme livré à l’insécurité. * Cependant la question de « faut-il emprisonner les mineurs ? » se pose encore. La plupart des professionnels de justice ou de l’enfance en danger, les simples citoyens eux-mêmes sont prêts à répondre presqu’instinctivement « non bien sûr », avant

maladie, les maladies chroniques et les mauvais indicateurs de santé en France (mortalité prématurée élevée) souligne les limites d’une approche essentiellement curatives de la santé  Dès lors la santé publique va se développer dans une approche plus large : la prévention, la promotion, l’éducation de la santé et la restauration de la santé. ▲La grande loi de santé publique du 9 Aout 2004 met en avant deux objectifs prioritaires : - la réduction des inégalités de santé - la réduction de la mortalité

liberté d'aller et venir, liberté d'expression, liberté religieuse...). Ces droits sont des droits civils. Ils ont été progressivement complétés, aux XIXe et XXe siècles, par des droits politiques dont le principal est le droit de vote. Ainsi, en France, le droit de vote s'est imposé avec l'extension aux hommes sans condition de cens (c'est-à-dire sans condition de ressources) en 1848 puis sous la IIIe République, et aux femmes en 1944. L'article 6 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen

libres et égaux en droit ». Née aux Etats-Unis dans les années 60 et 70 pour favoriser l’intégration des minorités noires et hispaniques, elle donne la priorité à ces derniers par rapport aux blancs par un système de quotas ou de places réservées. En France, il existe des mesures de discrimination positive mais les critères ne sont jamais l’appartenance religieuse ou ethnique ; ce sont uniquement des critères territoriaux ou socio-économiques. Pour certains, une politique de discrimination positive

U M E N T C A D R E D E P A R T E N A R I AT FRANCE - SENEGAL Dakar, le 10 mai 2006 D O C U M E N T C A D R E D E P A R T E N A R I AT F R A N C E - S E N E G A L EDITORIAL L’aide française au Sénégal reflète la qualité exceptionnelle de la relation entre les deux pays, qu’il s’agisse du niveau de l’APD ou de la nature du partenariat franco-sénégalais. Avec en moyenne des décaissements nets annuels de l’ordre de 110 millions d’euros, la France demeure le premier partenaire bilatéral du Sénégal

absente du paysage et l'on meurt toujours énormément : à nouveau, protéger les vivants est l'objectif principal, accessoirement guérir les malades, si le traitement ou l'opération sans anesthésie ne les tuent pas avant... L’industrialisation de la France et la paupérisation consécutive de la classe ouvrière (travaillant et vivant dans des conditions sanitaires catastrophiques) alourdissent le bilan des taux de mortalité. De plus, peste et choléra existent toujours. A ces épidémies, s’ajoutent la TB

reste une caractéristique des sociétés contemporaines a. De plus en plus de mesures des établissements d’études supérieurs pour combattre les inégalités (CEP Sciences Po, d’après les indicateurs de l’OCDE, la France est le pays membre qui a vu augmenter le plus rapidement sa part de diplômés du supérieur dans les années 1990). b. Le diplôme reste malgré tout un moyen d’ascension sociale accessible à tous. c.

mentalement ou socialement désavantagé doit recevoir traitement, éducation et soins spéciaux" Article 23 de la Convention 4. Droit à l'école "L'enfant a droit à une éducation" Article 28 de la Convention 5. Droit aux loisirs "L'enfant doit avoir toutes possibilités de se livrer à des jeux et des activités récréatives orientées à des fins éducatives" Article 31 de la Convention 6. Droit à la culture "L'enfant a droit à une éducation qui contribue à sa culture" Article 29 de la Convention

Adoption par le Gouvernement de la LP2D (Lettre de politique de décentralisation et de déconcentration) 2005 Ministère de la Décentralisation et de l’Aménagement du Territoire Premier plan d’action consolidé et financé du MDAT avec 5 axes prioritaires : Réorganisation du MDAT (redéfinition de sa structure et de son organigramme, mise en place d’une Cellule d’Analyse et de Prospective (CAP) ; Appui à la régionalisation (PRD) ; Renforcement des capacités des communes (formation et premières